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1936, La Guerre d'Espagne commence / EMILE TEMIME / Editions Complexe (2006)
Titre : 1936, La Guerre d'Espagne commence Auteurs : EMILE TEMIME, Auteur Editeur : Editions Complexe, 2006 Importance : 160 p. Langues : Français Résumé : Juillet 1936 : des généraux cherchent à renverser le gouvernement du Front populaire au pouvoir depuis moins de six mois dam la jeune République espagnole. L'échec initial du putsch ne fait pourtant pas place à la stabilisation ou à un compromis. L'Espagne se déchire - socialement et
géographiquement - en deux camps qui s'affrontent violemment. Les événements qui se précipitent expriment d'abord la volonté acharnée de régler les comptes accumulés depuis des décennies au cours des conflits sociaux, politiques, nationaux et religieux qui formaient la trame de l'histoire de-ce pays. Avec la prolongation des hostilités, la lutte s'internationalise : l'Italie fasciste et l'Allemagne nazie interviennent massivement aux côtés des nationalistes; les puissances démocratiques proclament leur neutralité et les républicains se voient offrir l'assistance (et les ingérences) de la seule URSS. L'opinion des peuples européens est remuée en profondeur. Les Brigades internationales constituent un mouvement de. solidarité d'une ampleur inconnue et les engagements ou les déchirements de conscience marqueront toute une génération d'intellectuels. Si la guerre d'Espagne apparaît rétrospectivement comme le terrain des premières batailles de la Seconde Guerre mondiale, elle a aussi engendré un ensemble de récits épiques, de mythes héroïques ou horribles qui ont imprégné la conscience populaire jusqu'à nos jours.Mots-clés : guerre d'Espagne : 1936-1939 Espagne Militaire armée conflit social violence politique rébellion révolte : politique Pronunciamento condition paysanne libéralisme industrie oligarchie classe dirigeante hiérarchie sociale système social mutation sociale parti conservateur mouvement politique réforme sociale bienio negro répression poltique droite : politique médias Front populaire nationaliste brigade internationale propagande franquisme fascisme légende Alcazar Madrid 1936, La Guerre d'Espagne commence [texte imprimé] / EMILE TEMIME, Auteur . - [S.l.] : Editions Complexe, 2006 . - 160 p.
ISBN : 978-2-8048-0076-5 : 10.00
Langues : Français
Résumé : Juillet 1936 : des généraux cherchent à renverser le gouvernement du Front populaire au pouvoir depuis moins de six mois dam la jeune République espagnole. L'échec initial du putsch ne fait pourtant pas place à la stabilisation ou à un compromis. L'Espagne se déchire - socialement et
géographiquement - en deux camps qui s'affrontent violemment. Les événements qui se précipitent expriment d'abord la volonté acharnée de régler les comptes accumulés depuis des décennies au cours des conflits sociaux, politiques, nationaux et religieux qui formaient la trame de l'histoire de-ce pays. Avec la prolongation des hostilités, la lutte s'internationalise : l'Italie fasciste et l'Allemagne nazie interviennent massivement aux côtés des nationalistes; les puissances démocratiques proclament leur neutralité et les républicains se voient offrir l'assistance (et les ingérences) de la seule URSS. L'opinion des peuples européens est remuée en profondeur. Les Brigades internationales constituent un mouvement de. solidarité d'une ampleur inconnue et les engagements ou les déchirements de conscience marqueront toute une génération d'intellectuels. Si la guerre d'Espagne apparaît rétrospectivement comme le terrain des premières batailles de la Seconde Guerre mondiale, elle a aussi engendré un ensemble de récits épiques, de mythes héroïques ou horribles qui ont imprégné la conscience populaire jusqu'à nos jours.Mots-clés : guerre d'Espagne : 1936-1939 Espagne Militaire armée conflit social violence politique rébellion révolte : politique Pronunciamento condition paysanne libéralisme industrie oligarchie classe dirigeante hiérarchie sociale système social mutation sociale parti conservateur mouvement politique réforme sociale bienio negro répression poltique droite : politique médias Front populaire nationaliste brigade internationale propagande franquisme fascisme légende Alcazar Madrid Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41032 946.081 TEM Livre 2. Documentaires 900 Histoire-Géographie Disponible Autant en emporte le vent .1 / Margaret Mitchell / Gallimard (1992)
Titre : Autant en emporte le vent .1 Auteurs : Margaret Mitchell, Auteur Editeur : Gallimard, 1992 Collection : Folio Importance : 476 p. Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : Autant en emporte le vent est l'unique roman de l'américaine Margaret Mitchell (1900-1949). Elle obtint avec ce best seller le prix Pulitzer en 1937.
