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108 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Relation mère-enfant'




Les précurseurs de la théorie de l'attachement / Blaise Pierrehumbert in Le journal des professionnels de la petite enfance, 89 (juillet 2014)
[article]
Titre : Les précurseurs de la théorie de l'attachement Auteurs : Blaise Pierrehumbert, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 7-9
in Le journal des professionnels de la petite enfance > 89 (juillet 2014)Résumé : La théorie de l'attachement de John Bowlby, élaborée dans les années 60, décrit l'émergence des premiers liens et leur importance pour l'individu. Ses travaux sur le rôle de la relation mère-bébé ont transformé les pratiques hospitalières. Catégories : Développement affectif
Psychologie de l'enfantMots-clés : relation parent-enfant relation mère-enfant relation père-enfant petite enfance Type : texte imprimé ; documentaire [article] Les précurseurs de la théorie de l'attachement [texte imprimé] / Blaise Pierrehumbert, Auteur . - 2014 . - p. 7-9.
in Le journal des professionnels de la petite enfance > 89 (juillet 2014)
Résumé : La théorie de l'attachement de John Bowlby, élaborée dans les années 60, décrit l'émergence des premiers liens et leur importance pour l'individu. Ses travaux sur le rôle de la relation mère-bébé ont transformé les pratiques hospitalières. Catégories : Développement affectif
Psychologie de l'enfantMots-clés : relation parent-enfant relation mère-enfant relation père-enfant petite enfance Type : texte imprimé ; documentaire Clémentine Autain : "Ma mère m'a donné le goût de la liberté" / Clémentine Autain / Le Monde Editions (2019) in Le Monde (Paris. 1944), 23055 (24/02/2019)
[article]
Titre : Clémentine Autain : "Ma mère m'a donné le goût de la liberté" Auteurs : Clémentine Autain, Personne interviewée ; Annick Cojean, Intervieweur Editeur : Le Monde Editions, 2019 Article en page(s) : p.21 Langues : Français
in Le Monde (Paris. 1944) > 23055 (24/02/2019)Résumé : Entretien avec Clémentine Autain, députée, à l'occasion de la sortie de son ouvrage "Dites-lui que je l'aime" (2019) consacré à sa mère l'actrice Dominique Laffin : la construction de sa vie personnelle et de sa carrière politique grâce à la résilience effectuée après le décès de sa mère et les grandes difficultés de leur relation. Mots-clés : relation mère-enfant Type : texte imprimé ; documentaire Genre : article de périodique/entretien, interview [article] Clémentine Autain : "Ma mère m'a donné le goût de la liberté" [texte imprimé] / Clémentine Autain, Personne interviewée ; Annick Cojean, Intervieweur . - [S.l.] : Le Monde Editions, 2019 . - p.21.
Langues : Français
in Le Monde (Paris. 1944) > 23055 (24/02/2019)
Résumé : Entretien avec Clémentine Autain, députée, à l'occasion de la sortie de son ouvrage "Dites-lui que je l'aime" (2019) consacré à sa mère l'actrice Dominique Laffin : la construction de sa vie personnelle et de sa carrière politique grâce à la résilience effectuée après le décès de sa mère et les grandes difficultés de leur relation. Mots-clés : relation mère-enfant Type : texte imprimé ; documentaire Genre : article de périodique/entretien, interview
Titre : Le Conflit : la femme et la mère Auteurs : Elisabeth Badinter, Auteur Editeur : Flammarion, 2010 Importance : 272 p. Langues : Français Résumé : Il y a trente ans, Elisabeth Badinter signait son premier livre L'Amour en plus, une histoire de l'amour maternel du XVIIIe siècle aux années 1970. Le livre avait alors causé de l'émoi car l'auteur y défendait la thèse qu'il n'y a pas d'instinct maternel au sens où la femme serait supposée naturellement plus capable que l'homme d'amour envers son enfant. Ce faisant, elle a tracé un chemin de déculpabilisation des mères dont certaines lui sont encore reconnaissantes.
