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11 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'condition sociale'




Titre : Germinal: Les Rougon-Macquart : Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second empire Auteurs : Emile Zola, Auteur Editeur : Gallimard, 1988 Collection : Folio Importance : 632 p. Langues : Français Résumé : Publié en 1885, Germinal fait partie de la série Rougon-Macquart. Il est la treizième œuvre de cette série de vingt.
Roman de la lutte des classes et de la révolte sociale, Germinal est un vibrant plaidoyer en faveur des déshérités et des exploités. Portée par un puissant souffle lyrique, cette œuvre épique et poignante exprime le rêve de Zola " d'un seul peuple fraternel faisant du monde une cité unique de paix, de vérité et de justice".
Fils de Gervaise Macquart et de son amant Lantier, le jeune Etienne Lantier s'est fait renvoyer de son travail pour avoir donné une gifle à son employeur. Chômeur, il part, en pleine crise industrielle, dans le Nord de la France, à la recherche d’un nouveau emploi. Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail effroyables (pour écrire ce roman, Emile Zola s'est beaucoup documenté sur le travail dans les mines)
Il fait la connaissance d'une famille de mineurs, les Maheu et tombe amoureux de la jeune Catherine. Mais celle-ci est la maîtresse d'un ouvrier brutal, Chaval, et bien qu'elle ne soit pas insensible à Etienne, elle a à son égard une attitude étrange.
Etienne s'intègre vite parmi le peuple des mineurs. Il est révolté par l'injustice qu'il découvre et par les conditions de vie des mineurs. Il propage assez rapidement des idées révolutionnaires.
Lorsque la Compagnie des Mines , arguant de la crise économique, décrète une baisse de salaire, il pousse les mineurs à la grève. Il parvient à vaincre leur résignation et à leur faire partager son rêve d'une société plus juste.
Lorsque la grève éclate, la Compagnie des Mines adopte une position très dure et refuse toute négociation. Affamés par des semaines de lutte, le mouvement se durcit. Les grévistes cassent les machines et les installations minières et agressent les bourgeois. Les soldats viennent rétablir l'ordre mais la grève continue. De nombreux mineurs défient les soldats qui tirent sur les manifestants : Maheu, l'ouvrier chez qui Lantier avait pris pension, est tué.
La grève est un échec. Les mineurs se résignent à reprendre le travail. C'est alors que Souvarine, un ouvrier anarchiste , sabote la mine. De nombreux mineurs meurent. Etienne, Catherine et Chaval, son amant, sont bloqués dans la mine. Chaval provoque Etienne qui le tue. Il devient enfin l’amant de Catherine qui meurt dans ses bras avant l'arrivée des sauveteurs. Etienne sort vivant de cet enfer, et part pour Paris.
Même si la révolte a échouée, Etienne est plein d’espoirs dans la lutte que les ouvriers mènent contre les inégalités. Un jour, il en est persuadé , ils vaincront l'injustice....Mots-clés : thème littéraire 19ème siècle exploitation minière exploitation minière souterraine industrie extractive économie de marché système économique employeur classe sociale hiérarchie sociale mouvement ouvrier classe populaire ouvrier prolétariat syndicat condition sociale condition féminine droits de l'enfant pauvreté inégalité sociale origine sociale système social discrimination sociale conflit du travail conflit social droit de grève droits sociaux lutte des classes relation homme-femme bourgeoisie région Nord- Pas- de- Calais anarchisme idéologie politique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.espacefrancais.com/topics/germinal.html Germinal : Les Rougon-Macquart : Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second empire [texte imprimé] / Emile Zola, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1988 . - 632 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-037001-6 : 8.00
Langues : Français
Résumé : Publié en 1885, Germinal fait partie de la série Rougon-Macquart. Il est la treizième œuvre de cette série de vingt.
Roman de la lutte des classes et de la révolte sociale, Germinal est un vibrant plaidoyer en faveur des déshérités et des exploités. Portée par un puissant souffle lyrique, cette œuvre épique et poignante exprime le rêve de Zola " d'un seul peuple fraternel faisant du monde une cité unique de paix, de vérité et de justice".
