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Titre : 1984 Auteurs : GEORGE ORWELL, Auteur Editeur : Gallimard, 1996 Collection : Folio Importance : 438 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : George Orwell écrit 1984 en 1948 ( l’inversion des 2 derniers chiffres serait une des explications du titre) et le publie l’année suivante.
" Militant de gauche violemment opposé à la dictature soviétique, George Orwell s'est inspiré de Staline pour en faire son 'Big Brother' et pour dépeindre la société totalitaire ultime. Dans une contre-utopie cinglante, Orwell propose une réflexion sur la ruine de l'homme par la confiscation de la pensée et la prolifération de la technocratie. Ce roman nous dévoile une société plongée dans une 'hypnose sociale' où la perversion du langage prédomine : la Paix c'est la Guerre ; l'Amour, la Haine...
Livre de science-fiction ou traité de philosophie politique ? 1984 de George ORWELL combine génialement les deux genres, c'est ce qui fait la qualité et le renom de ce roman impressionnant.
C'est dans l'immédiate après-guerre, alors qu'il est mourrant, qu'Orwell imagine le monde des années quatre-vingt plongé dans le totalitarisme. Trois Etats totalitaires concurrents perpétuellement en guerre se partagent la planète : l'Océania dirigée par Big Brother, l'Eurasia et l'Estasia.
Orwell qui a été contemporain du nazisme et du stalinisme imagine un totalitarisme absolu, qui ne contrôlerait plus seulement les actes mais surtout les esprits, et avec eux la mémoire, et donc la vérité, la science et l'histoire.
« Le commandement des anciens despotismes était : 'Tu ne dois pas.' Le commandement des totalitaires était : 'Tu dois.' Notre commandement est : 'Tu es.' » (p.360)
Pour domestiquer les esprits, le parti unique invente une langue nouvelle, le novlangue, censée limiter les dangereuses éruptions mentales intempestives (ces associations d'idées nées de notre vocabulaire riche et complexe), et une gymnastique mentale appelée doublepensée permettant de faire coexister une vérité et son contraire.
Le plus inquiétant c'est de constater la machine infernale qui est en marche dans 1984 : le temps joue pour ce système diabolique qui est toujours plus puissant, toujours moins vulnérable. Si on ne détruit pas les germes du mal avant qu'ils n'aient pris racine, le processus totalitaire imaginé par Orwell semble indestructible, irréversible. C'est ce qui explique d'ailleurs la teinte sombre du roman, très pessimiste.
Passage très fort du roman : la torture physique et psychologique subie par Winston dans le 'Ministère de l'Amour'. On retrouve les terribles techniques employées jadis par l'Inquisition puis perfectionnées par nazis et staliniens. Cet apparent paradoxe notamment : le supplicié finit par se sentir proche de son tortionnaire, il l'aime et souhaite obtenir son soutien, il veut faire plaisir à celui qui le fait souffrir au-delà du supportable… Orwell était un grand connaisseur de l'âme humaine.
Notre époque contemporaine a heureusement échappé aux totalitarismes nés de l'après-guerre. On ressort pourtant de la lecture de 1984 avec un profond malaise. Les germes diffus du totalitarisme de Big Brother semblent nous menacer quotidiennement. Bien sûr il n'existe pas de parti unique pour porter ce totalitarisme, mais c'est justement ce qui fait sa force menaçante.
Une forme de novlangue ne s'instaure-t-elle pas dans notre société ? Le « politiquement correct » dans les médias et le jargon technicien incompréhensible des spécialistes (essayez de lire un texte de loi moderne ou de comprendre une réforme économique…) ne sont-ils pas deux déclinaisons complémentaires de cette novlangue contemporaine ?
L'ignorance crasse règne partout en maîtresse et se drape majestueusement dans les oripeaux de la science : on est capable de parler de tout mais on ne connaît rien (c'est un des enseignements dispensés à Sciences Po sous le vocable vertueux de « culture générale »). Combien de journalistes et d'étudiants qui citent 1984 et Orwell sans répit ont-ils véritablement lu ce roman ?