Pourquoi reprend-elle la plume aujourd'hui ? Parce qu'elle constate un repli inquiétant sur le terrain des droits des femmes, lequel se manifeste, par exemple, par la forte baisse de la natalité dans tous les pays développés (bien moins nettement en France comme on sait), la hausse conjointe du nombre de femmes qui ne veulent pas avoir d'enfant (en dix ans, la proportion a doublé), le regain des discours naturalistes visant à river les femmes à leur rôle de mère, et plus spécifiquement par le biais d'un diktat concernant l'allaitement… Sur ce sujet précis, elle enquête pour comprendre comment l'on est passé d'un système relativement libéral à une pression de plus en plus marquée du corps médical et de l'entourage familial. Elle dénonce le rôle de la Leche League, née aux Etats- Unis dans les milieux du fondamentalisme chrétien, et qui s'est peu à peu infiltrée partout, chez les féministes et les écologistes notamment.
Le tableau qu'elle dresse est inquiétant – surtout dans les pays de tradition matriarcale (l'Allemagne et l'Italie), mais aussi dans les pays scandinaves. La barque de la maternité est aujourd'hui chargée de trop d'attentes, de contraintes, d'obligations. Il y a péril tant pour la femme et le couple que pour le lien social : quelle perspective offre une société où le fait d'avoir un enfant serait le lieu d'un clivage fatidique ?Mots-clés : maternité relation mère-enfant condition féminine condition humaine droits de la femme représentation mentale discrimination sexuelle conformisme comportement social médecine vie sociale relation sociale relation homme-femme phénomène de société féminisme 21ème siècle parti conservateur réactionnaire allaitement lait maternel relation parent-enfant enfant : famille France tradition Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.liberation.fr/vous/0101618366-la-femme-reduite-au-chimpanze Le Conflit : la femme et la mère [texte imprimé] / Elisabeth Badinter, Auteur . - [S.l.] : Flammarion, 2010 . - 272 p.
ISBN : 978-2-08-123144-3 : 18.00
Langues : Français
Résumé : Il y a trente ans, Elisabeth Badinter signait son premier livre L'Amour en plus, une histoire de l'amour maternel du XVIIIe siècle aux années 1970. Le livre avait alors causé de l'émoi car l'auteur y défendait la thèse qu'il n'y a pas d'instinct maternel au sens où la femme serait supposée naturellement plus capable que l'homme d'amour envers son enfant. Ce faisant, elle a tracé un chemin de déculpabilisation des mères dont certaines lui sont encore reconnaissantes.
Pourquoi reprend-elle la plume aujourd'hui ? Parce qu'elle constate un repli inquiétant sur le terrain des droits des femmes, lequel se manifeste, par exemple, par la forte baisse de la natalité dans tous les pays développés (bien moins nettement en France comme on sait), la hausse conjointe du nombre de femmes qui ne veulent pas avoir d'enfant (en dix ans, la proportion a doublé), le regain des discours naturalistes visant à river les femmes à leur rôle de mère, et plus spécifiquement par le biais d'un diktat concernant l'allaitement… Sur ce sujet précis, elle enquête pour comprendre comment l'on est passé d'un système relativement libéral à une pression de plus en plus marquée du corps médical et de l'entourage familial. Elle dénonce le rôle de la Leche League, née aux Etats- Unis dans les milieux du fondamentalisme chrétien, et qui s'est peu à peu infiltrée partout, chez les féministes et les écologistes notamment.