Fils de Gervaise Macquart et de son amant Lantier, le jeune Etienne Lantier s'est fait renvoyer de son travail pour avoir donné une gifle à son employeur. Chômeur, il part, en pleine crise industrielle, dans le Nord de la France, à la recherche d’un nouveau emploi. Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail effroyables (pour écrire ce roman, Emile Zola s'est beaucoup documenté sur le travail dans les mines)
Il fait la connaissance d'une famille de mineurs, les Maheu et tombe amoureux de la jeune Catherine. Mais celle-ci est la maîtresse d'un ouvrier brutal, Chaval, et bien qu'elle ne soit pas insensible à Etienne, elle a à son égard une attitude étrange.
Etienne s'intègre vite parmi le peuple des mineurs. Il est révolté par l'injustice qu'il découvre et par les conditions de vie des mineurs. Il propage assez rapidement des idées révolutionnaires.
Lorsque la Compagnie des Mines , arguant de la crise économique, décrète une baisse de salaire, il pousse les mineurs à la grève. Il parvient à vaincre leur résignation et à leur faire partager son rêve d'une société plus juste.
Lorsque la grève éclate, la Compagnie des Mines adopte une position très dure et refuse toute négociation. Affamés par des semaines de lutte, le mouvement se durcit. Les grévistes cassent les machines et les installations minières et agressent les bourgeois. Les soldats viennent rétablir l'ordre mais la grève continue. De nombreux mineurs défient les soldats qui tirent sur les manifestants : Maheu, l'ouvrier chez qui Lantier avait pris pension, est tué.
La grève est un échec. Les mineurs se résignent à reprendre le travail. C'est alors que Souvarine, un ouvrier anarchiste , sabote la mine. De nombreux mineurs meurent. Etienne, Catherine et Chaval, son amant, sont bloqués dans la mine. Chaval provoque Etienne qui le tue. Il devient enfin l’amant de Catherine qui meurt dans ses bras avant l'arrivée des sauveteurs. Etienne sort vivant de cet enfer, et part pour Paris.
Même si la révolte a échouée, Etienne est plein d’espoirs dans la lutte que les ouvriers mènent contre les inégalités. Un jour, il en est persuadé , ils vaincront l'injustice....Mots-clés : thème littéraire 19ème siècle exploitation minière exploitation minière souterraine industrie extractive économie de marché système économique employeur classe sociale hiérarchie sociale mouvement ouvrier classe populaire ouvrier prolétariat syndicat condition sociale condition féminine droits de l'enfant pauvreté inégalité sociale origine sociale système social discrimination sociale conflit du travail conflit social droit de grève droits sociaux lutte des classes relation homme-femme bourgeoisie région Nord- Pas- de- Calais anarchisme idéologie politique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.espacefrancais.com/topics/germinal.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12500 R ZOL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible 12501 R ZOL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Les Places et les chances: Repenser la justice sociale Auteurs : François Dubet, Auteur Editeur : Éd. du Seuil, 2010 Collection : SEUIL Importance : 122 p. Langues : Français Résumé : Il y a deux manières de concevoir la justice sociale. La première, l’égalité des places, vise à réduire les inégalités entre les différentes positions sociales. La seconde, l’égalité des chances, cherche à permettre aux individus d’atteindre les meilleures positions au terme d’une compétition équitable. Contre l’air du temps, François Dubet plaide en faveur du modèle des places : celui-ci combat résolument les inégalités et accroît la cohésion de la société.
Aujourd’hui, en France comme ailleurs, cette dernière conception tend à devenir hégémonique. Mais, si elle répond au désir d’autonomie des individus, l’égalité des chances s’accommode de l’existence et même du développement des inégalités. En montrant comment on peut promouvoir la justice sociale sans tout sacrifier à la compétition méritocratique, ce brillant essai œuvre à la reconstruction intellectuelle de la gauche.
