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Titre : La Condition humaine Auteurs : André Malraux, Auteur Editeur : Gallimard, 1997 Collection : Folio plus Importance : 411p. Langues : Français Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# La Condition humaine [texte imprimé] / André Malraux, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1997 . - 411p.. - (Folio plus) .
ISBN : 978-2-07-040065-2 : 5.00
Langues : Français
Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5520 R MAL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La Condition humaine Auteurs : André Malraux, Auteur Editeur : Gallimard, 1997 Collection : Folio plus Sous-collection : Folioplus Classiques Importance : 411p. Langues : Français Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# La Condition humaine [texte imprimé] / André Malraux, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1997 . - 411p.. - (Folio plus. Folioplus Classiques) .
ISBN : 978-2-07-034610-3 : 5.00
Langues : Français
Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43995 R MAL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible L'Amant de Lady Chatterley / D. H. Lawrence / Gallimard (1993)
Titre : L'Amant de Lady Chatterley Auteurs : D. H. Lawrence, Auteur Editeur : Gallimard, 1993 Collection : Folio num. 2499 Importance : 542 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : Wragby Hall, sur la terre des Chatterley, au cour du pays minier d'Angleterre. Octobre 1921. Constance, Lady Chatterley et Clifford, son mari, sont installés à Wragby, depuis un an ou deux.
Quatre ans auparavant, quelques mois après leur mariage, Clifford, qui était alors lieutenant de l'armée britannique, revenait du front de Flandres en morceaux, le bas du corps paralysé à jamais.
L'hiver recouvre tout. Constance coule des jours monotones, enfermée dans sa propre vie, son sens du devoir et son mariage avec Clifford. Triste et indifférente à tout, elle se vide peu à peu de ses forces.
Sa soeur Hilda accourt. Elle exige de Clifford qu'il engage une garde-malade pour ses soins personnels afin d'alléger Constance du poids de cette charge. Mrs Bolton s'installe au château. Une nouvelle vie commence.
C'est bientôt le printemps. Dehors, la végétation s'éveille et les premiers frémissements de la nature accompagnent Constance dans ses premières promenades en forêt. Mais la forêt, c'est aussi le territoire de Parkin, le garde-chasse du domaine ( NDLR, dans le roman de David Herbert Lawrence, le garde chasse s'appelle Mellors).
Dans sa maison au milieu des bois, Parkin vit retranché du monde, dans une solitude qu'il s'est consciencieusement bâti.
Le film est leur histoire. Le récit de l'apparition du corps de Parkin dans la forêt de Wragby et son irruption dans la vie de Constance. Le récit d'une rencontre, d'un difficile apprivoisement, d'un lent éveil à la sensualité pour elle, d'un lent retour à la vie pour lui. Mais une fois le contact établi, la route sera longue qui les mènera tous deux à un amour véritable. Car, à l'échelle de leur relation, il leur faudra réinventer le monde.
http://www.alalettre.com/lawrence-oeuvres-l-amant-de-lady-chatterley.php
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/david-herbert-lawrence/Mots-clés : thème littéraire Grande-Bretagne 1920- 1919-1939- militaire handicap physique couple : famille relation homme-femme comportement social comportement sexuel classe sociale hiérarchie sociale mal de vivre condition féminine nature saison solitude Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman L'Amant de Lady Chatterley [texte imprimé] / D. H. Lawrence, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1993 . - 542 p.. - (Folio; 2499) .
ISBN : 978-2-07-038743-4 : 10.00
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : Wragby Hall, sur la terre des Chatterley, au cour du pays minier d'Angleterre. Octobre 1921. Constance, Lady Chatterley et Clifford, son mari, sont installés à Wragby, depuis un an ou deux.
Quatre ans auparavant, quelques mois après leur mariage, Clifford, qui était alors lieutenant de l'armée britannique, revenait du front de Flandres en morceaux, le bas du corps paralysé à jamais.
