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Titre : La Maison aux Esprits Auteurs : Isabel Allende, Auteur ; Claude Durand, Traducteur Editeur : LIVRE DE POCHE, 1982 Importance : 540 p. Langues : Français Langues originales : Espagnol Résumé : Une grande saga familiale dans une contrée qui ressemble à s'y méprendre au Chili. Entre les différentes générations, entre la branche des maîtres et celle des bâtards, entre le patriarche, les femmes de la maison, les domestiques, les paysans du domaine, se nouent et se dénouent des relations marquées par l'absolu de l'amour, la familiarité de la mort, la folie douce ou bestiale des uns et des autres, qui reflètent et résument les vicissitudes d'un pays.
Dans un pays d'Amérique latine non précisé, mais inspiré du Chili, La Maison aux esprits nous entraîne sur trois générations à travers l’histoire de la famille Trueba. Commençant au début du XXe siècle, elle s'achève dans les années soixante-dix. Un personnage traverse ce roman, le patriarche Esteban qui, parti de rien, à la force de son implacable volonté, établit un empire.
L’action se déroule en alternance dans deux lieux très différents : les Trois Maria, le domaine héréditaire d’Esteban, ancré dans la terre et qui lui sert de refuge à plusieurs reprises, et la « grande maison du coin », maison un peu prétentieuse conçue à l’origine par Esteban pour abriter sa future descendance, mais qui se métamorphose au fil des temps par des ajouts de « protubérances, d’escaliers tortueux aboutissant à des endroits inhabités, des tours et des tourelles […], de portes donnant sur le vide, de corridors labyrinthiques » [p. 122] dès que Clara a besoin d’accueillir un hôte nouveau. Elle transforme cette maison en lieu de passage, que ce soit pour les humains ou les esprits. C’est un lieu de secrets, d’enchantements mais aussi d’affrontements idéologiques entre le patriarche et ses enfants ou petits-enfants au fur et à mesure que le contexte politique prend plus de place dans le récit.
Mais il s’agit surtout de l’histoire d’une dynastie de femmes, vivant dans un monde spirituel très riche. Le personnage central qui accompagne toute l’histoire est Clara, la femme d’Esteban Trueba.
Clara a 10 ans lorsque débute le récit. Elle ne paraît pas appartenir tout à fait à la réalité. Elle est décrite à plusieurs reprises comme « innocente » et « extralucide ». Elle est l’annonciatrice de ce qui va se produire et le témoin de ce qui arrive. C’est un personnage éthéré qui converse avec les esprits et ne prend pied dans la réalité qu’après un terrible tremblement de terre, à l’origine de la destruction des Trois Maria ainsi que d’épidémies et de famines.
Par la suite, c’est sa petite-fille Alba qui prendra le relais, lors de l’accès à la présidence des socialistes. Le sénateur Trueba et les hommes d’affaires conservateurs de son espèce, craignant d’être dépossédés de leurs pouvoirs et de leurs biens, sabotèrent le nouveau gouvernement en confisquant les produits de première nécessité. Alba portera donc secours à son peuple, à l’insu de son grand-père. Elle continuera de même à lutter après l’instauration de la dictature militaire.Catégories : Chili Mots-clés : thème littéraire Amérique du Sud Chili Famille Enfant : famille Condition féminine miliue rural fantastique : genre réalisme poétique patriarcat inégalité sociale domestique 20e siècle 1970- idéologie politique conflit esprit fantôme Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://littexpress.over-blog.net/article-12965006-6.html La Maison aux Esprits [texte imprimé] / Isabel Allende, Auteur ; Claude Durand, Traducteur . - [S.l.] : LIVRE DE POCHE, 1982 . - 540 p.
ISBN : 978-2-253-03804-7 : 6,50
Langues : Français Langues originales : Espagnol
Résumé : Une grande saga familiale dans une contrée qui ressemble à s'y méprendre au Chili. Entre les différentes générations, entre la branche des maîtres et celle des bâtards, entre le patriarche, les femmes de la maison, les domestiques, les paysans du domaine, se nouent et se dénouent des relations marquées par l'absolu de l'amour, la familiarité de la mort, la folie douce ou bestiale des uns et des autres, qui reflètent et résument les vicissitudes d'un pays.