Le tableau qu'elle dresse est inquiétant – surtout dans les pays de tradition matriarcale (l'Allemagne et l'Italie), mais aussi dans les pays scandinaves. La barque de la maternité est aujourd'hui chargée de trop d'attentes, de contraintes, d'obligations. Il y a péril tant pour la femme et le couple que pour le lien social : quelle perspective offre une société où le fait d'avoir un enfant serait le lieu d'un clivage fatidique ?Mots-clés : maternité relation mère-enfant condition féminine condition humaine droits de la femme représentation mentale discrimination sexuelle conformisme comportement social médecine vie sociale relation sociale relation homme-femme phénomène de société féminisme 21ème siècle parti conservateur réactionnaire allaitement lait maternel relation parent-enfant enfant : famille France tradition Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.liberation.fr/vous/0101618366-la-femme-reduite-au-chimpanze Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42192 305.4 BAD Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible
Titre : Corps et âme: L'enfant prodige Auteurs : Frank Conroy Editeur : Gallimard, 2004 Collection : Folio num. 4018 Importance : 682 p. Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : À New York, dans les années quarante, un enfant regarde, à travers les barreaux du soupirail où il est enfermé, les chaussures des passants qui marchent sur le trottoir. Pauvre, sans autre protection que celle d'une mère excentrique, Claude Rawlings semble destiné à demeurer spectateur d'un monde inaccessible. Mais dans la chambre du fond, enseveli sous une montagne de vieux papiers, se trouve un petit piano blanc désaccordé. En déchiffrant les secrets de son clavier, Claude, comme par magie, va se découvrir lui-même : il est musicien.
Ce livre est l'histoire d'un homme dont la vie est transfigurée par un don. À l'extrémité d'une route jalonnée de mille rencontres, amitiés, amours romantiques, son voyage le conduira dans les salons des riches et jusqu'à Carnegie Hall...
"(...)c’est l’histoire de la rencontre entre un enfant et un don, entre la misère et la chance, et des difficultés que devra affronter cet enfant pour devenir un adulte et pour connaître la gloire. Nous sommes à New York, au début des années 1940. De cette ville, nous ne voyons d’abord que des chaussures, celles de ceux qui passent devant le soupirail où vit Claude Rawlings. Il a six ans, n’a jamais connu son père, et, du monde extérieur, il ne connaît que ces pas, et ce que lui en raconte sa mère, Emma, qu’il ne désigne d’abord que par ce pronom de rejet : « elle ». « Elle », c’est une femme obèse, chauffeur de taxi, en révolte contre le monde entier, qui semble insensible à tout sentiment humain mais qui, au fil des pages, se montrera bien plus intelligente et touchante que la vision première que nous en offrent les yeux de Claude.
La musique est évidemment au centre du livre, une musique classique, grave et morale, mais aussi le jazz, dont le rythme très contemporain fait entendre sa pulsation irrésistible. Autour d'elle, en une vaste fresque foisonnante de personnages à la Dickens, Frank Conroy brosse le tableau fascinant, drôle, pittoresque et parfois cruel d'un New York en pleine mutation.
Dans le fouillis extraordinaire qui leur sert d’appartement, il y a un piano et un transistor ; Claude commence à s’y intéresser et découvre que les morceaux qu’il entend sur son transistor, il peut en retrouver une ébauche, une sonorité, lorsqu’il tape sur le clavier. Mais il comprend vite que cela ne suffit pas, que, pour apprendre, il doit aller plus loin.
Cet ailleurs, cet autre monde, ou ce monde au-delà du quotidien, c’est M. Weisfeld qui va lui en ouvrir la porte. M. Weisfeld tient un magasin de musique dans lequel Claude finit par entrer un jour ; c’est un homme renfermé qui ne parle jamais du passé, comme s’il y avait là quelque chose qui ne pouvait pas se dire. Il comprend bien vite que Claude a « un talent spécial. Un talent rare. » Et il comprend qu’il doit tout faire pour que Claude le développe : c’est pourquoi il se met d’accord avec Emma et devient son premier professeur de piano, son conseiller, son père de substitution. C’est lui qui le recommande à ses amis musiciens, à un « maestro » qui, lui fait don d’un Bechstein. C’est lui qui lui trouve des professeurs de piano, certains loufoques, peut-être fous, mais qui, tous, apprennent à Claude quelque chose d’essentiel sur son art, et qui instillent en lui les connaissances et la technique qui pourront en faire un grand pianiste. Parmi ces professeurs, se trouve le meilleur, Fredericks, homme fantasque qui, lui aussi, prend Claude sous sa protection et devient bien plus qu’un maître pour cet enfant qui a tant à apprendre. Grâce à lui, Claude, au piano, parvient « quelque part ailleurs, en un lieu qu’il eût été incapable de décrire, y compris à lui-même. »
Grâce à Weisfeld, Claude grandit, son talent s’affirme toujours plus, et il découvre de nouveaux horizons : il n’apprend pas seulement à franchir les murs devant lesquels butent les musiciens, mais parfait aussi son éducation ; il découvre un autre milieu, celui des puissants, de ceux qui ne voient dans les musiciens que des larbins. Dans ce milieu-là, il fait la connaissance de Catherine, dont il tombe immédiatement amoureux, Catherine qui rejette le monde dont elle vient et qui ne recule devant aucun scandale.
