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11 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'New-York : Etats-unis'




Titre : La chambre dérobée. Trilogie new-yorkaise. 3 Auteurs : Paul Auster, Auteur Editeur : Actes Sud, 1988 Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : Refusé par 17 éditeurs. C’est ainsi que « Cité de verre », le chef d’œuvre de Paul Auster qui ouvre sa trilogie new-yorkaise (complété par la suite de deux autres récits « Revenants » et « La chambre dérobée » parus en 1988) a commencé sa carrière littéraire. Lorsqu'il paraît enfin, en 1985, c’est le début de la consécration pour son auteur (qui aura bien tiré « le diable par la queue » auparavant, comme il le raconte dans un essai éponyme) qui est sélectionné pour le prix Edgar Allan Poe du roman à suspense, l'une des plus importantes distinctions, et considéré comme la grande révélation littéraire de l'année. C’est en France que l’accueil sera le plus enthousiaste : ses ouvrages sortent d’ailleurs dans l’hexagone avant d'être publiés aux Etats-Unis.
Ici, c'est l'amitié entre deux hommes, le narrateur et Fanshawe son ami d'enfance que nous suivons par flash-backs au fur et à mesure que le héros en dresse la biographie. Le premier est appelé par la femme du second des années plus tard pour le rechercher après sa mystérieuse disparition. Elle lui confie notamment la lourde responsabilité de faire éditer son oeuvre "posthume" (sans savoir s'il est réellement mort, ce que l'on découvrira -entre autres- au fil du récit). Insidieusement le narrateur va alors s'emparer de la vie de son meilleur ami, de sa femme, de son enfant et même de son œuvre dont on croit qu'il est l'auteur...
Hanté par ce dernier, il tente malgré tout de le retrouver. In fine, cette quête impossible nous ramène encore une fois à la dimension virtuelle inhérente à nos vies, à nos constructions intérieures (on repense aussi au mythe du Paradis dans "Cité de verre") et à l'impossibilité de se fuir : "Après tous ces mois où j'avais essayé de le débusquer, j'avais l'impression que c'était moi qui venais d'être découvert. Au lieu de chercher Fanshawe, je m'étais en fait sauvé de lui. (...) Fanshawe était précisément là où je me trouvais. (...) Fanshawe seul dans cette pièce, condamné à une solitude mythique (...) Cette chambre je m'en apercevais à présent, était située sous mon crâne."
Ce récit annonce le roman "Léviathan" (1993) qui aborde aussi le thème de l'amitié masculine, de l'échange et du basculement de leurs vies réciproques.
Dans "La chambre dérobée", il explore plus particulièrement la question des destinées (directement liée aux contingences). Pourquoi devient-on celui qu'on est ? Qu'est ce qui peut faire basculer, "éclater" une vie ? Il prolonge le thème de l'imposture et de la vie par procuration (vivre sa vie à travers l'autre en se fondant dans son identité) mais aussi fait encore un écho (inversé ici) à l'histoire de Cervantes et de son Don Quichotte dont il niait la paternité. "Les circonstances dans lesquelles les vies changent de cours sont si diverses qu'il paraît impossible de dire quoi que ce soit sur un homme avant sa mort."Mots-clés : thème littéraire Etats-unis 1980- New-York : Etats-unis Disparition couple : famille Amitié mystère identité ecrivain écriture quête du moi quête Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.buzz-litteraire.com/index.php?2009/02/02/720-la-trilogie-new-yorkaise [...] La chambre dérobée. Trilogie new-yorkaise. 3 [texte imprimé] / Paul Auster, Auteur . - [S.l.] : Actes Sud, 1988.