Dans un pays d'Amérique latine non précisé, mais inspiré du Chili, La Maison aux esprits nous entraîne sur trois générations à travers l’histoire de la famille Trueba. Commençant au début du XXe siècle, elle s'achève dans les années soixante-dix. Un personnage traverse ce roman, le patriarche Esteban qui, parti de rien, à la force de son implacable volonté, établit un empire.
L’action se déroule en alternance dans deux lieux très différents : les Trois Maria, le domaine héréditaire d’Esteban, ancré dans la terre et qui lui sert de refuge à plusieurs reprises, et la « grande maison du coin », maison un peu prétentieuse conçue à l’origine par Esteban pour abriter sa future descendance, mais qui se métamorphose au fil des temps par des ajouts de « protubérances, d’escaliers tortueux aboutissant à des endroits inhabités, des tours et des tourelles […], de portes donnant sur le vide, de corridors labyrinthiques » [p. 122] dès que Clara a besoin d’accueillir un hôte nouveau. Elle transforme cette maison en lieu de passage, que ce soit pour les humains ou les esprits. C’est un lieu de secrets, d’enchantements mais aussi d’affrontements idéologiques entre le patriarche et ses enfants ou petits-enfants au fur et à mesure que le contexte politique prend plus de place dans le récit.
Mais il s’agit surtout de l’histoire d’une dynastie de femmes, vivant dans un monde spirituel très riche. Le personnage central qui accompagne toute l’histoire est Clara, la femme d’Esteban Trueba.
Clara a 10 ans lorsque débute le récit. Elle ne paraît pas appartenir tout à fait à la réalité. Elle est décrite à plusieurs reprises comme « innocente » et « extralucide ». Elle est l’annonciatrice de ce qui va se produire et le témoin de ce qui arrive. C’est un personnage éthéré qui converse avec les esprits et ne prend pied dans la réalité qu’après un terrible tremblement de terre, à l’origine de la destruction des Trois Maria ainsi que d’épidémies et de famines.
Par la suite, c’est sa petite-fille Alba qui prendra le relais, lors de l’accès à la présidence des socialistes. Le sénateur Trueba et les hommes d’affaires conservateurs de son espèce, craignant d’être dépossédés de leurs pouvoirs et de leurs biens, sabotèrent le nouveau gouvernement en confisquant les produits de première nécessité. Alba portera donc secours à son peuple, à l’insu de son grand-père. Elle continuera de même à lutter après l’instauration de la dictature militaire.Catégories : Chili Mots-clés : thème littéraire Amérique du Sud Chili Famille Enfant : famille Condition féminine miliue rural fantastique : genre réalisme poétique patriarcat inégalité sociale domestique 20e siècle 1970- idéologie politique conflit esprit fantôme Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://littexpress.over-blog.net/article-12965006-6.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5517 R ALL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Tours et détours de la vilaine fille Auteurs : Mario Vargas Llosa, Auteur Editeur : Gallimard, 2010 Collection : Folio Importance : 419 p. Langues : Français Langues originales : Espagnol Résumé : A Lima, l'été 1950 s'annonce prodigieux. La jeunesse dorée du quartier de Miraflores se trémousse au son du mambo. Ricardo Somocurcio, le héros, va succomber au charme d'une insolente gamine venue du lointain Chili. Reine de la piste de danse, Lily ne peut laisser personne indifférent. Voici le point de départ du nouveau roman de Vargas Llosa, faussement léger et plein de surprises, qui vous entraîne sur les pas d'une vilaine fille aux identités multiples. Un vrai régal!
Que de tours et de malices chez cette 'vilaine fille', toujours et tant aimée par son ami Ricardo, le 'bon garçon'. Ils se rencontrent pour la première fois au début des années cinquante, en pleine adolescence, dans l'un des quartiers les plus huppés de Lima, Miraflores. Joyeux, inconscients, ils font partie d'une jeunesse dorée qui se passionne pour les rythmes du mambo et ne connaît d'autre souci que les chagrins d'amour. Rien ne laissait alors deviner que celle qu'on appelait à Miraflores 'la petite Chilienne' allait devenir, quelques années plus tard, une farouche guérillera dans la Cuba de Castro, puis l'épouse d'un diplomate dans le Paris des existentialistes, ou encore une richissime aristocrate dans le swinging London. D'une époque, d'un pays à l'autre, Ricardo la suit et la poursuit, comme le plus obscur objet de son désir. Et chaque fois, il ne la retrouve que pour la perdre. Et, bien entendu, ne la perd que pour mieux la rechercher. Il n'est jamais facile d'écrire l'histoire d'une obsession. Mais la difficulté est encore plus grande quand il s'agit d'une obsession amoureuse et quand l'histoire que l'on raconte est celle d'une passion.