Le fait qu'une émission de télévision anglo-saxonne très populaire s'intitule « Big Brother » devrait nous faire réfléchir sur les maux qui menacent notre tranquille société moderne.
Publié par Mathieu Scrivat
Le jeudi 12 juin 2003
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153Mots-clés : thème littéraire science-fiction : genre totalitarisme propagande 1950- dictature utopie résistance : politique contestation rébellion liberté droits de l'homme violation des droits de l'homme liberté de pensée liberté d'expression perversion Etat nazisme stalisnime parti politique parti unique idéologie politique comportement social perception d'autrui perception de soi stéréotype relation sociale vie sociale représentation mentale torture Thème de fiction : fantastique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153 1984 [texte imprimé] / GEORGE ORWELL, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1996 . - 438 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-036822-8 : 8.00
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : George Orwell écrit 1984 en 1948 ( l’inversion des 2 derniers chiffres serait une des explications du titre) et le publie l’année suivante.
" Militant de gauche violemment opposé à la dictature soviétique, George Orwell s'est inspiré de Staline pour en faire son 'Big Brother' et pour dépeindre la société totalitaire ultime. Dans une contre-utopie cinglante, Orwell propose une réflexion sur la ruine de l'homme par la confiscation de la pensée et la prolifération de la technocratie. Ce roman nous dévoile une société plongée dans une 'hypnose sociale' où la perversion du langage prédomine : la Paix c'est la Guerre ; l'Amour, la Haine...
Livre de science-fiction ou traité de philosophie politique ? 1984 de George ORWELL combine génialement les deux genres, c'est ce qui fait la qualité et le renom de ce roman impressionnant.
C'est dans l'immédiate après-guerre, alors qu'il est mourrant, qu'Orwell imagine le monde des années quatre-vingt plongé dans le totalitarisme. Trois Etats totalitaires concurrents perpétuellement en guerre se partagent la planète : l'Océania dirigée par Big Brother, l'Eurasia et l'Estasia.
Orwell qui a été contemporain du nazisme et du stalinisme imagine un totalitarisme absolu, qui ne contrôlerait plus seulement les actes mais surtout les esprits, et avec eux la mémoire, et donc la vérité, la science et l'histoire.
« Le commandement des anciens despotismes était : 'Tu ne dois pas.' Le commandement des totalitaires était : 'Tu dois.' Notre commandement est : 'Tu es.' » (p.360)
Pour domestiquer les esprits, le parti unique invente une langue nouvelle, le novlangue, censée limiter les dangereuses éruptions mentales intempestives (ces associations d'idées nées de notre vocabulaire riche et complexe), et une gymnastique mentale appelée doublepensée permettant de faire coexister une vérité et son contraire.
Le plus inquiétant c'est de constater la machine infernale qui est en marche dans 1984 : le temps joue pour ce système diabolique qui est toujours plus puissant, toujours moins vulnérable. Si on ne détruit pas les germes du mal avant qu'ils n'aient pris racine, le processus totalitaire imaginé par Orwell semble indestructible, irréversible. C'est ce qui explique d'ailleurs la teinte sombre du roman, très pessimiste.
Passage très fort du roman : la torture physique et psychologique subie par Winston dans le 'Ministère de l'Amour'. On retrouve les terribles techniques employées jadis par l'Inquisition puis perfectionnées par nazis et staliniens. Cet apparent paradoxe notamment : le supplicié finit par se sentir proche de son tortionnaire, il l'aime et souhaite obtenir son soutien, il veut faire plaisir à celui qui le fait souffrir au-delà du supportable… Orwell était un grand connaisseur de l'âme humaine.
Notre époque contemporaine a heureusement échappé aux totalitarismes nés de l'après-guerre. On ressort pourtant de la lecture de 1984 avec un profond malaise. Les germes diffus du totalitarisme de Big Brother semblent nous menacer quotidiennement. Bien sûr il n'existe pas de parti unique pour porter ce totalitarisme, mais c'est justement ce qui fait sa force menaçante.