Entretien vidéo avec François Dubet.
http://www.repid.com/Les-places-et-les-chances.htmlMots-clés : inégalité sociale France 21ème siècle mutation sociale classe sociale classe populaire élite égalité des chances en éducation origine sociale condition sociale discrimination sociale relation sociale représentation sociale enfant : famille éducation justice : philosophie condition féminine échec scolaire représentation mentale perception de soi perception d'autrui Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.repid.com/Les-places-et-les-chances.html Les Places et les chances : Repenser la justice sociale [texte imprimé] / François Dubet, Auteur . - [S.l.] : Éd. du Seuil, 2010 . - 122 p.. - (SEUIL) .
ISBN : 978-2-02-101473-0 : 11.50
Langues : Français
Résumé : Il y a deux manières de concevoir la justice sociale. La première, l’égalité des places, vise à réduire les inégalités entre les différentes positions sociales. La seconde, l’égalité des chances, cherche à permettre aux individus d’atteindre les meilleures positions au terme d’une compétition équitable. Contre l’air du temps, François Dubet plaide en faveur du modèle des places : celui-ci combat résolument les inégalités et accroît la cohésion de la société.
Aujourd’hui, en France comme ailleurs, cette dernière conception tend à devenir hégémonique. Mais, si elle répond au désir d’autonomie des individus, l’égalité des chances s’accommode de l’existence et même du développement des inégalités. En montrant comment on peut promouvoir la justice sociale sans tout sacrifier à la compétition méritocratique, ce brillant essai œuvre à la reconstruction intellectuelle de la gauche.
Entretien vidéo avec François Dubet.
http://www.repid.com/Les-places-et-les-chances.htmlMots-clés : inégalité sociale France 21ème siècle mutation sociale classe sociale classe populaire élite égalité des chances en éducation origine sociale condition sociale discrimination sociale relation sociale représentation sociale enfant : famille éducation justice : philosophie condition féminine échec scolaire représentation mentale perception de soi perception d'autrui Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.repid.com/Les-places-et-les-chances.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42224 305.5 DUB Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible
Titre : Mildred Pierce Auteurs : James M. Cain Editeur : Gallimard, 2007 Collection : L'imaginaire Importance : 406 p. Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : Une réédition récente d’un roman "non-noir" de James M Cain, le brillantissime auteur, entre autres, de deux grands classiques : le facteur sonne toujours deux fois et Assurance sur la mort, ouvrages jouissant d’une grande notoriété, en particulier grâce à leurs différentes adaptations cinématographiques. Ici, avec Mildred Pierce , Cain aborde un autre genre : le portrait de personnage...mais pas seulement.
Californie, 1931, en plein coeur de la Grande Dépression. Mildred vit entouré de Bert, son mari, et de ses deux petites filles.....Elle n’a jamais vraiment travaillé malgré ses 28 ans. Une situation somme toute banale pour une femme blanche de la classe moyenne à cette époque. Cependant, Mildred ne supporte plus une situation qui la rabaisse : Bert entretient une liaison avec une veuve, ne travaille pas et contribue fort peu aux dépenses de la famille. Il a, en effet, perdu gros suite au krach de Wall Street et, ayant été élevé comme un rentier, il n’envisage pas de prendre un emploi. Cela est tout simplement contraire à sa perception des choses. Seule Mildred se débat pour faire face et assurer de maigres revenus grâce à un des seuls talents qu’elle possède : la cuisine. En effet, elle confectionne chez elle des "pies" sur commande et les livre à ses clientes, qui sont de la même classe sociale qu’elle. Lors d’une dispute froide, Mildred somme Bert de quitter le domicile et d’aller vivre sa vie. Dès lors, la jeune femme va devoir se battre, se démener, tout faire pour garder la tête hors de l’eau et, surtout, satisfaire les goûts de luxe de Veda, sa fille aînée de 11 ans, qui manifeste déjà un caractère dur et sans concession. Muée par une extrême bonne volonté mais peu consciente des difficultés qui attendent une femme seule, sans formation professionnelle spécifique, Mildred va alors arpenter les agences de placement, parcourir les annonces de journaux, essuyer des humiliations jusqu’à ce que le hasard lui donne un premier coup de pouce : elle prend un emploi de serveuse dans une petite cafétéria d’Hollywood, sympathise avec Ida, une serveuse expérimentée et rencontre Monty, un séducteur, en apparence membre de la bonne société. Travaillant dur, se tuant littéralement à la tâche, Mildred doit en plus affronter une terrible tragédie personnelle mais aussi cacher à Véda la vérité sur le travail qu’elle exerce : l’enfant percevrait sa mère comme un être inférieur, une vulgaire domestique qui ne lui inspirerait que du mépris tant la honte serait partagée par toute la famille...Et c’est exactement ce qui se passe lorsque Véda découvre le secret de sa mère.