Autobiographie ou fiction ? Question qui se pose régulièrement à la sortie d'un nouveau roman de Vargas Llosa, et ce malgré la lutte revendiquée par l'auteur contre la réalité vraie dans l'écriture. Il prône l'imaginaire et toutes les fantaisies que celui-ci permet. Mais alors, d'où lui sont venus les mots si justes pour décrire l'amour absolu ?
Lorsque Ricardo Somocurcio rencontre pour la première fois sa belle dans les années 1950 à Lima, alors qu'il n'est qu'adolescent, il ignore encore qu'elle sera celle qui donnera un sens à sa vie. Ou plutôt devrait-on dire celle qui fera de lui un ange gardien, un serviteur dévoué, sujet à tant de mépris et de malveillance. L'ambition sans limite de cette femme à l'identité multiple l'amènera très loin dans sa conquête de l'argent et du pouvoir. Mais aussi très bas.
Ce personnage haut en couleur ne se complaît que dans les extrêmes, captivant le lecteur à chaque nouvelle apparition. Les retrouvailles fortuites entre le “bon garçon” et la “niña mala” organisent le récit. Leur invraisemblance finit par ne plus surprendre mais sonne comme une invitation au voyage : le Cuba révolutionnaire, le swinging London et la vague hippie de Woodstock, une Tokyo aux moeurs étranges, une Madrid en pleine effervescence culturelle et Paris, le seul vrai pied-à-terre de Ricardo, son havre de paix, où il tente de se reconstruire après chaque nouveau ravage causé par 'Otilita'. Et puis il y a aussi son Pérou d'origine, décrit à travers les lettres pessimistes de l'oncle Ataulfo sur le devenir politique et économique du pays.
La langue est directe et franche et quelques scènes sont décrites crûment, peut-être pour mieux rendre compte des sentiments du personnage-narrateur. Quant à la question initiale sur la part d'authenticité dans le récit, elle importe finalement peu. L'auteur de 'Conversation à la cathédrale' nous propose une fois encore un roman copieux à dévorer sans raison garder.
par Fanny Flamerion
http://www.evene.fr/livres/livre/mario-vargas-llosa-tours-et-detours-de-la-vilaine-fille-22583.php
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/tours-et-detours-de-la-vilaine-18261Mots-clés : thème littéraire Pérou Lima : Pérou 1950- relation homme-femme amour passion élite sociale aventures : voyage quête condition féminine Cuba Paris Londres : Grande-Bretagne Madrid : Espagne Chili comportement social comportement sexuel ambition identité Tokyo contestation Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.lexpress.fr/culture/livre/tours-et-detours-de-la-vilaine-fille_811681 [...] Tours et détours de la vilaine fille [texte imprimé] / Mario Vargas Llosa, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 2010 . - 419 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-035140-4 : 8.20
Langues : Français Langues originales : Espagnol
Résumé : A Lima, l'été 1950 s'annonce prodigieux. La jeunesse dorée du quartier de Miraflores se trémousse au son du mambo. Ricardo Somocurcio, le héros, va succomber au charme d'une insolente gamine venue du lointain Chili. Reine de la piste de danse, Lily ne peut laisser personne indifférent. Voici le point de départ du nouveau roman de Vargas Llosa, faussement léger et plein de surprises, qui vous entraîne sur les pas d'une vilaine fille aux identités multiples. Un vrai régal!