Pendant la guerre de Sécession, alors que le Sud esclavagiste auquel ils appartiennent tous les deux est en train de perdre ses dernières batailles contre le Nord, Rhett Butler et Scarlett O'Hara s'aiment et se déchirent.
Georgie, 1861. Scarlett O'Hara est une jeune femme fière et volontaire de la haute société sudiste. Comme l'écrit Stanley Geist :
« c'est une charmante enfant gâtée. Coquette, elle a les cheveux noirs, un visage aux traits réguliers, presque beaux, « d'une douceur contrôlée » dont les fossettes profondes suggèrent l'innocence, mais dont les yeux verts sont « turbulents , obstinés, plein de vie ». Elle a une belle poitrine , une taille de guêpe, de petites mains et de petits pieds, un tempérament irlandais, l'accent du sud, des passions brûlantes, un cerveau froid et pratique. »
Courtisée par tous les bons partis du pays, Scarlett O'Hara n'a d'yeux que pour Ashley Wilkes. Mais celui-ci est amoureux de la douce et timide Melanie Hamilton. Scarlett est pourtant bien décidée à le faire changer d'avis, mais à la réception des Douze Chênes c'est du cynique Rhett Butler qu'elle retient l'attention.
En pleine guerre de Sécession, Scarlett O'Hara voit le bel avenir qui lui était réservé à jamais ravagé. Douée d'une énergie hors du commun, la jeune Scarlett devient une femme cynique et orgueilleuse. Elle va se battre sur tous les fronts. Revenue à Tara, le domaine paternel dévasté, elle le reconstruit puis épouse par nécessité Rhett Butler. Le couple s'installe à Atlanta, mais leurs relations sont difficiles et, après la mort de leur unique enfant, Rhett décide de quitter la maison définitivement et d'abandonner Scarlett . Elle le supplie de rester :
« Ou Irai je , Que vais je devenir ? »
et Rhett Butler d'avoir cette réponse définitive :
"Franchement ma chère... Je m'en fiche comme d'une guigne".
Scarlett décide alors de revenir seule à Tara.
Autant en emporte le vent (Gone With the Wind), le film aux 10 Oscars
Gone With the Wind a remporté dix Oscars en 1940 : ceux du Meilleur Film, Meilleur Réalisateur, Meilleur Scénario, Meilleure Actrice, Meilleur Actrice dans un Second Rôle pour Hattie Mc Daniel , Meilleure Photographie, Meilleur Montage, Meilleure Direction Artistique et deux récompenses techniques spéciales dont une pour le décorateur William Cameron Menzies. Autant en emporte le vent avait également été nominé dans les catégories Meilleur Acteur pour Clark Gable, Meilleure Musique, Meilleur Son et Meilleurs Effets Spéciaux.
Film américain de Victor Fleming (1939). Scénario : Sidney Howard d'après le roman de Margaret Mitchell.
Avec :
Vivien Leigh - Scarlett O'Hara
Clark Gable - Rhett ButlerMots-clés : thème littéraire Etats-Unis Etats- Unis : Sud guerre de Sécession : 1861- 1865 condition féminine classe dirigeante relation homme-femme comportement social bien foncier conflit armé violence couple : famille discrimination raciale Niveau : BP Thème de fiction : amour/femme/guerre Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Autant en emporte le vent .1 [texte imprimé] / Margaret Mitchell, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1992 . - 476 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-036740-5 : 8.00
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : Autant en emporte le vent est l'unique roman de l'américaine Margaret Mitchell (1900-1949). Elle obtint avec ce best seller le prix Pulitzer en 1937.
Pendant la guerre de Sécession, alors que le Sud esclavagiste auquel ils appartiennent tous les deux est en train de perdre ses dernières batailles contre le Nord, Rhett Butler et Scarlett O'Hara s'aiment et se déchirent.