ISBN : 978-2-253-13520-3
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : Refusé par 17 éditeurs. C’est ainsi que « Cité de verre », le chef d’œuvre de Paul Auster qui ouvre sa trilogie new-yorkaise (complété par la suite de deux autres récits « Revenants » et « La chambre dérobée » parus en 1988) a commencé sa carrière littéraire. Lorsqu'il paraît enfin, en 1985, c’est le début de la consécration pour son auteur (qui aura bien tiré « le diable par la queue » auparavant, comme il le raconte dans un essai éponyme) qui est sélectionné pour le prix Edgar Allan Poe du roman à suspense, l'une des plus importantes distinctions, et considéré comme la grande révélation littéraire de l'année. C’est en France que l’accueil sera le plus enthousiaste : ses ouvrages sortent d’ailleurs dans l’hexagone avant d'être publiés aux Etats-Unis.
Ici, c'est l'amitié entre deux hommes, le narrateur et Fanshawe son ami d'enfance que nous suivons par flash-backs au fur et à mesure que le héros en dresse la biographie. Le premier est appelé par la femme du second des années plus tard pour le rechercher après sa mystérieuse disparition. Elle lui confie notamment la lourde responsabilité de faire éditer son oeuvre "posthume" (sans savoir s'il est réellement mort, ce que l'on découvrira -entre autres- au fil du récit). Insidieusement le narrateur va alors s'emparer de la vie de son meilleur ami, de sa femme, de son enfant et même de son œuvre dont on croit qu'il est l'auteur...
Hanté par ce dernier, il tente malgré tout de le retrouver. In fine, cette quête impossible nous ramène encore une fois à la dimension virtuelle inhérente à nos vies, à nos constructions intérieures (on repense aussi au mythe du Paradis dans "Cité de verre") et à l'impossibilité de se fuir : "Après tous ces mois où j'avais essayé de le débusquer, j'avais l'impression que c'était moi qui venais d'être découvert. Au lieu de chercher Fanshawe, je m'étais en fait sauvé de lui. (...) Fanshawe était précisément là où je me trouvais. (...) Fanshawe seul dans cette pièce, condamné à une solitude mythique (...) Cette chambre je m'en apercevais à présent, était située sous mon crâne."
Ce récit annonce le roman "Léviathan" (1993) qui aborde aussi le thème de l'amitié masculine, de l'échange et du basculement de leurs vies réciproques.
Dans "La chambre dérobée", il explore plus particulièrement la question des destinées (directement liée aux contingences). Pourquoi devient-on celui qu'on est ? Qu'est ce qui peut faire basculer, "éclater" une vie ? Il prolonge le thème de l'imposture et de la vie par procuration (vivre sa vie à travers l'autre en se fondant dans son identité) mais aussi fait encore un écho (inversé ici) à l'histoire de Cervantes et de son Don Quichotte dont il niait la paternité. "Les circonstances dans lesquelles les vies changent de cours sont si diverses qu'il paraît impossible de dire quoi que ce soit sur un homme avant sa mort."Mots-clés : thème littéraire Etats-unis 1980- New-York : Etats-unis Disparition couple : famille Amitié mystère identité ecrivain écriture quête du moi quête Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.buzz-litteraire.com/index.php?2009/02/02/720-la-trilogie-new-yorkaise [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 219 R AUS Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Voyage au bout de la nuit Auteurs : Louis-Ferdinand Céline, Auteur Editeur : Gallimard, 2006 Collection : Folioplus classiques Sous-collection : classiques du XXe siècle num. 60 Importance : 615 p. Langues : Français Résumé : Dossier et notes réalisés par Stéfan Ferrari. Lecture d'image par Agnès Verlet, 624 pages sous couv. ill., 108 x 178 mm. Collection Folioplus classiques (No 60) (2006), Gallimard -rom. ISBN 2070336867.
Présentation de l'éditeur
Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points :
Courant littéraire : Céline dans le paysage littéraire de l'entre-deux-guerres ;
Genre et registre : Apprentissage et autobiographie ;
L'écrivain à sa table de travail : Du théâtre au roman ;
Groupement de textes : La nuit ;
Chronologie : Céline et son temps ;
Fiche : Des pistes pour rendre compte de sa lecture
1)
Paris, place de Clichy, 1914. Envoûté par la musique d'une parade militaire, Ferdinand Bardamu, jeune rebelle, décide, par excès d'héroïsme, de s'engager dans la guerre contre les Allemands. Mais au front, c'est l'enfer et l'absurdité. Il perd vite son enthousiasme et découvre avec épouvante les horreurs de la guerre. Il ne comprend plus pourquoi il doit tirer sur les Allemands. Il prend aussi conscience de sa propre lâcheté.