Mildred parvient, néanmoins, à regagner l’estime d’une fille qu’elle aime aveuglément -et c’est vraiment un euphémisme tant les sentiments de la mère pour l’enfant dépassent les limites du concevable- lorsqu’elle décide de monter sa propre affaire, bénéficiant de soutiens divers, matériels, financiers et humains. Les heures sombres semblent loin : le restaurant prospère, d’autres établissements ouvrent, Monty semble amoureux de Mildred, Véda s’épanouit tant sa mère ne lui refuse rien et lui permet d’approcher la Haute-Société californienne. Mais, on perçoit vite que cet accomplissement de l’ "american dream" ressemble plus à un colosse aux pieds d’argile qu’à un édifice bâti pour durer et traverser les grandes dépressions de l’existence...
James M Cain a composé un magnifique roman, certes très classique dans son écriture qui peut paraître, à certains moments, datée (la traduction de 1950 n’a pas été revue), mais qui prête à des niveaux de lecture multiples. (...)
http://www.bibliosurf.com/Mildred-Pierce,13643Catégories : Inégalité sociale Mots-clés : thème littéraire 1919-1939 condition féminine travail des femmes relation mère-enfant couple : famille enfant : famille ambition origine sociale statut social mutation sociale États-Unis Condition sociale Comportement social Comportement sexuel Richesse Inégalité sociale Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.cinemas-utopia.org/bordeaux/index.php?id=882&mode=film Mildred Pierce [texte imprimé] / James M. Cain . - [S.l.] : Gallimard, 2007 . - 406 p.. - (L'imaginaire) .
ISBN : 978-2-07-078570-4 : 10,00
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : Une réédition récente d’un roman "non-noir" de James M Cain, le brillantissime auteur, entre autres, de deux grands classiques : le facteur sonne toujours deux fois et Assurance sur la mort, ouvrages jouissant d’une grande notoriété, en particulier grâce à leurs différentes adaptations cinématographiques. Ici, avec Mildred Pierce , Cain aborde un autre genre : le portrait de personnage...mais pas seulement.
Californie, 1931, en plein coeur de la Grande Dépression. Mildred vit entouré de Bert, son mari, et de ses deux petites filles.....Elle n’a jamais vraiment travaillé malgré ses 28 ans. Une situation somme toute banale pour une femme blanche de la classe moyenne à cette époque. Cependant, Mildred ne supporte plus une situation qui la rabaisse : Bert entretient une liaison avec une veuve, ne travaille pas et contribue fort peu aux dépenses de la famille. Il a, en effet, perdu gros suite au krach de Wall Street et, ayant été élevé comme un rentier, il n’envisage pas de prendre un emploi. Cela est tout simplement contraire à sa perception des choses. Seule Mildred se débat pour faire face et assurer de maigres revenus grâce à un des seuls talents qu’elle possède : la cuisine. En effet, elle confectionne chez elle des "pies" sur commande et les livre à ses clientes, qui sont de la même classe sociale qu’elle. Lors d’une dispute froide, Mildred somme Bert de quitter le domicile et d’aller vivre sa vie. Dès lors, la jeune femme va devoir se battre, se démener, tout faire pour garder la tête hors de l’eau et, surtout, satisfaire les goûts de luxe de Veda, sa fille aînée de 11 ans, qui manifeste déjà un caractère dur et sans concession. Muée par une extrême bonne volonté mais peu consciente des difficultés qui attendent une femme seule, sans formation professionnelle spécifique, Mildred va alors arpenter les agences de placement, parcourir les annonces de journaux, essuyer des humiliations jusqu’à ce que le hasard lui donne un premier coup de pouce : elle prend un emploi de serveuse dans une petite cafétéria d’Hollywood, sympathise avec Ida, une serveuse expérimentée et rencontre Monty, un séducteur, en apparence membre de la bonne société. Travaillant dur, se tuant littéralement à la tâche, Mildred doit en plus affronter une terrible tragédie personnelle mais aussi cacher à Véda la vérité sur le travail qu’elle exerce : l’enfant percevrait sa mère comme un être inférieur, une vulgaire domestique qui ne lui inspirerait que du mépris tant la honte serait partagée par toute la famille...Et c’est exactement ce qui se passe lorsque Véda découvre le secret de sa mère.