Mais tout cela est comme trop facile : les professeurs se succèdent, viennent les premiers succès, les admirations ; et Claude qui, enfant, vivait comme un adulte, raisonnait comme un adulte, se retrouve, une fois adulte, incapable de comprendre le monde qui l’entoure, incapable de faire face aux défis qui l’attendent. Tout, à commencer par New York, a changé autour de lui sans qu’il s’en soit vraiment rendu compte. Il lui reste à accepter ces changements, à accepter de vivre par lui-même, et à accepter les sacrifices qu’implique cette vie rêvée qu’il a, à force de travail et de passion, fait devenir réalité. "
http://www.luxiotte.net/liseurs/livres2007a/conroy01.htmMots-clés : thème littéraire musique enfance Etats-unis New-York : Etats-Unis 1940- relation mère-enfant développement de la personnalité musicien métier : arts du spectacle pauvreté classe sociale vie sociale relation sociale comportement social élite jazz mutation sociale humour relation adulte-jeune relation d'aide perception d'autrui perception de soi relation homme-femme conflit psychique hiérarchie sociale relation père-enfant inceste condition féminine Londres : Grande-Bretagne racisme discrimination raciale type humain négritude Juifs Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.dailymotion.com/video/x81nu5_lectomaton-corps-et-ame-frank-conro_news Corps et âme : L'enfant prodige [texte imprimé] / Frank Conroy . - [S.l.] : Gallimard, 2004 . - 682 p.. - (Folio; 4018) .
ISBN : 978-2-07-031439-3 : 7,60
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : À New York, dans les années quarante, un enfant regarde, à travers les barreaux du soupirail où il est enfermé, les chaussures des passants qui marchent sur le trottoir. Pauvre, sans autre protection que celle d'une mère excentrique, Claude Rawlings semble destiné à demeurer spectateur d'un monde inaccessible. Mais dans la chambre du fond, enseveli sous une montagne de vieux papiers, se trouve un petit piano blanc désaccordé. En déchiffrant les secrets de son clavier, Claude, comme par magie, va se découvrir lui-même : il est musicien.
Ce livre est l'histoire d'un homme dont la vie est transfigurée par un don. À l'extrémité d'une route jalonnée de mille rencontres, amitiés, amours romantiques, son voyage le conduira dans les salons des riches et jusqu'à Carnegie Hall...
"(...)c’est l’histoire de la rencontre entre un enfant et un don, entre la misère et la chance, et des difficultés que devra affronter cet enfant pour devenir un adulte et pour connaître la gloire. Nous sommes à New York, au début des années 1940. De cette ville, nous ne voyons d’abord que des chaussures, celles de ceux qui passent devant le soupirail où vit Claude Rawlings. Il a six ans, n’a jamais connu son père, et, du monde extérieur, il ne connaît que ces pas, et ce que lui en raconte sa mère, Emma, qu’il ne désigne d’abord que par ce pronom de rejet : « elle ». « Elle », c’est une femme obèse, chauffeur de taxi, en révolte contre le monde entier, qui semble insensible à tout sentiment humain mais qui, au fil des pages, se montrera bien plus intelligente et touchante que la vision première que nous en offrent les yeux de Claude.