On lui confie une mission de reconnaissance. Lors d'une nuit d'errance, il rencontre un réserviste nommé Robinson qui cherche à déserter. Ils envisagent de s'enfuir, mais leur tentative échoue. Blessé, traumatisé à jamais par la guerre, Bardamu revient à Paris pour être soigné. On lui remet une médaille militaire. Lors de cette cérémonie, il fait la connaissance de Lola, une jeune et jolie infirmière américaine. Bardamu est soigné dans différents hôpitaux. Il prend conscience des avantages et profits que tirent de la guerre tous ceux qui y ont échappé.
Lola, compagne futile et légère, le quitte. Il rencontre alors Musyne, une jeune violoniste. Ils ont une aventure, mais, un jour de bombardement, elle l'abandonne.
Réformé, Bardamu décide de partir pour l'Afrique. Il y découvre les horreurs de l'exploitation coloniale. Il retrouve Robinson, rencontré sur les champs de bataille, et lui succède en reprenant la gérance d'un comptoir commercial. Il tombe malade et connaît des crises de délire.
Il quitte l'Afrique à demi-mort à bord d'un bâtiment espagnol qui a tout d'une galère. Ce bateau l'emmène jusqu'à New-York . Dès son arrivée, il est placé en quarantaine . Dans cette ville à laquelle, il a tant rêvé, il ne connaît que solitude et pauvreté. Il part à Détroit pour y travailler. Il rencontre Molly, une prostituée généreuse qui le délivre de l'enfer de l'usine Ford . Molly aime Bardamu , l'entretient et lui propose de partager son bonheur. Mais son désir d'explorer plus avant l'existence le pousse à renoncer à cette femme généreuse. Il quitte les Etats-Unis et revient à Paris. Il rentre le cœur gonflé et meurtri par toutes ces expériences.
Devenu médecin , mais menant une existence toujours aussi misérable, il s'installe à Rancy, banlieue triste et pauvre. Il y découvre les côtés les plus répugnants et les plus désespérants de la condition humaine. Il assiste impuissant à la mort de Bébert, un petit garçon qu'il aimait bien et que la science ne peut sauver. Puis il se retrouvé mêlé à une sordide histoire. Une famille de sa clientèle, les Henrouille, souhaitent se débarrasser de leur mère âgée. Ils font appel à Robinson qui accepte de tuer la vieille dame pour dix mille francs. Mais par maladresse, Robinson échoue et se blesse. Il perd provisoirement la vue. Bardamu soigne Robinson qui part ensuite s'exiler à Toulouse en compagnie de la mère Henrouille, sa victime rescapée.
Bardamu quitte Rançy et abandonne la médecine. Il devient figurant dans un spectacle de danse. Il se rend ensuite à Toulouse et retrouve Robinson. Il fait la connaissance de Madelon , sa fiancée et devient son amant. Il fait visiter avec la mère Henrouille un caveau plein de cadavres à des touristes. Mais la vieille dame tombe dans l'escalier, vraisemblablement poussée par Bardamu, et se tue. Robinson incite son compère à regagner Paris.
Il est engagé comme médecin dans un établissement psychiatrique dont le patron est le docteur Baryton. Les deux hommes sympathisent.