Georgie, 1861. Scarlett O'Hara est une jeune femme fière et volontaire de la haute société sudiste. Comme l'écrit Stanley Geist :
« c'est une charmante enfant gâtée. Coquette, elle a les cheveux noirs, un visage aux traits réguliers, presque beaux, « d'une douceur contrôlée » dont les fossettes profondes suggèrent l'innocence, mais dont les yeux verts sont « turbulents , obstinés, plein de vie ». Elle a une belle poitrine , une taille de guêpe, de petites mains et de petits pieds, un tempérament irlandais, l'accent du sud, des passions brûlantes, un cerveau froid et pratique. »
Courtisée par tous les bons partis du pays, Scarlett O'Hara n'a d'yeux que pour Ashley Wilkes. Mais celui-ci est amoureux de la douce et timide Melanie Hamilton. Scarlett est pourtant bien décidée à le faire changer d'avis, mais à la réception des Douze Chênes c'est du cynique Rhett Butler qu'elle retient l'attention.
En pleine guerre de Sécession, Scarlett O'Hara voit le bel avenir qui lui était réservé à jamais ravagé. Douée d'une énergie hors du commun, la jeune Scarlett devient une femme cynique et orgueilleuse. Elle va se battre sur tous les fronts. Revenue à Tara, le domaine paternel dévasté, elle le reconstruit puis épouse par nécessité Rhett Butler. Le couple s'installe à Atlanta, mais leurs relations sont difficiles et, après la mort de leur unique enfant, Rhett décide de quitter la maison définitivement et d'abandonner Scarlett . Elle le supplie de rester :
« Ou Irai je , Que vais je devenir ? »
et Rhett Butler d'avoir cette réponse définitive :
"Franchement ma chère... Je m'en fiche comme d'une guigne".
Scarlett décide alors de revenir seule à Tara.
Autant en emporte le vent (Gone With the Wind), le film aux 10 Oscars
Gone With the Wind a remporté dix Oscars en 1940 : ceux du Meilleur Film, Meilleur Réalisateur, Meilleur Scénario, Meilleure Actrice, Meilleur Actrice dans un Second Rôle pour Hattie Mc Daniel , Meilleure Photographie, Meilleur Montage, Meilleure Direction Artistique et deux récompenses techniques spéciales dont une pour le décorateur William Cameron Menzies. Autant en emporte le vent avait également été nominé dans les catégories Meilleur Acteur pour Clark Gable, Meilleure Musique, Meilleur Son et Meilleurs Effets Spéciaux.
Film américain de Victor Fleming (1939). Scénario : Sidney Howard d'après le roman de Margaret Mitchell.
Avec :
Vivien Leigh - Scarlett O'Hara
Clark Gable - Rhett ButlerMots-clés : thème littéraire Etats-Unis Etats- Unis : Sud guerre de Sécession : 1861- 1865 condition féminine classe dirigeante relation homme-femme comportement social bien foncier conflit armé violence couple : famille discrimination raciale Niveau : BP Thème de fiction : amour/femme/guerre Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12728 R MIT Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Les beaux quartiers Auteurs : Louis Aragon Editeur : Gallimard, 1996 Collection : Folio num. 241 Importance : 629 p. Langues : Français Résumé : Ce roman est l'histoire de deux frères, Edmond et Armand Barbentane. Le premier devra sa fortune à l'abandon qu'un homme riche lui fait de sa maîtresse. Armand, lui, abandonnant les siens, est devenu ouvrier dans une usine de Levallois-Perret : son avenir s'en trouvera changé.
Ce roman est le second du Monde réel qu'inaugurait Les Cloches de Bâle.
* Première partie : Sérianne, petite ville imaginaire du sud de la France.
* Deuxième partie : Paris.
* Troisième partie : Passage Club, un cercle de jeu de la capitale.