Une forme de novlangue ne s'instaure-t-elle pas dans notre société ? Le « politiquement correct » dans les médias et le jargon technicien incompréhensible des spécialistes (essayez de lire un texte de loi moderne ou de comprendre une réforme économique…) ne sont-ils pas deux déclinaisons complémentaires de cette novlangue contemporaine ?
L'ignorance crasse règne partout en maîtresse et se drape majestueusement dans les oripeaux de la science : on est capable de parler de tout mais on ne connaît rien (c'est un des enseignements dispensés à Sciences Po sous le vocable vertueux de « culture générale »). Combien de journalistes et d'étudiants qui citent 1984 et Orwell sans répit ont-ils véritablement lu ce roman ?
Le fait qu'une émission de télévision anglo-saxonne très populaire s'intitule « Big Brother » devrait nous faire réfléchir sur les maux qui menacent notre tranquille société moderne.
Publié par Mathieu Scrivat
Le jeudi 12 juin 2003
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153Mots-clés : thème littéraire science-fiction : genre totalitarisme propagande 1950- dictature utopie résistance : politique contestation rébellion liberté droits de l'homme violation des droits de l'homme liberté de pensée liberté d'expression perversion Etat nazisme stalisnime parti politique parti unique idéologie politique comportement social perception d'autrui perception de soi stéréotype relation sociale vie sociale représentation mentale torture Thème de fiction : fantastique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6009 R ORW Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible 59127 R ORW Livre 1. Fictions 1. Romans Sorti jusqu'au 22/07/2019
Titre : L'Alcoolisme Auteurs : Laurent Karila, Auteur Editeur : Paris : le Cavalier bleu éd, 2010 Collection : Idées recues Importance : 128 p. Langues : Français Résumé : On considère souvent l’alcool avec plus de bienveillance
que d’autres drogues. Pourtant, les mécanismes et les conséquences
de l’alcoolisme s’apparentent à n’importe quelle autre addiction.
Au sommaire :
Alcool, sexe et société
— « L’alcool, ce n’est pas vraiment une drogue. »
— « Le vin, c’est comme un aliment. »
— « Les hommes et les femmes ne sont pas égaux devant l’alcool. »
— « L’alcool rend performant sexuellement. »
— « L’alcool rend créatif. »
Abus et dépendance à l’alcool
— « L’alcoolisme, c’est héréditaire. »
— « Une cuite le week-end en soirée, ça ne fait pas de mal quand on est adolescent. »
— « Un ou deux verres d’alcool quand on est enceinte, ce n’est pas très grave. »
— « Plus on boit régulièrement, mieux on tient l’alcool. »
Alcool et autres substances
— « Alcoolisme et tabagisme ne font pas bon ménage. »
— « Un petit joint avec un verre d’alcool, ça n’a jamais fait de mal à personne ! »
— « Alcool et cocaïne, c’est pire que tout ! »
— « Le vin et la bière sont moins nocifs que les alcools forts. »
— « L’alcool tue. »
Aspects thérapeutiques
— « Une cure de sevrage à l’hôpital et tout sera résolu ! »
— « Les traitements médicamenteux pour l’addiction à l’alcool ne sont pas très efficaces. »
— « Quand on est dépendant à l’alcool, on est souvent dépressif. »
— « La dépendance à l’alcool, il n’y a que la volonté pour s’en sortir. »
— « La psychothérapie ne sert à rien pour traiter les problèmes d’alcool. »Mots-clés : Alcool Alcoolisme Stéréotype Addiction condition féminine condition masculine alccolisme féminin abus d'alcool dépendance adolescent grossesse tabagisme thérapie médecine exercice de la médecine maladie état dépressif dépression nerveuse psychothérapie En ligne : http://www.lecavalierbleu.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=257 L'Alcoolisme [texte imprimé] / Laurent Karila, Auteur . - Paris : le Cavalier bleu éd, 2010 . - 128 p.. - (Idées recues) .