Rapidement, Baryton sombre dans la folie et annonce à Bardamu sa décision de partir : " je vais renaître, Ferdinand." Il confie à Bardamu la direction de la clinique. Robinson reparaît au grand regret de son ami. Il a recouvré la vue et a quitté Madelon. Bardamu le cache dans sa clinique pour le soustraire à Madelon qui, amoureuse, le poursuit. Sophie, une superbe infirmière slovaque, qui est devenue la maîtresse de Bardamu, prêche pour la réconciliation entre Robinson et Madelon. Bardamu propose une sortie à la fête des Batignolles afin de réconcilier tout le monde. Robinson refuse les avances de Madelon dans le taxi et avoue son dégoût des grands sentiments Madelon le tue de trois coups de revolver. Après l'agonie de Robinson, Bardamu se retrouve seul en bordure d'un canal. Un remorqueur siffle au loin comme s'il souhaitait emmener avec lui tout ce qui existe : " tout , qu'on n'en parle plus."
http://www.alalettre.com/celine-oeuvres-voyage.php
2) Lecture d'images : Analyse du combat de Carnaval et de Carême de Pierre Bruegel (1559)Mots-clés : thème littéraire France 1910- 1919-1939 Paris guerre mondiale : 1914-1918 militaire antimilitarisme relation homme-femme société coloniale politique coloniale Afrique mal de vivre comportement social New-York : Etats-Unis solitude pauvreté vie sociale relation sociale prostitution condition féminine aventures : voyage Banlieue médecin métier : santé exercice de la médecine condition humaine corruption personne âgée psychose ironie thème pictural Bruegel l'Ancien : 1525- 1569 carnaval culture européenne fête religieuse religion chrétienne catholicisme Moyen Age grotesque 16ème siècle liberté classe sociale culture populaire Céline, Louis Ferdinand : 1894- 1961 Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://fichesdelecture.over-blog.com/article-21911060.html Voyage au bout de la nuit [texte imprimé] / Louis-Ferdinand Céline, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 2006 . - 615 p.. - (Folioplus classiques. classiques du XXe siècle; 60) .
ISBN : 978-2-07-033686-9 : 8,70
Langues : Français
Résumé : Dossier et notes réalisés par Stéfan Ferrari. Lecture d'image par Agnès Verlet, 624 pages sous couv. ill., 108 x 178 mm. Collection Folioplus classiques (No 60) (2006), Gallimard -rom. ISBN 2070336867.
Présentation de l'éditeur
Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points :
Courant littéraire : Céline dans le paysage littéraire de l'entre-deux-guerres ;
Genre et registre : Apprentissage et autobiographie ;
L'écrivain à sa table de travail : Du théâtre au roman ;
Groupement de textes : La nuit ;
Chronologie : Céline et son temps ;
Fiche : Des pistes pour rendre compte de sa lecture
1)
Paris, place de Clichy, 1914. Envoûté par la musique d'une parade militaire, Ferdinand Bardamu, jeune rebelle, décide, par excès d'héroïsme, de s'engager dans la guerre contre les Allemands. Mais au front, c'est l'enfer et l'absurdité. Il perd vite son enthousiasme et découvre avec épouvante les horreurs de la guerre. Il ne comprend plus pourquoi il doit tirer sur les Allemands. Il prend aussi conscience de sa propre lâcheté.
On lui confie une mission de reconnaissance. Lors d'une nuit d'errance, il rencontre un réserviste nommé Robinson qui cherche à déserter. Ils envisagent de s'enfuir, mais leur tentative échoue. Blessé, traumatisé à jamais par la guerre, Bardamu revient à Paris pour être soigné. On lui remet une médaille militaire. Lors de cette cérémonie, il fait la connaissance de Lola, une jeune et jolie infirmière américaine. Bardamu est soigné dans différents hôpitaux. Il prend conscience des avantages et profits que tirent de la guerre tous ceux qui y ont échappé.
Lola, compagne futile et légère, le quitte. Il rencontre alors Musyne, une jeune violoniste. Ils ont une aventure, mais, un jour de bombardement, elle l'abandonne.
Réformé, Bardamu décide de partir pour l'Afrique. Il y découvre les horreurs de l'exploitation coloniale. Il retrouve Robinson, rencontré sur les champs de bataille, et lui succède en reprenant la gérance d'un comptoir commercial. Il tombe malade et connaît des crises de délire.