La musique est évidemment au centre du livre, une musique classique, grave et morale, mais aussi le jazz, dont le rythme très contemporain fait entendre sa pulsation irrésistible. Autour d'elle, en une vaste fresque foisonnante de personnages à la Dickens, Frank Conroy brosse le tableau fascinant, drôle, pittoresque et parfois cruel d'un New York en pleine mutation.
Dans le fouillis extraordinaire qui leur sert d’appartement, il y a un piano et un transistor ; Claude commence à s’y intéresser et découvre que les morceaux qu’il entend sur son transistor, il peut en retrouver une ébauche, une sonorité, lorsqu’il tape sur le clavier. Mais il comprend vite que cela ne suffit pas, que, pour apprendre, il doit aller plus loin.
Cet ailleurs, cet autre monde, ou ce monde au-delà du quotidien, c’est M. Weisfeld qui va lui en ouvrir la porte. M. Weisfeld tient un magasin de musique dans lequel Claude finit par entrer un jour ; c’est un homme renfermé qui ne parle jamais du passé, comme s’il y avait là quelque chose qui ne pouvait pas se dire. Il comprend bien vite que Claude a « un talent spécial. Un talent rare. » Et il comprend qu’il doit tout faire pour que Claude le développe : c’est pourquoi il se met d’accord avec Emma et devient son premier professeur de piano, son conseiller, son père de substitution. C’est lui qui le recommande à ses amis musiciens, à un « maestro » qui, lui fait don d’un Bechstein. C’est lui qui lui trouve des professeurs de piano, certains loufoques, peut-être fous, mais qui, tous, apprennent à Claude quelque chose d’essentiel sur son art, et qui instillent en lui les connaissances et la technique qui pourront en faire un grand pianiste. Parmi ces professeurs, se trouve le meilleur, Fredericks, homme fantasque qui, lui aussi, prend Claude sous sa protection et devient bien plus qu’un maître pour cet enfant qui a tant à apprendre. Grâce à lui, Claude, au piano, parvient « quelque part ailleurs, en un lieu qu’il eût été incapable de décrire, y compris à lui-même. »
Grâce à Weisfeld, Claude grandit, son talent s’affirme toujours plus, et il découvre de nouveaux horizons : il n’apprend pas seulement à franchir les murs devant lesquels butent les musiciens, mais parfait aussi son éducation ; il découvre un autre milieu, celui des puissants, de ceux qui ne voient dans les musiciens que des larbins. Dans ce milieu-là, il fait la connaissance de Catherine, dont il tombe immédiatement amoureux, Catherine qui rejette le monde dont elle vient et qui ne recule devant aucun scandale.
Mais tout cela est comme trop facile : les professeurs se succèdent, viennent les premiers succès, les admirations ; et Claude qui, enfant, vivait comme un adulte, raisonnait comme un adulte, se retrouve, une fois adulte, incapable de comprendre le monde qui l’entoure, incapable de faire face aux défis qui l’attendent. Tout, à commencer par New York, a changé autour de lui sans qu’il s’en soit vraiment rendu compte. Il lui reste à accepter ces changements, à accepter de vivre par lui-même, et à accepter les sacrifices qu’implique cette vie rêvée qu’il a, à force de travail et de passion, fait devenir réalité. "
http://www.luxiotte.net/liseurs/livres2007a/conroy01.htmMots-clés : thème littéraire musique enfance Etats-unis New-York : Etats-Unis 1940- relation mère-enfant développement de la personnalité musicien métier : arts du spectacle pauvreté classe sociale vie sociale relation sociale comportement social élite jazz mutation sociale humour relation adulte-jeune relation d'aide perception d'autrui perception de soi relation homme-femme conflit psychique hiérarchie sociale relation père-enfant inceste condition féminine Londres : Grande-Bretagne racisme discrimination raciale type humain négritude Juifs Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.dailymotion.com/video/x81nu5_lectomaton-corps-et-ame-frank-conro_news Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 19876 R CON Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : L'enfant Auteurs : JULES VALLES Editeur : Gallimard, 2003 Collection : Folioplus classiques num. 12 Importance : 391 p. Note générale : + dossier Langues : Français Résumé : "Dans Folio plus classiques, le texte intégral, enrichi d’une lecture d’image, écho pictural de l’œuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : vie littéraire (Roman social, roman politique, roman naturaliste) ; l’écrivain à sa table de travail (De la vie au roman) ; groupement de textes thématique (La mère et l’enfant) ; groupement de textes stylistique (L’autobiographie) ; chronologie (Vallès et son temps) ; fiche ’Des pistes pour rendre compte de sa lecture).