ISBN : 978-2-84670-301-7 : 8.00
Langues : Français
Résumé : On considère souvent l’alcool avec plus de bienveillance
que d’autres drogues. Pourtant, les mécanismes et les conséquences
de l’alcoolisme s’apparentent à n’importe quelle autre addiction.
Au sommaire :
Alcool, sexe et société
— « L’alcool, ce n’est pas vraiment une drogue. »
— « Le vin, c’est comme un aliment. »
— « Les hommes et les femmes ne sont pas égaux devant l’alcool. »
— « L’alcool rend performant sexuellement. »
— « L’alcool rend créatif. »
Abus et dépendance à l’alcool
— « L’alcoolisme, c’est héréditaire. »
— « Une cuite le week-end en soirée, ça ne fait pas de mal quand on est adolescent. »
— « Un ou deux verres d’alcool quand on est enceinte, ce n’est pas très grave. »
— « Plus on boit régulièrement, mieux on tient l’alcool. »
Alcool et autres substances
— « Alcoolisme et tabagisme ne font pas bon ménage. »
— « Un petit joint avec un verre d’alcool, ça n’a jamais fait de mal à personne ! »
— « Alcool et cocaïne, c’est pire que tout ! »
— « Le vin et la bière sont moins nocifs que les alcools forts. »
— « L’alcool tue. »
Aspects thérapeutiques
— « Une cure de sevrage à l’hôpital et tout sera résolu ! »
— « Les traitements médicamenteux pour l’addiction à l’alcool ne sont pas très efficaces. »
— « Quand on est dépendant à l’alcool, on est souvent dépressif. »
— « La dépendance à l’alcool, il n’y a que la volonté pour s’en sortir. »
— « La psychothérapie ne sert à rien pour traiter les problèmes d’alcool. »Mots-clés : Alcool Alcoolisme Stéréotype Addiction condition féminine condition masculine alccolisme féminin abus d'alcool dépendance adolescent grossesse tabagisme thérapie médecine exercice de la médecine maladie état dépressif dépression nerveuse psychothérapie En ligne : http://www.lecavalierbleu.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=257 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41086 616.861 KAR Livre 2. Documentaires 700 Arts-Sports-Loisirs Disponible
Titre : Allah superstar Auteurs : Y. B., Auteur Editeur : B. Grasset, 2003 Collection : Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 Importance : 221 p. Langues : Français Résumé : Autoportrait d'une jeune de la cité d'Évry qui se verrait bien en comique. Façon, Jamel Debbouze, au pire Gad Elmaleh. En haut de l'affiche, à l'Olympia. Orphelin d'une mère charentaise, élevé par un père algérien veilleur de nuit, employé dans un Quick, Kamel Hassani a peu le choix pour s'en sortir. Être une star. Quitte à essuyer une fatwa lancée par le cheikh de la cité. Quitte à signer un premier contrat avec un raté de la production, revenu d'outre-tombe. Il s'agit d'y croire. Et le voilà parti, sous le nom de Kamel Léon, dans une ascension fulgurante, à la stupéfaction de son entourage, avec un sketch "sulfurique, tellurique", parodiant Al-Qaïda... Annoncé comme "un roman extrême contre les extrémismes", Allah Superstar n'y va pas de mainmorte. Sous le pseudonyme d'Y. B., l'auteur renvoie dos à dos les terroristes et les islamistes, les imans et les Saoudiens jonglant à coups de pétrodollars, les agents de Sarkozy et les CRS de Pasqua, épingle la mixité sociale, le show-business, Michel Drucker en Highlander, Star Academy, la RATP et les fast food. Tout y passe ! Sur le ton et avec un style proches de Jamel Debbouze, voici un roman cinglant, irrévérencieux, qui hurle son comique de l'exagération, se sert des actualités (de Jeannne Calment au 11 septembre), puise à la fois chez les Marx Brothers et Woody Allen, les Guignols et les Robins-des-Bois et s'inspire de la lucidité de Coluche et de Desproges. Une autre manière de s'ériger contre la société du spectacle. -- Céline Darner
Présentation de l'éditeur :
" Une fatwa, voilà ce qu'il me faut pour devenir à la mode. C'est plus rapide que Star Academy, ça dure plus longtemps, tu voyages dans le monde entier, tu donnes des conférences, tu descends dans des palaces, tu montes sur scène avec U2, tu prends le thé avec le pape, une bière ou deux voire trois avec Chirac, une vodka givrée avec Poutine, un cigare humide avec Clinton, une grosse ligne avec Bush Junior, un masque à gaz avec Saddam Hussein, à chaque fois que tu dis une connerie tout le monde entier il t'écoute vu que tu as une fatwa au cul le pauvre, alors que le monde entier il est autant dans la merde que toi vu que c'est bientôt la fin du monde pour tout le monde.