Il quitte l'Afrique à demi-mort à bord d'un bâtiment espagnol qui a tout d'une galère. Ce bateau l'emmène jusqu'à New-York . Dès son arrivée, il est placé en quarantaine . Dans cette ville à laquelle, il a tant rêvé, il ne connaît que solitude et pauvreté. Il part à Détroit pour y travailler. Il rencontre Molly, une prostituée généreuse qui le délivre de l'enfer de l'usine Ford . Molly aime Bardamu , l'entretient et lui propose de partager son bonheur. Mais son désir d'explorer plus avant l'existence le pousse à renoncer à cette femme généreuse. Il quitte les Etats-Unis et revient à Paris. Il rentre le cœur gonflé et meurtri par toutes ces expériences.
Devenu médecin , mais menant une existence toujours aussi misérable, il s'installe à Rancy, banlieue triste et pauvre. Il y découvre les côtés les plus répugnants et les plus désespérants de la condition humaine. Il assiste impuissant à la mort de Bébert, un petit garçon qu'il aimait bien et que la science ne peut sauver. Puis il se retrouvé mêlé à une sordide histoire. Une famille de sa clientèle, les Henrouille, souhaitent se débarrasser de leur mère âgée. Ils font appel à Robinson qui accepte de tuer la vieille dame pour dix mille francs. Mais par maladresse, Robinson échoue et se blesse. Il perd provisoirement la vue. Bardamu soigne Robinson qui part ensuite s'exiler à Toulouse en compagnie de la mère Henrouille, sa victime rescapée.
Bardamu quitte Rançy et abandonne la médecine. Il devient figurant dans un spectacle de danse. Il se rend ensuite à Toulouse et retrouve Robinson. Il fait la connaissance de Madelon , sa fiancée et devient son amant. Il fait visiter avec la mère Henrouille un caveau plein de cadavres à des touristes. Mais la vieille dame tombe dans l'escalier, vraisemblablement poussée par Bardamu, et se tue. Robinson incite son compère à regagner Paris.
Il est engagé comme médecin dans un établissement psychiatrique dont le patron est le docteur Baryton. Les deux hommes sympathisent.
Rapidement, Baryton sombre dans la folie et annonce à Bardamu sa décision de partir : " je vais renaître, Ferdinand." Il confie à Bardamu la direction de la clinique. Robinson reparaît au grand regret de son ami. Il a recouvré la vue et a quitté Madelon. Bardamu le cache dans sa clinique pour le soustraire à Madelon qui, amoureuse, le poursuit. Sophie, une superbe infirmière slovaque, qui est devenue la maîtresse de Bardamu, prêche pour la réconciliation entre Robinson et Madelon. Bardamu propose une sortie à la fête des Batignolles afin de réconcilier tout le monde. Robinson refuse les avances de Madelon dans le taxi et avoue son dégoût des grands sentiments Madelon le tue de trois coups de revolver. Après l'agonie de Robinson, Bardamu se retrouve seul en bordure d'un canal. Un remorqueur siffle au loin comme s'il souhaitait emmener avec lui tout ce qui existe : " tout , qu'on n'en parle plus."
http://www.alalettre.com/celine-oeuvres-voyage.php
2) Lecture d'images : Analyse du combat de Carnaval et de Carême de Pierre Bruegel (1559)Mots-clés : thème littéraire France 1910- 1919-1939 Paris guerre mondiale : 1914-1918 militaire antimilitarisme relation homme-femme société coloniale politique coloniale Afrique mal de vivre comportement social New-York : Etats-Unis solitude pauvreté vie sociale relation sociale prostitution condition féminine aventures : voyage Banlieue médecin métier : santé exercice de la médecine condition humaine corruption personne âgée psychose ironie thème pictural Bruegel l'Ancien : 1525- 1569 carnaval culture européenne fête religieuse religion chrétienne catholicisme Moyen Age grotesque 16ème siècle liberté classe sociale culture populaire Céline, Louis Ferdinand : 1894- 1961 Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://fichesdelecture.over-blog.com/article-21911060.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4027 R CEL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : American psycho Auteurs : Bret Easton ELLIS Editeur : Éd. du Seuil, 1998 Importance : 512 p. Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : Patrick Bateman, 26 ans, flamboyant golden-boy de Wall Street, fréquente les endroits où il faut se montrer, sniffe quotidiennement sa ligne de coke, et surtout ne se pose aucune question. Parfait yuppie des années quatre-vingt, le jour, il consomme. Mais la nuit, métamorphosé en serial killer, il tue, viole, égorge, tronçonne, décapite. Portrait lucide et froid d'une Amérique autosatisfaite où l'argent, la corruption et la violence règnent en maîtres, 'American Psycho', qui fit scandale lors de sa parution aux Etats-Unis, est aujourd'hui un best-seller mondial.