Dans la première partie, on découvre la vie étriquée d’une petite ville imaginaire, Sérianne, composée à partir de souvenirs hétéroclites de l’auteur, au pied des Préalpes du Sud, proche de Marseille, en 1912.Au fil des premiers chapitres apparaissent quelques personnages typiques : Eugène le marchand de couronnes mortuaires, qui abuse de sa servante Angélique et à l’occasion la rosse copieusement ; un jeune docteur amant de la femme du percepteur ; quelques fils de bonnes familles militants dans une association patriotique d’extrême droite « pro patria » ; un vieil aristocrate ruiné et sa fille ; un maître chocolatier au prise avec des licenciements et des grèves ; tout ce beau monde se retrouve régulièrement au « Panier Fleuri », la maison close, lieu incontournable de la IIIe République. Apparaissent aussi les fils conducteurs du roman : le docteur Barbentane, radical, libre penseur et franc-maçon, maire et bientôt candidat au Conseil Général ; ses deux fils, Edmond, l’aîné destiné à la médecine, Armand, le cadet « promis à Dieu » par sa mère, l’antithèse même de son père.Mais bientôt le jeune homme traverse une grave crise religieuse commençant à trouver la poésie supérieure à la religion, avant de former un nouveau projet : devenir acteur ; c’est aussi pour lui les premières recherches amoureuses, sera-ce la fille de l’aristocrate, de jeunes ouvrières italiennes des bas-quartiers ? Finalement il se fait vampiriser par Suzanne, la femme du percepteur toujours en mal d’homme. Il découvre aussi de nouvelle idées politiques lors d’une rencontre avec le candidat socialiste, bien piètre opposant de son père. La campagne électorale bat son plein, la grève aussi ; lors d’un affrontement la milice d’extrême-droite blesse mortellement un ouvrier. Le lendemain de l’élection qui voit la victoire du docteur Barbentane, c’est la grande fête traditionnelle de la ville. Le drame clôt cette première partie, Angélique, chassée par son patron, abandonnée par son jeune amant, se pend ; l’ouvrier meurt de ses blessures ; dans la fête le frère de Suzanne tue le percepteur. Adieu Sérianne, Edmond va partir à Paris faire sa médecine ; Armand ira au lycée à Aix...
Voici enfin Paris et ses « beaux quartiers » ; réapparaîtront au fil des pages des personnages déjà présents dans Les Cloches de Bâle : Quesnel, un baron de la finance ; le fabricant d’automobile, Wisner, dans lequel il n’est pas difficile de reconnaître le créateur d’une célèbre marque de voiture ; De Houten, un louche financier hollandais ; tous attendent le vote de la loi sur le service militaire de 3 ans et la guerre, synonymes de bonnes affaires et sont véhéments contre les lois sociales.
Edmond, qui poursuit ses études de médecine, reçoit la visite de son père, brouille entre les deux hommes, Edmond ne rejoindra pas le Parti radical de son père et ne sera pas petit médecin de campagne à Sérianne. La famille n’aura pas plus de chance avec Armand, parti en internat au lycée à Aix, un moment convaincu par son père de faire « son Droit », exclu lorsque sa liaison avec la jeune lingère de l’établissement est découverte, il rejoint à Paris un monde bien différent de celui de son frère : celui de la rue, de la misère, des prostituées ; il participe à la commémoration de la Commune de Paris ; il rencontre plusieurs fois son frère qui lui fait l’aumône de quelques francs mais ne veut surtout pas s’encombrer de son cadet. Pendant ce temps nous découvrons quelques personnages secondaires qui joueront un certain rôle dans l’intrigue policière de la troisième partie : Jeanne, jeune mère célibataire, un peu voleuse, un peu joueuse ; son ami du moment Charles croupier dans un cercle de jeu et l’inspecteur Colombin, prototype du policier véreux, grossier et vicieux. Edmond devient l’amant de la femme de son patron de l’hôpital, Mme Beurdeley, mais, en même temps, fait la connaissance de la jeune maîtresse de Quesnel, la belle Carlotta,qui le reconnait comme le fils du médecin de Sérianne et l’aborde dans un restaurant au Bois de Boulogne. Edmond n’hésitera pas longtemps entre les amours fades avec la première, la jeunesse, la passion avec la seconde et la possibilité de pénétrer avec elle dans le « grand monde », ils s’affichent dangereusement au Bois, dans des restaurants chics, Edmond délaisse complètement les études. Dans cette partie, Aragon développe les rapports entre le jeu, la pègre, l’argent et le monde de la finance et de la politique ; tout en nouant une véritable intrigue policière.