L'hiver recouvre tout. Constance coule des jours monotones, enfermée dans sa propre vie, son sens du devoir et son mariage avec Clifford. Triste et indifférente à tout, elle se vide peu à peu de ses forces.
Sa soeur Hilda accourt. Elle exige de Clifford qu'il engage une garde-malade pour ses soins personnels afin d'alléger Constance du poids de cette charge. Mrs Bolton s'installe au château. Une nouvelle vie commence.
C'est bientôt le printemps. Dehors, la végétation s'éveille et les premiers frémissements de la nature accompagnent Constance dans ses premières promenades en forêt. Mais la forêt, c'est aussi le territoire de Parkin, le garde-chasse du domaine ( NDLR, dans le roman de David Herbert Lawrence, le garde chasse s'appelle Mellors).
Dans sa maison au milieu des bois, Parkin vit retranché du monde, dans une solitude qu'il s'est consciencieusement bâti.
Le film est leur histoire. Le récit de l'apparition du corps de Parkin dans la forêt de Wragby et son irruption dans la vie de Constance. Le récit d'une rencontre, d'un difficile apprivoisement, d'un lent éveil à la sensualité pour elle, d'un lent retour à la vie pour lui. Mais une fois le contact établi, la route sera longue qui les mènera tous deux à un amour véritable. Car, à l'échelle de leur relation, il leur faudra réinventer le monde.
http://www.alalettre.com/lawrence-oeuvres-l-amant-de-lady-chatterley.php
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/david-herbert-lawrence/Mots-clés : thème littéraire Grande-Bretagne 1920- 1919-1939- militaire handicap physique couple : famille relation homme-femme comportement social comportement sexuel classe sociale hiérarchie sociale mal de vivre condition féminine nature saison solitude Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 8794 R LAW Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Les Âmes grises Auteurs : Philippe Claudel Editeur : Stock, 2004 Importance : 284 p. Langues : Français Résumé : Deux assassinats dans une petite ville du Nord, dans la France de la Première Guerre mondiale... Un châtelain suspect, le procureur Destinat, est-il le coupable ? Claudel a choisi de raconter l'enquête qui suit le meurtre d'une fillette pour raconter la guerre autrement, mettant au devant de la scène un fossé social qui se creuse.
Ce roman se déroule durant la Première Guerre Mondiale dans une petite ville du Nord-est de la France. Un village épargné par les combats, la ligne de front se situant à quelques kilomètres de là, derrière la colline. On entend les canons tonner dans le lointain, on voit les cohortes de soldats se croiser dans la rue principale. Certains arrivent avec encore un peu d'espoir dans le fond des yeux. Ils pensent s'en sortir, survivre alors que la plupart d'entre eux sont condamnés. D'autres, moins chanceux, reviennent en morceaux,morts-vivants, gueules brisées de l'Histoire. Une guerre qu'on ne voit pas mais qu'on n'a jamais aussi bien sentie. Un bourgade épargnée par l'atrocité des combats mais qui connaît cependant son lot de malheur. Le roman débute par la découverte du corps de la petite "Belle de jour", la fillette de Bourrache, le restaurateur local. A partir de ce moment, la petite ville s'épie se jauge, se suspecte. La rancoeur fait place aux petites lâchetés du quotidien. On soupçonne bien vite le procureur Destinat, un notable parmi les notables. Il est procureur, vit reclus et triste dans son château depuis la mort de sa femme, Clélis. Un procureur qui avait ses habitudes au restaurant de Bourrache. Le suspect parfait.
Vingt ans se sont écoulés depuis la boucherie des tranchées de la Grande Guerre et le meurtre de la petite "Belle de jour". Un narrateur anonyme, ancien policier du village, tente de démêler l'écheveau de cette
"Affaire" qui semble le torturer. Il n'a plus envie de vivre depuis la mort affreuse de sa femme. Un homme sur le déclin. Trop d'horreurs, trop de drames. Chargé de l'"Affaire" à l'époque, il dévoile petit à petit sa version des faits. De digressions en digressions, il nous raconte des vies, nous raconte son village et nous cloue sur place dans les dernières pages en nous révelant son terrible secret. Le narrateur dira d'ailleurs au final: "Fouiller l'Affaire comme je l'ai fait, c'était sans doute une façon de ne pas me poser la vraie question, celle qu'on refuse tous de voir venir sur nos lèvres, dans nos cerveaux, dans nos âmes, qui ne sont, il est vrai, ni blanches ni noires, mais grises, joliment grises..."