Mildred parvient, néanmoins, à regagner l’estime d’une fille qu’elle aime aveuglément -et c’est vraiment un euphémisme tant les sentiments de la mère pour l’enfant dépassent les limites du concevable- lorsqu’elle décide de monter sa propre affaire, bénéficiant de soutiens divers, matériels, financiers et humains. Les heures sombres semblent loin : le restaurant prospère, d’autres établissements ouvrent, Monty semble amoureux de Mildred, Véda s’épanouit tant sa mère ne lui refuse rien et lui permet d’approcher la Haute-Société californienne. Mais, on perçoit vite que cet accomplissement de l’ "american dream" ressemble plus à un colosse aux pieds d’argile qu’à un édifice bâti pour durer et traverser les grandes dépressions de l’existence...
James M Cain a composé un magnifique roman, certes très classique dans son écriture qui peut paraître, à certains moments, datée (la traduction de 1950 n’a pas été revue), mais qui prête à des niveaux de lecture multiples. (...)
http://www.bibliosurf.com/Mildred-Pierce,13643Catégories : Inégalité sociale Mots-clés : thème littéraire 1919-1939 condition féminine travail des femmes relation mère-enfant couple : famille enfant : famille ambition origine sociale statut social mutation sociale États-Unis Condition sociale Comportement social Comportement sexuel Richesse Inégalité sociale Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.cinemas-utopia.org/bordeaux/index.php?id=882&mode=film Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 38460 R CAI Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : L'Effet sablier Auteurs : Jean-Marc Vittori, Auteur Editeur : Flammarion, 2010 Collection : Champs actuel Importance : 128 p. Langues : Français Résumé : Le chroniqueur de radio et éditorialiste aux«Echos»prédit la disparition des classes moyennes et une nouvelle répartition de la société française avec le remplacement de la traditionnelle pyramide sociale traditionnelle par un sablier.
"Les classes moyennes ont peur. Peur de perdre leur emploi, avant et plus encore dans la crise.
Peur de voir leurs revenus laminés par des hausses de prix et d'impôts, alors que les
augmentations de salaire se raréfient. Peur de chuter, de ne plus avoir de statut dans la société.
Et les classes moyennes ont raison d'avoir peur. Car dans notre société, il n'y a plus rien de
« moyen ». Plus de produits moyens, plus d'emplois moyens. Il ne reste que des gros moyens
et des petits moyens. Tout ce qui ne grossit pas est condamné à maigrir. Il n'y a plus de
stabilité. Il n'y a plus d'embellie assurée, plus d'amélioration automatique, plus d'escalier
mécanique qui entraîne toute la société vers le haut. La révolution industrielle du XXIe
siècle, celle des technologies de l'information, favorise la main d'oeuvre qualifiée : ceux qui
savent se servir d'un ordinateur et manier les flux d'information. Du coup, le peloton social
s'étire. La société ressemblait à une pyramide, où tous les échelons intermédiaires
constituaient les classes moyennes. La révolution de l'information écrase le milieu ! Les uns
sont propulsés vers le haut. Les autres descendent. À la pyramide succède un sablier. Cette
révolution technologique chamboule toute la société. Dans l'emploi, mais aussi dans la
production (le « milieu de gamme » disparaît inexorablement), dans la consommation (nous
arbitrons de plus en plus entre des produits de base et des produits de luxe), dans la société
(écrasement des « corps intermédiaires »)."
ses.ens-lyon.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?..Mots-clés : France classe sociale inégalité sociale classe moyenne hiérarchie sociale lutte des classes mal de vivre peur mutation sociale vie sociale condition sociale phénomène de société représentation sociale représentation mentale origine sociale élite révolution industrielle équipement informatique mondialisation consommation solidarité protection sociale démocratie Index. décimale : 305 Groupes sociaux Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.edition-grasset.fr/chapitres/ch_vittori.htm L'Effet sablier [texte imprimé] / Jean-Marc Vittori, Auteur . - [S.l.] : Flammarion, 2010 . - 128 p.. - (Champs actuel) .