Edmond est toujours aussi amoureux de Carlotta qui l’introduit dans ce monde où il va contracter une dangereuse addiction au jeu et être aussi rattrapé par ses amours défuntes avec Mme Beurdeley. Un soir au cercle, un louche entremetteur et receleur, M. Alexandre, lui propose un collier de diamants, c’est celui de son ancienne maîtresse qui sera découverte assassinée, découpée en morceaux dans le canal Saint Martin. Edmond fait d’abord chanter M. Alexandre, mais la situation se retourne contre lui et il est suspecté et interrogé par l’inspecteur Colombin qui le fait chanter à son tour. Pour protéger son amant, Carlotta est obligée de coucher avec le policier. L’affaire se complique, mais grâce aux relations d’un ami de Carlotta, Wisner fait intervenir le préfet de police, une descente de police ramasse tous les joueurs du Passage Club ; finalement M. Charles tue l’inspecteur Colombin, puis se suicide. Quesnel qui est mis au courant de la liaison de Carlotta par De Houten, lui-même renseigné par Colombin, bien que jaloux, finit par proposer à Edmond de se partager la jeune femme. Quant à Armand, de plus en plus démuni il accepte la proposition d’un de ses anciens amis de « pro patria » , rencontré par hasard, de travailler comme briseur de grève aux usines Wisner ; mais ce rôle de « jaune » lui pèse, il rejoint alors les grévistes.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Beaux_QuartiersMots-clés : thème littéraire France Fratrie Enfant : famille relation parent-enfant Relation homme-femme Inégalité sociale Classe sociale Classe ouvrière Classe dirigeante Ouvrier Province 1910- Comportement social Provence maison close bordel prostitution condition féminine condition masculine IIIe république relation père-fils maturité Jeunesse Développemetn de la personnalité idéologie politique grève extrême-droite Paris corruption Finance policier : genre Enquête policière guerre mondiale : 1914-1918 Type : texte imprimé ; fiction Genre : poésie Discipline : Français - Lettres En ligne : http://www.culturesfrance.com/adpf-publi/folio/aragon/aragon09.html Les beaux quartiers [texte imprimé] / Louis Aragon . - [S.l.] : Gallimard, 1996 . - 629 p.. - (Folio; 241) .
ISBN : 978-2-07-036241-7 : 10.00
Langues : Français
Résumé : Ce roman est l'histoire de deux frères, Edmond et Armand Barbentane. Le premier devra sa fortune à l'abandon qu'un homme riche lui fait de sa maîtresse. Armand, lui, abandonnant les siens, est devenu ouvrier dans une usine de Levallois-Perret : son avenir s'en trouvera changé.
Ce roman est le second du Monde réel qu'inaugurait Les Cloches de Bâle.
* Première partie : Sérianne, petite ville imaginaire du sud de la France.
* Deuxième partie : Paris.
* Troisième partie : Passage Club, un cercle de jeu de la capitale.
Dans la première partie, on découvre la vie étriquée d’une petite ville imaginaire, Sérianne, composée à partir de souvenirs hétéroclites de l’auteur, au pied des Préalpes du Sud, proche de Marseille, en 1912.Au fil des premiers chapitres apparaissent quelques personnages typiques : Eugène le marchand de couronnes mortuaires, qui abuse de sa servante Angélique et à l’occasion la rosse copieusement ; un jeune docteur amant de la femme du percepteur ; quelques fils de bonnes familles militants dans une association patriotique d’extrême droite « pro patria » ; un vieil aristocrate ruiné et sa fille ; un maître chocolatier au prise avec des licenciements et des grèves ; tout ce beau monde se retrouve régulièrement au « Panier Fleuri », la maison close, lieu incontournable de la IIIe République. Apparaissent aussi les fils conducteurs du roman : le docteur Barbentane, radical, libre penseur et franc-maçon, maire et bientôt candidat au Conseil Général ; ses deux fils, Edmond, l’aîné destiné à la médecine, Armand, le cadet « promis à Dieu » par sa mère, l’antithèse même de son père.Mais bientôt le jeune homme traverse une grave crise religieuse commençant à trouver la poésie supérieure à la religion, avant de former un nouveau projet : devenir acteur ; c’est aussi pour lui les premières recherches amoureuses, sera-ce la fille de l’aristocrate, de jeunes ouvrières italiennes des bas-quartiers ? Finalement il se fait vampiriser par Suzanne, la femme du percepteur toujours en mal d’homme. Il découvre aussi de nouvelle idées politiques lors d’une rencontre avec le candidat socialiste, bien piètre opposant de son père. La campagne électorale bat son plein, la grève aussi ; lors d’un affrontement la milice d’extrême-droite blesse mortellement un ouvrier. Le lendemain de l’élection qui voit la victoire du docteur Barbentane, c’est la grande fête traditionnelle de la ville. Le drame clôt cette première partie, Angélique, chassée par son patron, abandonnée par son jeune amant, se pend ; l’ouvrier meurt de ses blessures ; dans la fête le frère de Suzanne tue le percepteur. Adieu Sérianne, Edmond va partir à Paris faire sa médecine ; Armand ira au lycée à Aix...