Y.B
Un roman extrême contre les extrémismes".Mots-clés : thème littéraire 20ème siècle France banlieue humour satire jeunesse enfant : famille relation parent-enfant Arabes immigré maghrébin immigré de la 2e génération pauvreté métier : arts du spectacle comportement social perception de soi perception d'autrui tolérance liberté de pensée Musulmans Islam stéréotype représentation mentale comique : genre médias Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.edition-grasset.fr/auteurs/2003-yb.htm Allah superstar [texte imprimé] / Y. B., Auteur . - [S.l.] : B. Grasset, 2003 . - 221 p.. - (Le Livre de poche, ISSN 0248-3653) .
ISBN : 978-2-253-11249-5 : 5.00
Langues : Français
Résumé : Autoportrait d'une jeune de la cité d'Évry qui se verrait bien en comique. Façon, Jamel Debbouze, au pire Gad Elmaleh. En haut de l'affiche, à l'Olympia. Orphelin d'une mère charentaise, élevé par un père algérien veilleur de nuit, employé dans un Quick, Kamel Hassani a peu le choix pour s'en sortir. Être une star. Quitte à essuyer une fatwa lancée par le cheikh de la cité. Quitte à signer un premier contrat avec un raté de la production, revenu d'outre-tombe. Il s'agit d'y croire. Et le voilà parti, sous le nom de Kamel Léon, dans une ascension fulgurante, à la stupéfaction de son entourage, avec un sketch "sulfurique, tellurique", parodiant Al-Qaïda... Annoncé comme "un roman extrême contre les extrémismes", Allah Superstar n'y va pas de mainmorte. Sous le pseudonyme d'Y. B., l'auteur renvoie dos à dos les terroristes et les islamistes, les imans et les Saoudiens jonglant à coups de pétrodollars, les agents de Sarkozy et les CRS de Pasqua, épingle la mixité sociale, le show-business, Michel Drucker en Highlander, Star Academy, la RATP et les fast food. Tout y passe ! Sur le ton et avec un style proches de Jamel Debbouze, voici un roman cinglant, irrévérencieux, qui hurle son comique de l'exagération, se sert des actualités (de Jeannne Calment au 11 septembre), puise à la fois chez les Marx Brothers et Woody Allen, les Guignols et les Robins-des-Bois et s'inspire de la lucidité de Coluche et de Desproges. Une autre manière de s'ériger contre la société du spectacle. -- Céline Darner
Présentation de l'éditeur :
" Une fatwa, voilà ce qu'il me faut pour devenir à la mode. C'est plus rapide que Star Academy, ça dure plus longtemps, tu voyages dans le monde entier, tu donnes des conférences, tu descends dans des palaces, tu montes sur scène avec U2, tu prends le thé avec le pape, une bière ou deux voire trois avec Chirac, une vodka givrée avec Poutine, un cigare humide avec Clinton, une grosse ligne avec Bush Junior, un masque à gaz avec Saddam Hussein, à chaque fois que tu dis une connerie tout le monde entier il t'écoute vu que tu as une fatwa au cul le pauvre, alors que le monde entier il est autant dans la merde que toi vu que c'est bientôt la fin du monde pour tout le monde.