Que de tours et de malices chez cette 'vilaine fille', toujours et tant aimée par son ami Ricardo, le 'bon garçon'. Ils se rencontrent pour la première fois au début des années cinquante, en pleine adolescence, dans l'un des quartiers les plus huppés de Lima, Miraflores. Joyeux, inconscients, ils font partie d'une jeunesse dorée qui se passionne pour les rythmes du mambo et ne connaît d'autre souci que les chagrins d'amour. Rien ne laissait alors deviner que celle qu'on appelait à Miraflores 'la petite Chilienne' allait devenir, quelques années plus tard, une farouche guérillera dans la Cuba de Castro, puis l'épouse d'un diplomate dans le Paris des existentialistes, ou encore une richissime aristocrate dans le swinging London. D'une époque, d'un pays à l'autre, Ricardo la suit et la poursuit, comme le plus obscur objet de son désir. Et chaque fois, il ne la retrouve que pour la perdre. Et, bien entendu, ne la perd que pour mieux la rechercher. Il n'est jamais facile d'écrire l'histoire d'une obsession. Mais la difficulté est encore plus grande quand il s'agit d'une obsession amoureuse et quand l'histoire que l'on raconte est celle d'une passion.
Autobiographie ou fiction ? Question qui se pose régulièrement à la sortie d'un nouveau roman de Vargas Llosa, et ce malgré la lutte revendiquée par l'auteur contre la réalité vraie dans l'écriture. Il prône l'imaginaire et toutes les fantaisies que celui-ci permet. Mais alors, d'où lui sont venus les mots si justes pour décrire l'amour absolu ?
Lorsque Ricardo Somocurcio rencontre pour la première fois sa belle dans les années 1950 à Lima, alors qu'il n'est qu'adolescent, il ignore encore qu'elle sera celle qui donnera un sens à sa vie. Ou plutôt devrait-on dire celle qui fera de lui un ange gardien, un serviteur dévoué, sujet à tant de mépris et de malveillance. L'ambition sans limite de cette femme à l'identité multiple l'amènera très loin dans sa conquête de l'argent et du pouvoir. Mais aussi très bas.
Ce personnage haut en couleur ne se complaît que dans les extrêmes, captivant le lecteur à chaque nouvelle apparition. Les retrouvailles fortuites entre le “bon garçon” et la “niña mala” organisent le récit. Leur invraisemblance finit par ne plus surprendre mais sonne comme une invitation au voyage : le Cuba révolutionnaire, le swinging London et la vague hippie de Woodstock, une Tokyo aux moeurs étranges, une Madrid en pleine effervescence culturelle et Paris, le seul vrai pied-à-terre de Ricardo, son havre de paix, où il tente de se reconstruire après chaque nouveau ravage causé par 'Otilita'. Et puis il y a aussi son Pérou d'origine, décrit à travers les lettres pessimistes de l'oncle Ataulfo sur le devenir politique et économique du pays.
La langue est directe et franche et quelques scènes sont décrites crûment, peut-être pour mieux rendre compte des sentiments du personnage-narrateur. Quant à la question initiale sur la part d'authenticité dans le récit, elle importe finalement peu. L'auteur de 'Conversation à la cathédrale' nous propose une fois encore un roman copieux à dévorer sans raison garder.
par Fanny Flamerion
http://www.evene.fr/livres/livre/mario-vargas-llosa-tours-et-detours-de-la-vilaine-fille-22583.php
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/tours-et-detours-de-la-vilaine-18261Mots-clés : thème littéraire Pérou Lima : Pérou 1950- relation homme-femme amour passion élite sociale aventures : voyage quête condition féminine Cuba Paris Londres : Grande-Bretagne Madrid : Espagne Chili comportement social comportement sexuel ambition identité Tokyo contestation Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.lexpress.fr/culture/livre/tours-et-detours-de-la-vilaine-fille_811681 [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41918 R VAR Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Victor Jara : "Non à la dictature" Auteurs : Bruno Doucey, Auteur Editeur : Actes Sud Junior, 2009 Collection : Ceux qui ont dit non Importance : 96 p. : ill. Langues : Français Résumé : Le 11 septembre 1973, à Santiago du Chili, Augusto Pinochet prend le pouvoir et installe une dictature à la place du gouvernement démocratique du président Allende. Ce jour-là, Victor Jara, un jeune auteur-compositeur proche des socialistes, est arrêté et emprisonné avec des centaines d'autres personnes dans le stade de Santiago. Il y sera exécuté, non sans avoir eu les mains écrasées par un militaire. Mais son chant de protestation continuera à résonner longtemps dans le stade... La dictature a plusieurs visages : celui de Pinochet, qui finit par mourir à un âge avancé sans avoir répondu de ses crimes. Ou bien celui de la junte militaire birmane, qui séquestre le prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi et élimine tous ses opposants. Ou tant d'autres encore à travers le monde.