Voici enfin Paris et ses « beaux quartiers » ; réapparaîtront au fil des pages des personnages déjà présents dans Les Cloches de Bâle : Quesnel, un baron de la finance ; le fabricant d’automobile, Wisner, dans lequel il n’est pas difficile de reconnaître le créateur d’une célèbre marque de voiture ; De Houten, un louche financier hollandais ; tous attendent le vote de la loi sur le service militaire de 3 ans et la guerre, synonymes de bonnes affaires et sont véhéments contre les lois sociales.
Edmond, qui poursuit ses études de médecine, reçoit la visite de son père, brouille entre les deux hommes, Edmond ne rejoindra pas le Parti radical de son père et ne sera pas petit médecin de campagne à Sérianne. La famille n’aura pas plus de chance avec Armand, parti en internat au lycée à Aix, un moment convaincu par son père de faire « son Droit », exclu lorsque sa liaison avec la jeune lingère de l’établissement est découverte, il rejoint à Paris un monde bien différent de celui de son frère : celui de la rue, de la misère, des prostituées ; il participe à la commémoration de la Commune de Paris ; il rencontre plusieurs fois son frère qui lui fait l’aumône de quelques francs mais ne veut surtout pas s’encombrer de son cadet. Pendant ce temps nous découvrons quelques personnages secondaires qui joueront un certain rôle dans l’intrigue policière de la troisième partie : Jeanne, jeune mère célibataire, un peu voleuse, un peu joueuse ; son ami du moment Charles croupier dans un cercle de jeu et l’inspecteur Colombin, prototype du policier véreux, grossier et vicieux. Edmond devient l’amant de la femme de son patron de l’hôpital, Mme Beurdeley, mais, en même temps, fait la connaissance de la jeune maîtresse de Quesnel, la belle Carlotta,qui le reconnait comme le fils du médecin de Sérianne et l’aborde dans un restaurant au Bois de Boulogne. Edmond n’hésitera pas longtemps entre les amours fades avec la première, la jeunesse, la passion avec la seconde et la possibilité de pénétrer avec elle dans le « grand monde », ils s’affichent dangereusement au Bois, dans des restaurants chics, Edmond délaisse complètement les études. Dans cette partie, Aragon développe les rapports entre le jeu, la pègre, l’argent et le monde de la finance et de la politique ; tout en nouant une véritable intrigue policière.
Edmond est toujours aussi amoureux de Carlotta qui l’introduit dans ce monde où il va contracter une dangereuse addiction au jeu et être aussi rattrapé par ses amours défuntes avec Mme Beurdeley. Un soir au cercle, un louche entremetteur et receleur, M. Alexandre, lui propose un collier de diamants, c’est celui de son ancienne maîtresse qui sera découverte assassinée, découpée en morceaux dans le canal Saint Martin. Edmond fait d’abord chanter M. Alexandre, mais la situation se retourne contre lui et il est suspecté et interrogé par l’inspecteur Colombin qui le fait chanter à son tour. Pour protéger son amant, Carlotta est obligée de coucher avec le policier. L’affaire se complique, mais grâce aux relations d’un ami de Carlotta, Wisner fait intervenir le préfet de police, une descente de police ramasse tous les joueurs du Passage Club ; finalement M. Charles tue l’inspecteur Colombin, puis se suicide. Quesnel qui est mis au courant de la liaison de Carlotta par De Houten, lui-même renseigné par Colombin, bien que jaloux, finit par proposer à Edmond de se partager la jeune femme. Quant à Armand, de plus en plus démuni il accepte la proposition d’un de ses anciens amis de « pro patria » , rencontré par hasard, de travailler comme briseur de grève aux usines Wisner ; mais ce rôle de « jaune » lui pèse, il rejoint alors les grévistes.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Beaux_QuartiersMots-clés : thème littéraire France Fratrie Enfant : famille relation parent-enfant Relation homme-femme Inégalité sociale Classe sociale Classe ouvrière Classe dirigeante Ouvrier Province 1910- Comportement social Provence maison close bordel prostitution condition féminine condition masculine IIIe république relation père-fils maturité Jeunesse Développemetn de la personnalité idéologie politique grève extrême-droite Paris corruption Finance policier : genre Enquête policière guerre mondiale : 1914-1918 Type : texte imprimé ; fiction Genre : poésie Discipline : Français - Lettres En ligne : http://www.culturesfrance.com/adpf-publi/folio/aragon/aragon09.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19293 R ARA Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Le clan des Otori, 1 : le silence du rossignol Auteurs : Lian Hearn Editeur : Gallimard, 2003 Collection : Folio Importance : 371 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : Le destin d'un jeune japonais dans le mythique japon médiéval.