Y.B
Un roman extrême contre les extrémismes".Mots-clés : thème littéraire 20ème siècle France banlieue humour satire jeunesse enfant : famille relation parent-enfant Arabes immigré maghrébin immigré de la 2e génération pauvreté métier : arts du spectacle comportement social perception de soi perception d'autrui tolérance liberté de pensée Musulmans Islam stéréotype représentation mentale comique : genre médias Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.edition-grasset.fr/auteurs/2003-yb.htm Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41945 RS B Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible L'Amant / Marguerite Duras / Éd. de minuit (1995)
Titre : L'Amant Auteurs : Marguerite Duras (1914-1996), Auteur Editeur : Éd. de minuit, 1995 Importance : 146 p. Langues : Français Résumé : L'Amant est le titre du roman autobiographique de marguerite Duras. L’amant fut publié en 1984et valut à Marguerite Duras le Prix Goncourt en 1984. Vendu à 2 400 000 exemplaires, « L’amant » fut ensuite adapté au cinéma en 1992. Ecrit lorsque Marguerite Duras était agée de 70 ans, « L’amant » raconte l’adolescence de Marguerite Duras en Indochine et ses périodes cachées.
"L'Amant" est le récit de l'enfance et de l'adolescence de Marguerite Duras en Indochine française. Les années passées au lycée français de Saïgon la rencontre avec un jeune chinois, les amours interdites. Elle est adolescente, il a une quinzaine années de plus qu'elle, ils vont s'aimer et se posséder.
Dans ce texte, Duras revient sur ses études, sur sa vie à Saïgon, sur les difficultés éprouvées par sa mère pour faire bouillir la marmite familiale, la propriété qu'elle possède au Cambodge se révélant être une terre incultivable (Duras raconte cette concession dans "Un barrage contre le Pacifique", en 1950). L'Amant est une œuvre très complexe. Marguerite Germaine Marie Donnadieu, plus connue sous le nom de Marguerite Duras, est née le 4 avril 1914 en Indochine. Son père est directeur d'école, sa mère institutrice. Le premier décède en 1921. Toute la famille revient en métropole par la suite, près de Duras dans le Lot-et-Garonne.
En 1924, Marguerite repart, au Cambodge cette fois, puis au Vietnam. Quatre ans plus tard, sa mère achète un terrain pour s'y installer, mais l'opération la ruine et elle reprend l'enseignement. Marguerite Duras est très marquée par cet épisode, qui lui inspirera des éléments d'Un barrage contre le Pacifique, L'Amant, l'Eden cinéma...Catégories : Adolescence
ChineMots-clés : Thème littéraire Duras, Marguerite Amour Passion racisme Années 30 Société coloniale Inégalité sociale Cambodge Asie du Sud-est Classe sociale France Français Chinois Colon Commerçant Richesse Pauvreté Comportement social Comportement sexuel Sexualité Sexualité féminine enfant : famille relation père-enfant Relation mère-enfant Stéréotype Relation parent-enfant Conventions sociales Adolescence Rébellion Révolte Non-conformisme Autobiographie Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie/roman L'Amant [texte imprimé] / Marguerite Duras (1914-1996), Auteur . - [S.l.] : Éd. de minuit, 1995 . - 146 p.
7.00
Langues : Français
Résumé : L'Amant est le titre du roman autobiographique de marguerite Duras. L’amant fut publié en 1984et valut à Marguerite Duras le Prix Goncourt en 1984. Vendu à 2 400 000 exemplaires, « L’amant » fut ensuite adapté au cinéma en 1992. Ecrit lorsque Marguerite Duras était agée de 70 ans, « L’amant » raconte l’adolescence de Marguerite Duras en Indochine et ses périodes cachées.