Thèmes : Histoire, Amérique latine, Dictature
La voix d’un chanteur ne s’éteint pas avec lui, les paroles de ses chansons non plus. Elles continuent leur chemin et, lorsque tout espoir semble s’être envolé, elles sont encore là pour donner du courage, pour aider à supporter l’insupportable, pour croire encore à l’avenir. C’est probablement ce que Victor Jara souhaitait. Ce metteur en scène connu mais aussi chanteur ne cessa jamais d’espérer des jours meilleurs, plus justes, plus démocratiques pour son pays. Porté par cet espoir il met, dès 1970, sa voix, ses textes et son énergie au service du président chilien Salvador Allende. Malheureusement cet espoir de démocratie durable pour le Chili s’écroule le 11 septembre 1973 lors du coup d’état du général Pinochet. Victor Jara sera arrêté, torturé et tué…
On a ici une évocation romancée (et rapide) de la vie mais surtout de la mort du chanteur chilien Victor Jara.Mots-clés : thème littéraire Chili 1970- Santiago du Chili Pinochet, Augusto : 1915-2006 dictature violence droits de 'lhomme violation des droits de l'homme chanteur métier : arts du spectacle liberté de pensée En ligne : http://sos-net.eu.org/etrangers/discrim.htm Victor Jara : "Non à la dictature" [texte imprimé] / Bruno Doucey, Auteur . - [S.l.] : Actes Sud Junior, 2009 . - 96 p. : ill.. - (Ceux qui ont dit non) .
ISBN : 978-2-7427-7384-8 : 7.80
Langues : Français
Résumé : Le 11 septembre 1973, à Santiago du Chili, Augusto Pinochet prend le pouvoir et installe une dictature à la place du gouvernement démocratique du président Allende. Ce jour-là, Victor Jara, un jeune auteur-compositeur proche des socialistes, est arrêté et emprisonné avec des centaines d'autres personnes dans le stade de Santiago. Il y sera exécuté, non sans avoir eu les mains écrasées par un militaire. Mais son chant de protestation continuera à résonner longtemps dans le stade... La dictature a plusieurs visages : celui de Pinochet, qui finit par mourir à un âge avancé sans avoir répondu de ses crimes. Ou bien celui de la junte militaire birmane, qui séquestre le prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi et élimine tous ses opposants. Ou tant d'autres encore à travers le monde.
Thèmes : Histoire, Amérique latine, Dictature
La voix d’un chanteur ne s’éteint pas avec lui, les paroles de ses chansons non plus. Elles continuent leur chemin et, lorsque tout espoir semble s’être envolé, elles sont encore là pour donner du courage, pour aider à supporter l’insupportable, pour croire encore à l’avenir. C’est probablement ce que Victor Jara souhaitait. Ce metteur en scène connu mais aussi chanteur ne cessa jamais d’espérer des jours meilleurs, plus justes, plus démocratiques pour son pays. Porté par cet espoir il met, dès 1970, sa voix, ses textes et son énergie au service du président chilien Salvador Allende. Malheureusement cet espoir de démocratie durable pour le Chili s’écroule le 11 septembre 1973 lors du coup d’état du général Pinochet. Victor Jara sera arrêté, torturé et tué…
On a ici une évocation romancée (et rapide) de la vie mais surtout de la mort du chanteur chilien Victor Jara.Mots-clés : thème littéraire Chili 1970- Santiago du Chili Pinochet, Augusto : 1915-2006 dictature violence droits de 'lhomme violation des droits de l'homme chanteur métier : arts du spectacle liberté de pensée En ligne : http://sos-net.eu.org/etrangers/discrim.htm Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41122 RH DOU Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La Lampe d'Aladino et autres histoires pour vaincre l'oubli: Prix Bourdelle Poche 2010 Auteurs : Luis Sepulveda, Auteur Editeur : Métailié, 2010 Importance : 156 p. Langues : Français Langues originales : Espagnol Résumé : Aladino Garib dit le Turc, petit commerçant palestinien, débarque à Puerto Eden, au plus profond du détroit de Magellan, et c’est de sa lampe que surgissent comme par magie des contes magistraux, de merveilleux romans miniatures et des histoires comme Luis Sepúlveda en a le secret.