Dans le Japon féodal du XIVe siècle, la guerre des clans fait rage. Sur les montagnes, les premières neiges viennent de tomber et Takeo, seul héritier de la puissante famille des Otori (après la mort de son maître Shigeru), a promis de rejoindre la Tribu, renonçant à la fortune et au pouvoir. Guerrier courageux, prêt à affronter les pires dangers et à assumer les plus lourds sacrifices, Takeo n’en est pas moins homme. Le souvenir encore brûlant de la mystérieuse Kaede – celle qu’il aimerait tant épouser – hante encore son cœur et son esprit. Mais la belle doit elle aussi suivre son destin et sa vie ressemble à un long combat sans répit pour retrouver sa liberté et cesser d’être un objet de convoitise dans un cruel monde d’hommes. Les deux histoires entrecroisées de Takeo et Kaede plongent le jeune lecteur dans une intrigue menée de main de maître où poésie et violence s’affrontent avec une rare beauté.
Takeo, héritier du puissant Clan des Otori, s'est engagé à rejoindre les rangs criminels de la Tribu, reniant ainsi son éducation pacifique, abandonnant ce qui lui revient de droit, territoire, fortune et pouvoir, renonçant aussi à son amour pour Kaede. Mais la Tribu peut-elle éloigner Takeo de son destin ? Alors que tombent les premières neiges, Takeo et Kaede poursuivent leur quête au cœur d'un Japon féodal cruel et magnifique. Leur amour survivra-t-il à la guerre et la haine, aux alliances promises ou rompues ?
Dans sa forteresse d’Inuyama, l’impitoyable seigneur Iida Sadamu, du clan des Tohan, assure sa protection grâce au “ parquet du rossignol ” qui conduit à sa chambre. Construit avec un art consommé, ce parquet chante au moindre effleurement d’un pied humain. Aucun assassin ne peut le franchir sans qu’Iida l’entende…Mots-clés : thème littéraire Japon Moyen Age société féodale société médiévale relation homme-femme amour conflit armé violence classe dirigeante Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.gallimard.fr/otori/clan2.htm Le clan des Otori, 1 : le silence du rossignol [texte imprimé] / Lian Hearn . - [S.l.] : Gallimard, 2003 . - 371 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-030258-1 : 7.00
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : Le destin d'un jeune japonais dans le mythique japon médiéval.
Dans le Japon féodal du XIVe siècle, la guerre des clans fait rage. Sur les montagnes, les premières neiges viennent de tomber et Takeo, seul héritier de la puissante famille des Otori (après la mort de son maître Shigeru), a promis de rejoindre la Tribu, renonçant à la fortune et au pouvoir. Guerrier courageux, prêt à affronter les pires dangers et à assumer les plus lourds sacrifices, Takeo n’en est pas moins homme. Le souvenir encore brûlant de la mystérieuse Kaede – celle qu’il aimerait tant épouser – hante encore son cœur et son esprit. Mais la belle doit elle aussi suivre son destin et sa vie ressemble à un long combat sans répit pour retrouver sa liberté et cesser d’être un objet de convoitise dans un cruel monde d’hommes. Les deux histoires entrecroisées de Takeo et Kaede plongent le jeune lecteur dans une intrigue menée de main de maître où poésie et violence s’affrontent avec une rare beauté.