ISBN : 978-2-08-124033-9 : 5.00
Langues : Français
Résumé : Le chroniqueur de radio et éditorialiste aux«Echos»prédit la disparition des classes moyennes et une nouvelle répartition de la société française avec le remplacement de la traditionnelle pyramide sociale traditionnelle par un sablier.
"Les classes moyennes ont peur. Peur de perdre leur emploi, avant et plus encore dans la crise.
Peur de voir leurs revenus laminés par des hausses de prix et d'impôts, alors que les
augmentations de salaire se raréfient. Peur de chuter, de ne plus avoir de statut dans la société.
Et les classes moyennes ont raison d'avoir peur. Car dans notre société, il n'y a plus rien de
« moyen ». Plus de produits moyens, plus d'emplois moyens. Il ne reste que des gros moyens
et des petits moyens. Tout ce qui ne grossit pas est condamné à maigrir. Il n'y a plus de
stabilité. Il n'y a plus d'embellie assurée, plus d'amélioration automatique, plus d'escalier
mécanique qui entraîne toute la société vers le haut. La révolution industrielle du XXIe
siècle, celle des technologies de l'information, favorise la main d'oeuvre qualifiée : ceux qui
savent se servir d'un ordinateur et manier les flux d'information. Du coup, le peloton social
s'étire. La société ressemblait à une pyramide, où tous les échelons intermédiaires
constituaient les classes moyennes. La révolution de l'information écrase le milieu ! Les uns
sont propulsés vers le haut. Les autres descendent. À la pyramide succède un sablier. Cette
révolution technologique chamboule toute la société. Dans l'emploi, mais aussi dans la
production (le « milieu de gamme » disparaît inexorablement), dans la consommation (nous
arbitrons de plus en plus entre des produits de base et des produits de luxe), dans la société
(écrasement des « corps intermédiaires »)."
ses.ens-lyon.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?..Mots-clés : France classe sociale inégalité sociale classe moyenne hiérarchie sociale lutte des classes mal de vivre peur mutation sociale vie sociale condition sociale phénomène de société représentation sociale représentation mentale origine sociale élite révolution industrielle équipement informatique mondialisation consommation solidarité protection sociale démocratie Index. décimale : 305 Groupes sociaux Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.edition-grasset.fr/chapitres/ch_vittori.htm Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42220 305.5 VIT Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible La misère du monde / Pierre Bourdieu / Éd. du Seuil (1998)
Titre : La misère du monde Auteurs : Pierre Bourdieu Editeur : Éd. du Seuil, 1998 Importance : 1460 p. Langues : Français Résumé : Pour comprendre les conditions d'apparition des formes contemporaines de la misère sociale, la Cité, l'école, la famille, le monde ouvrier ... Mots-clés : France 1980- témoignage pauvreté exclusion sociale condition sociale Index. décimale : 305 Groupes sociaux Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire La misère du monde [texte imprimé] / Pierre Bourdieu . - [S.l.] : Éd. du Seuil, 1998 . - 1460 p.
ISBN : 978-2-02-033416-7
Langues : Français
Résumé : Pour comprendre les conditions d'apparition des formes contemporaines de la misère sociale, la Cité, l'école, la famille, le monde ouvrier ... Mots-clés : France 1980- témoignage pauvreté exclusion sociale condition sociale Index. décimale : 305 Groupes sociaux Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 36383 305.568 BOU Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible L'amour de l'art / Pierre Bourdieu / Éd. de minuit (1971)
PermalinkL'Assommoir / Emile Zola / Paris : LGF (2009)
PermalinkLa couleur des sentiments / Kathryn Stockett / J. Chambon (2010)
PermalinkPermalinkPermalinkLe second souffle suivi du Diable gardien / Philippe Pozzo di Borgo / Bayard (2011)
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