On y rencontre des personnages inoubliables dans leur dignité et leur humanité. On y retrouve, entre autres, un dentiste et son ami, vieux chasseur de jaguars et amateur de romans d’amour, une dame grecque d’Alexandrie, un marin de Hambourg amoureux, un fabriquant de miroirs dans un hôtel lentement dévoré par la forêt amazonienne, aux confins de l’Équateur et de la Colombie, avant de partir pour une Patagonie que les fantômes de Butch Cassidy et Sundance Kid hantent encore grâce à un chien bien dressé et un astucieux découvreur de trésor.
"Comme le suggère la couverture et le sous-titre, l'auteur nous invite à un voyage au cœur de la mémoire et des souvenirs.
Et les souvenirs refont surface dès le premier récit puisqu'il est question d'un vieux, d'un dentiste et d'un maire ayant quelque souci de sudation. Vous l'aurez compris, avec La reconstruction de la cathédrale, Sépulveda s'amuse l'espace d'une dizaine de pages à ressusciter les protagonistes du roman qui l'a rendu mondialement célèbre. Cette suite, non dénuée d'humour, donne aussi le "la" à l'ensemble du recueil. Le lecteur comprend très vite, que l'exil et la mélancolie sont au centre de ces mille et une nuits chiliennes.
Après cette première étape dans les souvenirs littéraires, le voyage se poursuit à bord de l'Hôtel Z perdu au fin fond de la forêt, dans les rues d'Alexandrie, en Allemagne ou en Espagne. Mais toujours les fantômes traversent les récits; ils sont au cœur de l'écriture de Sepulveda et ont ceci de particulier que certains ont réellement existé. Tout au long des 12 récits que forment l'ensemble, la réalité est étroitement liée à la fiction et il est bien difficile de démêler l'invention des souvenirs. Au cours de ces pérégrinations, vous croiserez entre autre Butch Cassidy, Miguel Angel Estrella ou Hugo Araya Gaonzalez.
Chaque nouvelle est un univers en soi et j'ai retrouvé cette capacité merveilleuse qu'a Sepulveda à nous faire oublier le monde qui nous entoure. Dès que l'on ouvre le recueil et que l'on se perd dans les mots de l'auteur, c'est la même magie qui opère : les personnages et paysages sortent des pages dans lesquelles ils étaient enfermés pour envahir votre espace. Ils sont là, près de vous, et vous murmurent leurs histoires. Sepulveda se fait tour à tour bateleur, conteur, mémoire collective. Mais l'on sent aussi l'homme meurtri, l'apatride en manque de sa terre natale, le poète exilé. Pas une histoire qui ne soit emprunte de ce sentiment tenace d'abandon et de nostalgie.
De tous les tableaux que nous propose Sepulveda, un m'a tout particulièrement touchée. Dans Un dîner en compagnie de poètes morts, Luis Sepulveda rend hommage à ses compatriotes, morts suite au coup d'État de 1973. "
http://www.biblioblog.fr/index.php/post/2009/01/12/La-lampe-d-Aladino-et-autre-histoires-pour-vaincre-l-oubli-Luis-Sepulveda
Biographie de l'auteur
Luis SEPULVEDA est né en 1949 et vit actuellement dans les Asturies, en Espagne, après avoir habité Hambourg et Paris. Il est l'auteur, entre autres, du Vieux qui lisait des romans d'amour, d'Un nom de torero, de Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler, des Roses d'Atacama, de La Folie de Pinochet, d'Une sale histoire. Ses livres sont traduits dans 35 pays.Mots-clés : thème littéraire cathédrale Chili marin Amérique du Sud Mémoire Souvenir exil mélancolie voyage 1970- Patagonie En ligne : http://www.livres-a-lire.net/article-26443100.html La Lampe d'Aladino et autres histoires pour vaincre l'oubli : Prix Bourdelle Poche 2010 [texte imprimé] / Luis Sepulveda, Auteur . - [S.l.] : Métailié, 2010 . - 156 p.