http://www.telerama.fr/livre/bret-easton-ellis-dans-mon-univers-le-mal-est-toujours-la,59557.phpMots-clés : thème littéraire Etats-Unis psychose 20ème siècle New-York : Etats-unis hiérarchie sociale comportement social toxicomanie morale perversion violence relation homme-femme meurtre Mal Bien question philosophique métier : finance métier : banque et assurances Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.buzz-litteraire.com/index.php?2008/02/22/751-american-psycho-de-bret- [...] American psycho [texte imprimé] / Bret Easton ELLIS . - [S.l.] : Éd. du Seuil, 1998 . - 512 p.
ISBN : 978-2-264-03937-8 : 7,95
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : Patrick Bateman, 26 ans, flamboyant golden-boy de Wall Street, fréquente les endroits où il faut se montrer, sniffe quotidiennement sa ligne de coke, et surtout ne se pose aucune question. Parfait yuppie des années quatre-vingt, le jour, il consomme. Mais la nuit, métamorphosé en serial killer, il tue, viole, égorge, tronçonne, décapite. Portrait lucide et froid d'une Amérique autosatisfaite où l'argent, la corruption et la violence règnent en maîtres, 'American Psycho', qui fit scandale lors de sa parution aux Etats-Unis, est aujourd'hui un best-seller mondial.
http://www.telerama.fr/livre/bret-easton-ellis-dans-mon-univers-le-mal-est-toujours-la,59557.phpMots-clés : thème littéraire Etats-Unis psychose 20ème siècle New-York : Etats-unis hiérarchie sociale comportement social toxicomanie morale perversion violence relation homme-femme meurtre Mal Bien question philosophique métier : finance métier : banque et assurances Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.buzz-litteraire.com/index.php?2008/02/22/751-american-psycho-de-bret- [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19880 R ELL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible L'Attrape-coeurs / JEROME, DAVID SALINGER / PARIS CEDEX 13 : Presses Pocket (1986)
Titre : L'Attrape-coeurs Auteurs : JEROME, DAVID SALINGER Editeur : PARIS CEDEX 13 : Presses Pocket, 1986 Importance : 255p. Langues : Français Résumé : Roman de l'adolescence le plus lu du monde entier.C'est l'histoire d'une fugue,celle d'un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise chassé de son collège trois jours avant Noël.L'histoire éternelle d'un gosse perdu qui cherche des raisons de vivre dans un monde hostile et corrompu.Nous sommes en 1949 dans une pension de la côte Est américaine. Holden Caulfield pourrait être un adolescent américain tout ce qu'il y a de plus ordinaire : une famille qui lui tape sur le système, une scolarité chaotique... des problèmes d'adolescence ordinaires. Expulsé, Holden s'enfuit trois jours avant le début des vacances de Noël. Il prend le train pour New York et, ayant trop peur de la réaction de ses parents, s'installe dans un hôtel. 'L' Attrape-coeurs' relate les trois jours durant lesquels ce jeune garçon est livré à lui-même. A chaque pas, à chaque rencontre, ne trouvant toujours pas les réponses à ses questions, ne comprenant pas le monde qui l'entoure, complètement paumé, il se rapproche un peu plus d'une crise qui nous guette finalement tous. Catégories : Adolescence Mots-clés : thème littéraire Adolescence jeunesse mal de vivre mal-être fugue développement de la personnalité comportement social relation adulte-jeune autonomie maturité New-York : Etats-Unis enfant : famille relation parent-enfant corruption roman d'initiation Noël errance quête Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman L'Attrape-coeurs [texte imprimé] / JEROME, DAVID SALINGER . - PARIS CEDEX 13 : Presses Pocket, 1986 . - 255p.