Philippe Claudel réussit là un beau roman, plein d'humanité. Ces portraits des habitants sont justes, touchants, poignants. Pour illustrer le caractère de ses personnages, il recourt à de jolies jolies formules :"il coupe son poisson comme en le caressant" dira-t-il pour qualifier le procureur. Une image qui vaut mieux qu'un long discours. Un auteur qui sait nous toucher, notamment dans la description de cette jeune institutrice, dont l'amant est sur le front, et qui monte en haut du coteau pour observer au loin les combats incessants, pour partager un peu de ses souffrances.
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4213Mots-clés : thème littéraire France 1920- guerre mondiale : 1914-1918 meurtre policier : genre enquête policière région Nord- Pas- de- Calais inégalité sociale classe sociale mal de vivre état dépressif vie sociale relation sociale relation homme-femme bourgeoisie comportemen sociale Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://calounet.pagesperso-orange.fr/resumes_livres/claudel_resume/claudel_amesg [...] Les Âmes grises [texte imprimé] / Philippe Claudel . - [S.l.] : Stock, 2004 . - 284 p.
ISBN : 978-2-234-05603-9 : 18,80
Langues : Français
Résumé : Deux assassinats dans une petite ville du Nord, dans la France de la Première Guerre mondiale... Un châtelain suspect, le procureur Destinat, est-il le coupable ? Claudel a choisi de raconter l'enquête qui suit le meurtre d'une fillette pour raconter la guerre autrement, mettant au devant de la scène un fossé social qui se creuse.
Ce roman se déroule durant la Première Guerre Mondiale dans une petite ville du Nord-est de la France. Un village épargné par les combats, la ligne de front se situant à quelques kilomètres de là, derrière la colline. On entend les canons tonner dans le lointain, on voit les cohortes de soldats se croiser dans la rue principale. Certains arrivent avec encore un peu d'espoir dans le fond des yeux. Ils pensent s'en sortir, survivre alors que la plupart d'entre eux sont condamnés. D'autres, moins chanceux, reviennent en morceaux,morts-vivants, gueules brisées de l'Histoire. Une guerre qu'on ne voit pas mais qu'on n'a jamais aussi bien sentie. Un bourgade épargnée par l'atrocité des combats mais qui connaît cependant son lot de malheur. Le roman débute par la découverte du corps de la petite "Belle de jour", la fillette de Bourrache, le restaurateur local. A partir de ce moment, la petite ville s'épie se jauge, se suspecte. La rancoeur fait place aux petites lâchetés du quotidien. On soupçonne bien vite le procureur Destinat, un notable parmi les notables. Il est procureur, vit reclus et triste dans son château depuis la mort de sa femme, Clélis. Un procureur qui avait ses habitudes au restaurant de Bourrache. Le suspect parfait.
Vingt ans se sont écoulés depuis la boucherie des tranchées de la Grande Guerre et le meurtre de la petite "Belle de jour". Un narrateur anonyme, ancien policier du village, tente de démêler l'écheveau de cette
"Affaire" qui semble le torturer. Il n'a plus envie de vivre depuis la mort affreuse de sa femme. Un homme sur le déclin. Trop d'horreurs, trop de drames. Chargé de l'"Affaire" à l'époque, il dévoile petit à petit sa version des faits. De digressions en digressions, il nous raconte des vies, nous raconte son village et nous cloue sur place dans les dernières pages en nous révelant son terrible secret. Le narrateur dira d'ailleurs au final: "Fouiller l'Affaire comme je l'ai fait, c'était sans doute une façon de ne pas me poser la vraie question, celle qu'on refuse tous de voir venir sur nos lèvres, dans nos cerveaux, dans nos âmes, qui ne sont, il est vrai, ni blanches ni noires, mais grises, joliment grises..."