ISBN : 978-2-7578-1763-6 : 5.50
Langues : Français Langues originales : Espagnol
Résumé : Aladino Garib dit le Turc, petit commerçant palestinien, débarque à Puerto Eden, au plus profond du détroit de Magellan, et c’est de sa lampe que surgissent comme par magie des contes magistraux, de merveilleux romans miniatures et des histoires comme Luis Sepúlveda en a le secret.
On y rencontre des personnages inoubliables dans leur dignité et leur humanité. On y retrouve, entre autres, un dentiste et son ami, vieux chasseur de jaguars et amateur de romans d’amour, une dame grecque d’Alexandrie, un marin de Hambourg amoureux, un fabriquant de miroirs dans un hôtel lentement dévoré par la forêt amazonienne, aux confins de l’Équateur et de la Colombie, avant de partir pour une Patagonie que les fantômes de Butch Cassidy et Sundance Kid hantent encore grâce à un chien bien dressé et un astucieux découvreur de trésor.
"Comme le suggère la couverture et le sous-titre, l'auteur nous invite à un voyage au cœur de la mémoire et des souvenirs.
Et les souvenirs refont surface dès le premier récit puisqu'il est question d'un vieux, d'un dentiste et d'un maire ayant quelque souci de sudation. Vous l'aurez compris, avec La reconstruction de la cathédrale, Sépulveda s'amuse l'espace d'une dizaine de pages à ressusciter les protagonistes du roman qui l'a rendu mondialement célèbre. Cette suite, non dénuée d'humour, donne aussi le "la" à l'ensemble du recueil. Le lecteur comprend très vite, que l'exil et la mélancolie sont au centre de ces mille et une nuits chiliennes.
Après cette première étape dans les souvenirs littéraires, le voyage se poursuit à bord de l'Hôtel Z perdu au fin fond de la forêt, dans les rues d'Alexandrie, en Allemagne ou en Espagne. Mais toujours les fantômes traversent les récits; ils sont au cœur de l'écriture de Sepulveda et ont ceci de particulier que certains ont réellement existé. Tout au long des 12 récits que forment l'ensemble, la réalité est étroitement liée à la fiction et il est bien difficile de démêler l'invention des souvenirs. Au cours de ces pérégrinations, vous croiserez entre autre Butch Cassidy, Miguel Angel Estrella ou Hugo Araya Gaonzalez.
Chaque nouvelle est un univers en soi et j'ai retrouvé cette capacité merveilleuse qu'a Sepulveda à nous faire oublier le monde qui nous entoure. Dès que l'on ouvre le recueil et que l'on se perd dans les mots de l'auteur, c'est la même magie qui opère : les personnages et paysages sortent des pages dans lesquelles ils étaient enfermés pour envahir votre espace. Ils sont là, près de vous, et vous murmurent leurs histoires. Sepulveda se fait tour à tour bateleur, conteur, mémoire collective. Mais l'on sent aussi l'homme meurtri, l'apatride en manque de sa terre natale, le poète exilé. Pas une histoire qui ne soit emprunte de ce sentiment tenace d'abandon et de nostalgie.
De tous les tableaux que nous propose Sepulveda, un m'a tout particulièrement touchée. Dans Un dîner en compagnie de poètes morts, Luis Sepulveda rend hommage à ses compatriotes, morts suite au coup d'État de 1973. "
http://www.biblioblog.fr/index.php/post/2009/01/12/La-lampe-d-Aladino-et-autre-histoires-pour-vaincre-l-oubli-Luis-Sepulveda
Biographie de l'auteur
Luis SEPULVEDA est né en 1949 et vit actuellement dans les Asturies, en Espagne, après avoir habité Hambourg et Paris. Il est l'auteur, entre autres, du Vieux qui lisait des romans d'amour, d'Un nom de torero, de Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler, des Roses d'Atacama, de La Folie de Pinochet, d'Une sale histoire. Ses livres sont traduits dans 35 pays.Mots-clés : thème littéraire cathédrale Chili marin Amérique du Sud Mémoire Souvenir exil mélancolie voyage 1970- Patagonie En ligne : http://www.livres-a-lire.net/article-26443100.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41218 N SEP Livre 1. Fictions 4. Nouvelles Disponible