"L'Amant" est le récit de l'enfance et de l'adolescence de Marguerite Duras en Indochine française. Les années passées au lycée français de Saïgon la rencontre avec un jeune chinois, les amours interdites. Elle est adolescente, il a une quinzaine années de plus qu'elle, ils vont s'aimer et se posséder.
Dans ce texte, Duras revient sur ses études, sur sa vie à Saïgon, sur les difficultés éprouvées par sa mère pour faire bouillir la marmite familiale, la propriété qu'elle possède au Cambodge se révélant être une terre incultivable (Duras raconte cette concession dans "Un barrage contre le Pacifique", en 1950). L'Amant est une œuvre très complexe. Marguerite Germaine Marie Donnadieu, plus connue sous le nom de Marguerite Duras, est née le 4 avril 1914 en Indochine. Son père est directeur d'école, sa mère institutrice. Le premier décède en 1921. Toute la famille revient en métropole par la suite, près de Duras dans le Lot-et-Garonne.
En 1924, Marguerite repart, au Cambodge cette fois, puis au Vietnam. Quatre ans plus tard, sa mère achète un terrain pour s'y installer, mais l'opération la ruine et elle reprend l'enseignement. Marguerite Duras est très marquée par cet épisode, qui lui inspirera des éléments d'Un barrage contre le Pacifique, L'Amant, l'Eden cinéma...Catégories : Adolescence
ChineMots-clés : Thème littéraire Duras, Marguerite Amour Passion racisme Années 30 Société coloniale Inégalité sociale Cambodge Asie du Sud-est Classe sociale France Français Chinois Colon Commerçant Richesse Pauvreté Comportement social Comportement sexuel Sexualité Sexualité féminine enfant : famille relation père-enfant Relation mère-enfant Stéréotype Relation parent-enfant Conventions sociales Adolescence Rébellion Révolte Non-conformisme Autobiographie Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie/roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 31124 R DUR Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Bruges-La-Morte Auteurs : Georges Rodenbach, Auteur Editeur : Actes Sud, 1989 Collection : Babel Importance : 169 p. Langues : Français Résumé : Parmi les canaux blêmes de l'ancien port figé dans des eaux sépulcrales, le roman se joue entre des reflets : celui d'une femme que Hugues Viane a passionnément aimée, celui d'une morte dont il croit retrouver l'image chez une vivante. Le héros de Rodenbach s’appelle Hugues Viane. Veuf inconsolable, il est venu s’établir à Bruges où il ne connait personne, pour cuver en paix son chagrin et bâtir un culte à sa femme morte qu’il ne cesse d’aimer et de vénérer. Pour en quelque sorte « éterniser son regret« . Alors qu’il se complait dans la douleur depuis cinq ans, voici qu’apparait une femme, en tout point semblable à la défunte. Il se prend de passion pour la jeune femme, une actrice, une « aventurière » qui va se jouer de lui et profiter de son aveuglement. Dans l’austère cité, cette relation va être montrée du doigt et Hugues moqué puis réprimandé par ses voisins. Récit fétichiste, où toute la sémiologie de la ville participe aux cérémonies du deuil. Livre-culte pour les spleens d'aujourd'hui.