En exil à Londres après 1871, condamné à mort par contumace pour avoir participé activement à la Commune de Paris, Jules Vallès s'invente un double, Jacques Vingtras, dont il raconte l'enfance.
Voilà comment la censure, paradoxalement féconde, aura fait accoucher Vallès d'un chef-d'œuvre du roman autobiographique en le privant d'une expression directe de la révolte. L'exigence politique n'a cependant pas disparu : elle sous-tend une révolution stylistique et narrative. Car la force critique de L'Enfant tient à cette forme inédite qui, par un emploi dynamique du présent, prête voix à l'enfant sans voix pour mieux raviver la mémoire d'un corps assoiffé de liberté. Rien de pathétique, dès lors, dans ce récit d'une enfance malheureuse : Vallès fait rire d'un discours parental, social et culturel tout à la fois mis en scène et mis en pièces - comme il fait rire du «Moi» qui le subit. Par cet humour, il n'a pas fini de nous atteindre.
"Ce roman est une autobiographie par alter ego, en effet Jules Vallès décrit sa vie à travers le personnage de Jacques Vingtras, il veut créé une distance entre lui et le lecteur. Ce roman décrit son enfance, c’est le premier volume d’une trilogie paru en 1879. Jacques né d’une mère et d’un père paysans, vit à Pannesac une petite ville de province. Le père ayant fait des études devint professeur au lycée où jacques étudiera. A l’école comme chez lui il ne trouve que l’ injustice et les brimades.
Ses parents souhaitant qu’il exerce un métier intellectuel comme son père, il se révolta contre eux. C’est lors d’un voyage chez ses tantes qu’il affectionne, que Jacques va trouver un sens à sa vie. C’est le récit d’une enfance malheureuse où les châtiments sont un moyen d’éducation et non pas de punition.
Malgré tout Jules vivra des moments joyeux et libres durant ses vacances à la campagne.
Jules Vallès se révolte contre la famille, l’école et les valeurs de la société bourgeoise sous la monarchie de Juillet comme le montre la dédicace de son livre."
"ceux qui crevèrent d’ennui au collège ou qu’on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leurs maîtres ou rossés par leurs parents je dédie ce livre."
http://serieslitteraires.org/site/L-enfant-de-Jules-VallA-sCatégories : Enfance Mots-clés : thème littéraire 19ème siècle enfance enfant : famille relation parent-enfant violence éducation châtiment corporel relation mère-enfant mal de vivre condition de l' enfant développement de la personnalité droits de l'enfant enfant maltraité vie familiale comportement social naturalisme autobiographie Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie En ligne : http://www.alalettre.com/valles-oeuvres-enfant.php L'enfant [texte imprimé] / JULES VALLES . - [S.l.] : Gallimard, 2003 . - 391 p.. - (Folioplus classiques; 12) .
ISBN : 978-2-07-030465-3 : 10.00
+ dossier
Langues : Français
Résumé : "Dans Folio plus classiques, le texte intégral, enrichi d’une lecture d’image, écho pictural de l’œuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : vie littéraire (Roman social, roman politique, roman naturaliste) ; l’écrivain à sa table de travail (De la vie au roman) ; groupement de textes thématique (La mère et l’enfant) ; groupement de textes stylistique (L’autobiographie) ; chronologie (Vallès et son temps) ; fiche ’Des pistes pour rendre compte de sa lecture).