Philippe Claudel réussit là un beau roman, plein d'humanité. Ces portraits des habitants sont justes, touchants, poignants. Pour illustrer le caractère de ses personnages, il recourt à de jolies jolies formules :"il coupe son poisson comme en le caressant" dira-t-il pour qualifier le procureur. Une image qui vaut mieux qu'un long discours. Un auteur qui sait nous toucher, notamment dans la description de cette jeune institutrice, dont l'amant est sur le front, et qui monte en haut du coteau pour observer au loin les combats incessants, pour partager un peu de ses souffrances.
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/4213Mots-clés : thème littéraire France 1920- guerre mondiale : 1914-1918 meurtre policier : genre enquête policière région Nord- Pas- de- Calais inégalité sociale classe sociale mal de vivre état dépressif vie sociale relation sociale relation homme-femme bourgeoisie comportemen sociale Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://calounet.pagesperso-orange.fr/resumes_livres/claudel_resume/claudel_amesg [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 20774 R CLA Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Les chariots de feu / Hugh Hudson / Twentieth Century Fox Home Entertainement LLC (2008)
Titre : Les chariots de feu Auteurs : Hugh Hudson, Auteur Editeur : Twentieth Century Fox Home Entertainement LLC, 2008 Collection : Le cinéma du Monde (Oscar) Importance : 118 mn Note générale : Réalisé en 1981, avec Ben Cross, Ian Charleston, Nigel Havers, Cheryl Campbell Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : Deux athlètes britanniques concourent aux Jeux Olympiques d'été de 1924 à Paris. L'Anglais Harold Abrahams est juif et il surmonte l'antisémitisme et la barrière de classe pour pouvoir se mesurer à celui que l'on surnomme l'Écossais volant, Éric Liddell au 100 mètres. Liddell, fervent pratiquant protestant presbytérien, déclare cependant forfait car ses convictions lui interdisent de courir un dimanche. À la place, Liddell est autorisé à prendre le départ du 400 mètres, un jeudi. Mots-clés : cinéma film Angleterre 1920- athlétisme sport jeux olympiques compétition sportive religion croyance religieuse morale éthique antisémitisme inégalité sociale université Cambridge : Angleterre idéal exploit sportif Thème de fiction : sport Type : document projeté ou vidéo ; fiction Les chariots de feu [document projeté ou vidéo] / Hugh Hudson, Auteur . - [S.l.] : Twentieth Century Fox Home Entertainement LLC, 2008 . - 118 mn. - (Le cinéma du Monde (Oscar)) .
Réalisé en 1981, avec Ben Cross, Ian Charleston, Nigel Havers, Cheryl Campbell
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : Deux athlètes britanniques concourent aux Jeux Olympiques d'été de 1924 à Paris. L'Anglais Harold Abrahams est juif et il surmonte l'antisémitisme et la barrière de classe pour pouvoir se mesurer à celui que l'on surnomme l'Écossais volant, Éric Liddell au 100 mètres. Liddell, fervent pratiquant protestant presbytérien, déclare cependant forfait car ses convictions lui interdisent de courir un dimanche. À la place, Liddell est autorisé à prendre le départ du 400 mètres, un jeudi. Mots-clés : cinéma film Angleterre 1920- athlétisme sport jeux olympiques compétition sportive religion croyance religieuse morale éthique antisémitisme inégalité sociale université Cambridge : Angleterre idéal exploit sportif Thème de fiction : sport Type : document projeté ou vidéo ; fiction Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 39621 DVD HUD DVD 3. DVDthèque Fictions Disponible Un Déjeuner de soleil / Michel Deon / Gallimard (1996)
PermalinkPermalinkMachenka / Vladimir Nabokov / Gallimard (1993)
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