Ecrit à la fin du XIXè, le roman se déroule à Bruges, une ville qui depuis qu'elle a perdu l'accès à la mer, est devenue effacée et triste, alors qu'elle était un centre de commerce florissant. Dans ce livre, Bruges est silencieuse et nostalgique de son passé, une ville morte justement. Bruges sert de miroir à l'état d'âme du personnage principal, récemment devenu veuf. Mais ce n'est pas seulement un miroir, c'est également le lieu qui s'harmonise le mieux avec son état d'âme d'homme qui a perdu son enthousiasme pour la vie, presque une épitaphe. Cependant il vient à rencontrer une ballerine identique en tous points à sa femme adorée et décédée. Entre eux deux naît une relation qui scandalise la partie bien-pensante de la ville (un lieu où la domination espagnole a laissé un esprit religieux où la peur de l'enfer l'emporte sur l'espoir du paradis). Le scandale ne fait que croître, à tel point que l'homme est presque exclu du jeu social, jusqu'à ce que la femme commette l'irréparable et avec ce sacrilège, y perd la vie. Dans ce roman, Bruges est le lieu du spleen pour cet écrivain flamand.Mots-clés : thème littéraire Bruges : Belgique Relation homme-femme Amour Veuvage mort : philosophie mal-être mal de vivre souvenir mémoire condition féminine comportement social stéréotype rumeur christianisme religion croyance religieuse bourgeoisie conformisme 19ème siècle Belgique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://books.google.fr/books?id=4FfsDI5QFUUC&dq=bruges-la-morte&printsec=frontco [...] Bruges-La-Morte [texte imprimé] / Georges Rodenbach, Auteur . - [S.l.] : Actes Sud, 1989 . - 169 p.. - (Babel) .
ISBN : 978-2-86869-358-7 : 8.00
Langues : Français
Résumé : Parmi les canaux blêmes de l'ancien port figé dans des eaux sépulcrales, le roman se joue entre des reflets : celui d'une femme que Hugues Viane a passionnément aimée, celui d'une morte dont il croit retrouver l'image chez une vivante. Le héros de Rodenbach s’appelle Hugues Viane. Veuf inconsolable, il est venu s’établir à Bruges où il ne connait personne, pour cuver en paix son chagrin et bâtir un culte à sa femme morte qu’il ne cesse d’aimer et de vénérer. Pour en quelque sorte « éterniser son regret« . Alors qu’il se complait dans la douleur depuis cinq ans, voici qu’apparait une femme, en tout point semblable à la défunte. Il se prend de passion pour la jeune femme, une actrice, une « aventurière » qui va se jouer de lui et profiter de son aveuglement. Dans l’austère cité, cette relation va être montrée du doigt et Hugues moqué puis réprimandé par ses voisins. Récit fétichiste, où toute la sémiologie de la ville participe aux cérémonies du deuil. Livre-culte pour les spleens d'aujourd'hui.
Ecrit à la fin du XIXè, le roman se déroule à Bruges, une ville qui depuis qu'elle a perdu l'accès à la mer, est devenue effacée et triste, alors qu'elle était un centre de commerce florissant. Dans ce livre, Bruges est silencieuse et nostalgique de son passé, une ville morte justement. Bruges sert de miroir à l'état d'âme du personnage principal, récemment devenu veuf. Mais ce n'est pas seulement un miroir, c'est également le lieu qui s'harmonise le mieux avec son état d'âme d'homme qui a perdu son enthousiasme pour la vie, presque une épitaphe. Cependant il vient à rencontrer une ballerine identique en tous points à sa femme adorée et décédée. Entre eux deux naît une relation qui scandalise la partie bien-pensante de la ville (un lieu où la domination espagnole a laissé un esprit religieux où la peur de l'enfer l'emporte sur l'espoir du paradis). Le scandale ne fait que croître, à tel point que l'homme est presque exclu du jeu social, jusqu'à ce que la femme commette l'irréparable et avec ce sacrilège, y perd la vie. Dans ce roman, Bruges est le lieu du spleen pour cet écrivain flamand.Mots-clés : thème littéraire Bruges : Belgique Relation homme-femme Amour Veuvage mort : philosophie mal-être mal de vivre souvenir mémoire condition féminine comportement social stéréotype rumeur christianisme religion croyance religieuse bourgeoisie conformisme 19ème siècle Belgique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://books.google.fr/books?id=4FfsDI5QFUUC&dq=bruges-la-morte&printsec=frontco [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4329 R ROD Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible PermalinkLa Domination féminine : une mystification publicitaire / Vinciane Pinte / Bruxelles [Belgique] : Labor / Espace de libertés (2003)
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