En exil à Londres après 1871, condamné à mort par contumace pour avoir participé activement à la Commune de Paris, Jules Vallès s'invente un double, Jacques Vingtras, dont il raconte l'enfance.
Voilà comment la censure, paradoxalement féconde, aura fait accoucher Vallès d'un chef-d'œuvre du roman autobiographique en le privant d'une expression directe de la révolte. L'exigence politique n'a cependant pas disparu : elle sous-tend une révolution stylistique et narrative. Car la force critique de L'Enfant tient à cette forme inédite qui, par un emploi dynamique du présent, prête voix à l'enfant sans voix pour mieux raviver la mémoire d'un corps assoiffé de liberté. Rien de pathétique, dès lors, dans ce récit d'une enfance malheureuse : Vallès fait rire d'un discours parental, social et culturel tout à la fois mis en scène et mis en pièces - comme il fait rire du «Moi» qui le subit. Par cet humour, il n'a pas fini de nous atteindre.
"Ce roman est une autobiographie par alter ego, en effet Jules Vallès décrit sa vie à travers le personnage de Jacques Vingtras, il veut créé une distance entre lui et le lecteur. Ce roman décrit son enfance, c’est le premier volume d’une trilogie paru en 1879. Jacques né d’une mère et d’un père paysans, vit à Pannesac une petite ville de province. Le père ayant fait des études devint professeur au lycée où jacques étudiera. A l’école comme chez lui il ne trouve que l’ injustice et les brimades.
Ses parents souhaitant qu’il exerce un métier intellectuel comme son père, il se révolta contre eux. C’est lors d’un voyage chez ses tantes qu’il affectionne, que Jacques va trouver un sens à sa vie. C’est le récit d’une enfance malheureuse où les châtiments sont un moyen d’éducation et non pas de punition.
Malgré tout Jules vivra des moments joyeux et libres durant ses vacances à la campagne.
Jules Vallès se révolte contre la famille, l’école et les valeurs de la société bourgeoise sous la monarchie de Juillet comme le montre la dédicace de son livre."
"ceux qui crevèrent d’ennui au collège ou qu’on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leurs maîtres ou rossés par leurs parents je dédie ce livre."
http://serieslitteraires.org/site/L-enfant-de-Jules-VallA-sCatégories : Enfance Mots-clés : thème littéraire 19ème siècle enfance enfant : famille relation parent-enfant violence éducation châtiment corporel relation mère-enfant mal de vivre condition de l' enfant développement de la personnalité droits de l'enfant enfant maltraité vie familiale comportement social naturalisme autobiographie Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie En ligne : http://www.alalettre.com/valles-oeuvres-enfant.php Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 20266 R VAL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible La mère à l'oeuvre / Roland Gori / Magazine littéraire (2014) in Magazine littéraire, 543 (05/2014)
PermalinkTout sur leur mère / Alexis Brocas / Magazine littéraire (2014) in Magazine littéraire, 543 (05/2014)
PermalinkPermalinkPermalinkJohn Bowlby : la théorie de l'attachement / Yvane Wiart / Association de formation, d'études et de recherche en sciences humaines (2013) in Les Grands dossiers des sciences humaines, 032 (09/2013)
PermalinkPermalinkLe désir d'enfant / Elisabeth Darchis in Le journal des professionnels de la petite enfance, 91 (novembre 2014)
PermalinkLe lien d'attachement chez l'enfant / Boris Cyrulnik in Le journal des professionnels de la petite enfance, 89 (juillet 2014)
PermalinkPermalinkLa cause des mères. 3/7, Judith : parcours de la combattante / Marie Desplechin / Le Monde Editions (2014) in Le Monde (Paris. 1944), 21623 Culture (26/07/2014)
PermalinkPermalinkDes coeurs découpés / Brigitte Smadja / Actes Sud (2005)
PermalinkPermalinkPermalinkDeux fois rien / Marie-Sophie Vermot / Editions Thierry Magnier (2006)
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