ISBN : 978-2-266-12535-2 : 4,70
Langues : Français
Résumé : Roman de l'adolescence le plus lu du monde entier.C'est l'histoire d'une fugue,celle d'un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise chassé de son collège trois jours avant Noël.L'histoire éternelle d'un gosse perdu qui cherche des raisons de vivre dans un monde hostile et corrompu.Nous sommes en 1949 dans une pension de la côte Est américaine. Holden Caulfield pourrait être un adolescent américain tout ce qu'il y a de plus ordinaire : une famille qui lui tape sur le système, une scolarité chaotique... des problèmes d'adolescence ordinaires. Expulsé, Holden s'enfuit trois jours avant le début des vacances de Noël. Il prend le train pour New York et, ayant trop peur de la réaction de ses parents, s'installe dans un hôtel. 'L' Attrape-coeurs' relate les trois jours durant lesquels ce jeune garçon est livré à lui-même. A chaque pas, à chaque rencontre, ne trouvant toujours pas les réponses à ses questions, ne comprenant pas le monde qui l'entoure, complètement paumé, il se rapproche un peu plus d'une crise qui nous guette finalement tous. Catégories : Adolescence Mots-clés : thème littéraire Adolescence jeunesse mal de vivre mal-être fugue développement de la personnalité comportement social relation adulte-jeune autonomie maturité New-York : Etats-Unis enfant : famille relation parent-enfant corruption roman d'initiation Noël errance quête Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41363 RS SAL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Les Cendres d'Angela / Frank Mc Court / Belfond, Pierre (1997)
Titre : Les Cendres d'Angela: Une enfance irlandaise Auteurs : Frank Mc Court, Auteur Editeur : Belfond, Pierre, 1997 Importance : 428 p. Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : " Quand je revois mon enfance, le seul fait d'avoir survécu m'étonne. Ce fut, bien sûr, une enfance misérable : l'enfance heureuse vaut rarement qu'on s'y arrête. Pire que l'enfance misérable ordinaire est l'enfance misérable en Irlande. Et pire encore est l'enfance misérable en Irlande catholique. " C'est ce que décrit Frank McCourt dans ce récit autobiographique. Le père, Malachy, est un charmeur irresponsable. Quand, par chance, il trouve du travail, il va boire son salaire dans les pubs et rentre la nuit en braillant des chants patriotiques. Angela, la mère, ravale sa fierté pour mendier. Frankie, l'aîné de la fratrie, surveille les petits, fait les quatre cents coups avec ses copains. Et, surtout, observe le monde des adultes. La magie de Frank McCourt est d'avoir retrouvé son regard d'enfant, pour faire revivre le plus misérable des passés sans aucune amertume.