Takeo, héritier du puissant Clan des Otori, s'est engagé à rejoindre les rangs criminels de la Tribu, reniant ainsi son éducation pacifique, abandonnant ce qui lui revient de droit, territoire, fortune et pouvoir, renonçant aussi à son amour pour Kaede. Mais la Tribu peut-elle éloigner Takeo de son destin ? Alors que tombent les premières neiges, Takeo et Kaede poursuivent leur quête au cœur d'un Japon féodal cruel et magnifique. Leur amour survivra-t-il à la guerre et la haine, aux alliances promises ou rompues ?
Dans sa forteresse d’Inuyama, l’impitoyable seigneur Iida Sadamu, du clan des Tohan, assure sa protection grâce au “ parquet du rossignol ” qui conduit à sa chambre. Construit avec un art consommé, ce parquet chante au moindre effleurement d’un pied humain. Aucun assassin ne peut le franchir sans qu’Iida l’entende…Mots-clés : thème littéraire Japon Moyen Age société féodale société médiévale relation homme-femme amour conflit armé violence classe dirigeante Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.gallimard.fr/otori/clan2.htm Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 21046 RH HEA Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Le clan des Otori, II : Les neiges de l'exil / Lian Hearn / Gallimard (2004)
Titre : Le clan des Otori, II : Les neiges de l'exil Auteurs : Lian Hearn Editeur : Gallimard, 2004 Collection : Folio num. 4082 Importance : 384 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : Le destin d'un jeune Japonais dans le Japon médiéval ...
Dans le Japon féodal du XIVe siècle, la guerre des clans fait rage. Sur les montagnes, les premières neiges viennent de tomber et Takeo, seul héritier de la puissante famille des Otori (après la mort de son maître Shigeru), a promis de rejoindre la Tribu, renonçant à la fortune et au pouvoir. Guerrier courageux, prêt à affronter les pires dangers et à assumer les plus lourds sacrifices, Takeo n’en est pas moins homme. Le souvenir encore brûlant de la mystérieuse Kaede – celle qu’il aimerait tant épouser – hante encore son cœur et son esprit. Mais la belle doit elle aussi suivre son destin et sa vie ressemble à un long combat sans répit pour retrouver sa liberté et cesser d’être un objet de convoitise dans un cruel monde d’hommes. Les deux histoires entrecroisées de Takeo et Kaede plongent le jeune lecteur dans une intrigue menée de main de maître où poésie et violence s’affrontent avec une rare beauté.Mots-clés : thème littéraire Japon Moyen Age société féodale société médiévale relation homme-femme amour conflit armé violence classe dirigeante Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Le clan des Otori, II : Les neiges de l'exil [texte imprimé] / Lian Hearn . - [S.l.] : Gallimard, 2004 . - 384 p.. - (Folio; 4082) .
ISBN : 978-2-07-030031-0
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : Le destin d'un jeune Japonais dans le Japon médiéval ...
Dans le Japon féodal du XIVe siècle, la guerre des clans fait rage. Sur les montagnes, les premières neiges viennent de tomber et Takeo, seul héritier de la puissante famille des Otori (après la mort de son maître Shigeru), a promis de rejoindre la Tribu, renonçant à la fortune et au pouvoir. Guerrier courageux, prêt à affronter les pires dangers et à assumer les plus lourds sacrifices, Takeo n’en est pas moins homme. Le souvenir encore brûlant de la mystérieuse Kaede – celle qu’il aimerait tant épouser – hante encore son cœur et son esprit. Mais la belle doit elle aussi suivre son destin et sa vie ressemble à un long combat sans répit pour retrouver sa liberté et cesser d’être un objet de convoitise dans un cruel monde d’hommes. Les deux histoires entrecroisées de Takeo et Kaede plongent le jeune lecteur dans une intrigue menée de main de maître où poésie et violence s’affrontent avec une rare beauté.Mots-clés : thème littéraire Japon Moyen Age société féodale société médiévale relation homme-femme amour conflit armé violence classe dirigeante Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 23486 RH HEA Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Le clan des Otori, III: La clarté de la lune / Lian Hearn / Gallimard (2005)
PermalinkPermalinkHaut de Gamme / Candace BUSHNELL / Albin Michel (2003)
PermalinkOmbres et Lumières / Nicholas GRIFFIN / Presses de la cité (2001)
PermalinkPanique dans le 16e ! / Monique Pinçon-Charlot / 2017
PermalinkLe recrutement des élites en Europe / Ezra Suleiman / La Découverte (1995)
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