Franck a 3 ans quand il quitte New York pour retourner dans la terre natale de sa mère : l'Irlande. Malachy est issu d'une famille pauvre, il est l'aîné de la famille Mc Court. Sa mère est une femme desespérément triste, elle perd, Margaret, sa fille très jeune ainsi que ses fils jumeaux. Fatiguée par ses grossesses successives, elle devient vite démissionnaire. Son mari est aussi absent qu'elle, il a beaucoup de peine à trouver un travail et quand il en a un il boit le salaire dans les pubs. Accablé de parents irresponsables, Franck prend le devant dès son plus jeune âge et veille sur ses petits frères. C'est un enfant éveillé qui a tout pour réussir mais seulement il vit dans les bas-quartiers de Limerick où son avenir ne peut être que crasseux. Il subit la dureté de la vie, les portes qui lui sont claquées au nez quand on découvre qu'il n'a pas de chaussures, qu'il porte des haillons; il travaille dès qu'il a 10 ans et ne veut plus s'arrêter de travailler pour nourrir sa pauvre mère et ses frères, il travaille comme un fou et pense sans cesse à son rêve, son avenir : l'Amérique, cette terre qui lui a donné la vie. Après avoir traversé la ville en vélo sous la pluie et le froid de la ville, après avoir gardé une mamie mourante de la phtisie et fait un bon bout de chemin, il a recueilli assez d'argent pour accomplir sa destinée. A 19 ans, marqué par une vie difficile et une expérience inoubliable de la vie, il part rejoindre l'Amérique et là il renaît. Ce livre a reçu le prix Pulitzer en 1997. Il a aussi été adapté au cinéma par Alan Parker.Mots-clés : thème littéraire récit de vie autobiographie Irlande New-York : Etats-unis enfance relation parent-enfant pauvreté alcoolisme fratrie marginalité discrimination sociale condition féminine éducation catholicisme Thème de fiction : enfance Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie/roman Les Cendres d'Angela : Une enfance irlandaise [texte imprimé] / Frank Mc Court, Auteur . - [S.l.] : Belfond, Pierre, 1997 . - 428 p.
ISBN : 978-2-7144-3323-7 : 20.00
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : " Quand je revois mon enfance, le seul fait d'avoir survécu m'étonne. Ce fut, bien sûr, une enfance misérable : l'enfance heureuse vaut rarement qu'on s'y arrête. Pire que l'enfance misérable ordinaire est l'enfance misérable en Irlande. Et pire encore est l'enfance misérable en Irlande catholique. " C'est ce que décrit Frank McCourt dans ce récit autobiographique. Le père, Malachy, est un charmeur irresponsable. Quand, par chance, il trouve du travail, il va boire son salaire dans les pubs et rentre la nuit en braillant des chants patriotiques. Angela, la mère, ravale sa fierté pour mendier. Frankie, l'aîné de la fratrie, surveille les petits, fait les quatre cents coups avec ses copains. Et, surtout, observe le monde des adultes. La magie de Frank McCourt est d'avoir retrouvé son regard d'enfant, pour faire revivre le plus misérable des passés sans aucune amertume.
Franck a 3 ans quand il quitte New York pour retourner dans la terre natale de sa mère : l'Irlande. Malachy est issu d'une famille pauvre, il est l'aîné de la famille Mc Court. Sa mère est une femme desespérément triste, elle perd, Margaret, sa fille très jeune ainsi que ses fils jumeaux. Fatiguée par ses grossesses successives, elle devient vite démissionnaire. Son mari est aussi absent qu'elle, il a beaucoup de peine à trouver un travail et quand il en a un il boit le salaire dans les pubs. Accablé de parents irresponsables, Franck prend le devant dès son plus jeune âge et veille sur ses petits frères. C'est un enfant éveillé qui a tout pour réussir mais seulement il vit dans les bas-quartiers de Limerick où son avenir ne peut être que crasseux. Il subit la dureté de la vie, les portes qui lui sont claquées au nez quand on découvre qu'il n'a pas de chaussures, qu'il porte des haillons; il travaille dès qu'il a 10 ans et ne veut plus s'arrêter de travailler pour nourrir sa pauvre mère et ses frères, il travaille comme un fou et pense sans cesse à son rêve, son avenir : l'Amérique, cette terre qui lui a donné la vie. Après avoir traversé la ville en vélo sous la pluie et le froid de la ville, après avoir gardé une mamie mourante de la phtisie et fait un bon bout de chemin, il a recueilli assez d'argent pour accomplir sa destinée. A 19 ans, marqué par une vie difficile et une expérience inoubliable de la vie, il part rejoindre l'Amérique et là il renaît. Ce livre a reçu le prix Pulitzer en 1997. Il a aussi été adapté au cinéma par Alan Parker.Mots-clés : thème littéraire récit de vie autobiographie Irlande New-York : Etats-unis enfance relation parent-enfant pauvreté alcoolisme fratrie marginalité discrimination sociale condition féminine éducation catholicisme Thème de fiction : enfance Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie/roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7830 R MCC C Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink