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La cause des mères. 5/7, Florence et le piège de la culpabilité / Marie Desplechin / Le Monde Editions (2014) in Le Monde (Paris. 1944), 21635 Culture (09/08/2014)
[article]
Titre : La cause des mères. 5/7, Florence et le piège de la culpabilité Auteurs : Marie Desplechin, Auteur Editeur : Le Monde Editions, 2014 Article en page(s) : p.7 Langues : Français
in Le Monde (Paris. 1944) > 21635 Culture (09/08/2014)Résumé : Portrait de Florence et de sa fille, en difficulté scolaire en mathématiques dès l'école primaire : les thérapeutes rencontrés et les dispositifs mis en place (orthophonistes, psychologues, enseignants, proviseurs, tiers-temps thérapeutique pour les examens), les échecs, puis la découverte du métier de vendeuse, déclencheur en calcul ; la culpabilité de la mère face aux problèmes de sa fille. Mots-clés : relation mère-enfant trouble de l'apprentissage culpabilité Type : texte imprimé ; documentaire Genre : article de périodique [article] La cause des mères. 5/7, Florence et le piège de la culpabilité [texte imprimé] / Marie Desplechin, Auteur . - [S.l.] : Le Monde Editions, 2014 . - p.7.
Langues : Français
in Le Monde (Paris. 1944) > 21635 Culture (09/08/2014)
Résumé : Portrait de Florence et de sa fille, en difficulté scolaire en mathématiques dès l'école primaire : les thérapeutes rencontrés et les dispositifs mis en place (orthophonistes, psychologues, enseignants, proviseurs, tiers-temps thérapeutique pour les examens), les échecs, puis la découverte du métier de vendeuse, déclencheur en calcul ; la culpabilité de la mère face aux problèmes de sa fille. Mots-clés : relation mère-enfant trouble de l'apprentissage culpabilité Type : texte imprimé ; documentaire Genre : article de périodique Dostoïevski et la culpabilité / Michel Eltchaninoff / Philo éditions (2013) in Philosophie magazine, 075 (12/2013)
[article]
Titre : Dostoïevski et la culpabilité Auteurs : Michel Eltchaninoff, Auteur ; Martin Duru, Auteur ; Frédéric Gros Editeur : Philo éditions, 2013 Article en page(s) : p.76-81,encart p.1-15 Langues : Français
in Philosophie magazine > 075 (12/2013)Résumé : Présentation de l'écrivain russe Dostoïevski dont l'oeuvre est traversée par la question de la culpabilité. Comparaison d'autres conceptions de la culpabilité, de l'"Epître aux Romains" de Paul à la pensée de Paul Ricoeur. Encart : extrait et présentation du chapitre central des "Frères Karamazov", "Le Grand Inquisiteur", où Dostoïevski propose une légende racontant le retour du Christ, méditation sur le sens du christianisme et de la liberté humaine. Mots-clés : Dostoïevski, Fiodor : 1821-1881 culpabilité Type : texte imprimé ; documentaire Genre : article de périodique [article] Dostoïevski et la culpabilité [texte imprimé] / Michel Eltchaninoff, Auteur ; Martin Duru, Auteur ; Frédéric Gros . - [S.l.] : Philo éditions, 2013 . - p.76-81,encart p.1-15.
Langues : Français
in Philosophie magazine > 075 (12/2013)
Résumé : Présentation de l'écrivain russe Dostoïevski dont l'oeuvre est traversée par la question de la culpabilité. Comparaison d'autres conceptions de la culpabilité, de l'"Epître aux Romains" de Paul à la pensée de Paul Ricoeur. Encart : extrait et présentation du chapitre central des "Frères Karamazov", "Le Grand Inquisiteur", où Dostoïevski propose une légende racontant le retour du Christ, méditation sur le sens du christianisme et de la liberté humaine. Mots-clés : Dostoïevski, Fiodor : 1821-1881 culpabilité Type : texte imprimé ; documentaire Genre : article de périodique Adolphe - Le cahier rouge - Cécile / Benjamin Constant / Gallimard (1989)
Titre : Adolphe - Le cahier rouge - Cécile Auteurs : Benjamin Constant (1767-1830), Auteur Editeur : Gallimard, 1989 Collection : Folio Importance : 310 p. Langues : Français Résumé : 1) Adolphe, le héros du roman, est un jeune bourgeois qui ne se sent pas très à l'aise avec la société, qu'il juge stupide et insipide. Chez le comte de P***, il tombe amoureux d'Ellénore, une Polonaise de dix ans son aînée et maîtresse fidèle du comte. Au début, elle ne l'approche pas, de peur de perdre la position honorable qu'elle a durement gagnée, mais charmée par les tendres attentions du jeune homme, elle finit par accepter une liaison. Leur relation est pourtant pleine de contraintes : ils doivent se voir discrètement, faire attention au comte qui se doute bien des intentions de sa maîtresse, faire patienter le père d'Adolphe qui lui demande de revenir auprès de lui dans les six mois… Cette pression constante créé des tensions entre les amants. Ellénore finit par quitter la protection du comte tandis qu'Adolphe part rejoindre son père. Elle le rejoint après quelques mois et ils vont s'établir à Caden, « petite ville de Bohême ». Le père subvient à leurs besoins, tout en désapprouvant l'attitude de son fils, qui gâche selon lui sa jeunesse et son talent. Une année passe. Le père d'Ellénore meurt et les amants partent tout deux en Pologne pour toucher l'héritage. La vie là-bas ennuie profondément Adolphe, qui finit par se lasser du pays et découvre que son amour pour Ellénore a passé. Il aimerait partir, mais hésite et reviens toujours auprès d'elle, bien que cette situation le rende extrêmement malheureux. Il confie à un ami sa résolution de partir, mais celui-ci fait lire à Ellénore la lettre qui annonce son départ définitif. Elle tombe gravement malade. Déchiré par un grand sentiment de culpabilité, il reste auprès d'elle jusqu'à sa mort. Le livre se termine par la lecture d'une des lettres d'Ellénore, qui lui affirme que c'est son amour et la douleur d'être ignorée qui l'ont tuée.
2)Le Cahier rouge : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1996_num_48_1_1258
Découvert en 1907, ce "Cahier rouge" est, en vérité, l'autobiographie inachevée de Benjamin Constant. Avec "Adolphe", et "Cécile", ce texte - dont l'écriture sublime fait un chef-d'oeuvre - est devenu l'un des grands classiques de la littérature d'introspection.
Un art du "mentir-vrai" en racontant sa vie? Une éducation sentimentale et morale? Jamais, en tout cas, Benjamin ne fut plus jeune et plus inconstant qu'en ces pages merveilleuses...
3) Cécile : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/benjamin-constant/Mots-clés : thème littéraire relation homme-femme comportement social vie sociale relation sociale amour condition féminine développement de la personnalité développement affectif culpabilité responsabilité conflit psychique bourgeoisie contestation norme sociale autobiographie Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Adolphe - Le cahier rouge - Cécile [texte imprimé] / Benjamin Constant (1767-1830), Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1989 . - 310 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-036514-2 : 6.00
Langues : Français
Résumé : 1) Adolphe, le héros du roman, est un jeune bourgeois qui ne se sent pas très à l'aise avec la société, qu'il juge stupide et insipide. Chez le comte de P***, il tombe amoureux d'Ellénore, une Polonaise de dix ans son aînée et maîtresse fidèle du comte. Au début, elle ne l'approche pas, de peur de perdre la position honorable qu'elle a durement gagnée, mais charmée par les tendres attentions du jeune homme, elle finit par accepter une liaison. Leur relation est pourtant pleine de contraintes : ils doivent se voir discrètement, faire attention au comte qui se doute bien des intentions de sa maîtresse, faire patienter le père d'Adolphe qui lui demande de revenir auprès de lui dans les six mois… Cette pression constante créé des tensions entre les amants. Ellénore finit par quitter la protection du comte tandis qu'Adolphe part rejoindre son père. Elle le rejoint après quelques mois et ils vont s'établir à Caden, « petite ville de Bohême ». Le père subvient à leurs besoins, tout en désapprouvant l'attitude de son fils, qui gâche selon lui sa jeunesse et son talent. Une année passe. Le père d'Ellénore meurt et les amants partent tout deux en Pologne pour toucher l'héritage. La vie là-bas ennuie profondément Adolphe, qui finit par se lasser du pays et découvre que son amour pour Ellénore a passé. Il aimerait partir, mais hésite et reviens toujours auprès d'elle, bien que cette situation le rende extrêmement malheureux. Il confie à un ami sa résolution de partir, mais celui-ci fait lire à Ellénore la lettre qui annonce son départ définitif. Elle tombe gravement malade. Déchiré par un grand sentiment de culpabilité, il reste auprès d'elle jusqu'à sa mort. Le livre se termine par la lecture d'une des lettres d'Ellénore, qui lui affirme que c'est son amour et la douleur d'être ignorée qui l'ont tuée.
2)Le Cahier rouge : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1996_num_48_1_1258
Découvert en 1907, ce "Cahier rouge" est, en vérité, l'autobiographie inachevée de Benjamin Constant. Avec "Adolphe", et "Cécile", ce texte - dont l'écriture sublime fait un chef-d'oeuvre - est devenu l'un des grands classiques de la littérature d'introspection.
Un art du "mentir-vrai" en racontant sa vie? Une éducation sentimentale et morale? Jamais, en tout cas, Benjamin ne fut plus jeune et plus inconstant qu'en ces pages merveilleuses...
3) Cécile : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/benjamin-constant/Mots-clés : thème littéraire relation homme-femme comportement social vie sociale relation sociale amour condition féminine développement de la personnalité développement affectif culpabilité responsabilité conflit psychique bourgeoisie contestation norme sociale autobiographie Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4054 R CON Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Le Choix de Sophie Auteurs : William Styron, Auteur Editeur : Gallimard, 1981 Collection : Folio num. 2740 Importance : 919 p. Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : Le Choix de Sophie a pour narrateur Stingo, un jeune écrivain aspirant à finir son premier roman. Alors que Stingo travaille sur son roman, il est attiré lentement dans la vie des amoureux Nathan Landau et Sophie Zawistowska, les habitants de l'appartement au-dessus du sien. Sophie est une belle polonaise, rescapée des camps de concentration de la deuxième guerre mondiale et Nathan semble être un génie. Bien que Nathan affirme être diplômé d'Harvard et biologiste cellulaire, il apparaîtra plus tard que tout cela est invention. Il est en réalité schizophrène paranoïaque, même si personne n'en a conscience, y compris Sophie et Stingo. Cela implique que, s'il est, la plupart du temps, subtil et charmeur, il lui arrive parfois d'être jaloux, violent et désespéré. Alors que l'histoire progresse, Sophie raconte à Stingo son passé, ce qu'elle n'avait jamais fait avec personne. Elle parle de son père antisémite, de son refus de l'aider à répandre ses idées, de son arrestation pour avoir fait du marché noir dans le but de se procurer un jambon pour sa mère qui se trouvait sur son lit de mort, et surtout de sa brève période de dactylo dans la propre maison de Rudolf Höß, le commandant d'Auschwitz. Elle relate ses tentatives pour séduire Höß afin de permettre que son fils blond, aux yeux-bleus, qui parle allemand, puisse quitter le camp et entrer dans le programme Lebensborn, dans lequel il serait élevé comme un enfant allemand. Elle échoue et ne connaîtra jamais le destin de son fils. Alors que les crises de Nathan deviennent de plus en plus violentes et outrageantes, Stingo reçoit une mise en garde du frère de ce dernier. Il apprend que Nathan est schizophrène et qu'il n'est pas biologiste cellulaire bien que "il aurait pu être fantastiquement brillant dans tout ce qu'il aurait pu entreprendre ... Mais il n'a jamais l'esprit en ordre." Les illusions de Nathan lui ont laissé croire que Stingo avait une aventure avec Sophie, et il menace de les tuer tous les deux. Sophie et Stingo s'enfuient. Stingo a l'intention de rejoindre la ferme de son père en Virginie, mais le voyage n'ira pas au-delà de Washington. Là, Sophie révèle son plus profond et son plus sombre secret : le jour où elle est arrivée à Auschwitz, un docteur sadique lui a fait choisir entre ses deux enfants celui qui serait tué immédiatement par gazage et celui qui pourrait continuer à vivre, bien que ce soit dans le camp. De ses deux enfants, Sophie choisit de sacrifier sa fille de 7 ans, Eva, dans une décision déchirante qui la laisse dans le deuil et l'accable d'une culpabilité qu'elle n'a, ou plutôt ne peut pas surmonter. Pendant cette journée dans la ferme de son père, Stingo propose à Sophie de se marier. Elle refuse mais il la persuade de continuer à y réfléchir. Après avoir partagé une simple nuit ensemble, avant qu'ils atteignent la ferme, Sophie disparaît, laissant seulement une note disant qu'elle devait retrouver Nathan. En rentrant à Brooklyn, Stingo découvre que Sophie et Nathan se sont suicidés ensemble dans leur chambre en avalant du cyanure de sodium. Si Stingo est dévasté, la dernière phrase du roman suggère peut-être une once d'optimisme :« Ce n'était pas le jour du jugement mais seulement le matin. Un matin : Excellent et clair. » Mots-clés : Thème littéraire Amour Passion Etats-Unis Folie Psychose Schizophrénie paranoïaque Paranoïa Trouble du comportement Maladie mentale Camp de concentration Déportation Antisémitisme Relation mère-enfant Relation parent-enfant Culpabilité Mal Bien Relation homme-femme Auschwitz Sadisme Suicide Niveau : Lycée Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Choix_de_Sophie_(roman) Le Choix de Sophie [texte imprimé] / William Styron, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1981 . - 919 p.. - (Folio; 2740) .
10.00
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : Le Choix de Sophie a pour narrateur Stingo, un jeune écrivain aspirant à finir son premier roman. Alors que Stingo travaille sur son roman, il est attiré lentement dans la vie des amoureux Nathan Landau et Sophie Zawistowska, les habitants de l'appartement au-dessus du sien. Sophie est une belle polonaise, rescapée des camps de concentration de la deuxième guerre mondiale et Nathan semble être un génie. Bien que Nathan affirme être diplômé d'Harvard et biologiste cellulaire, il apparaîtra plus tard que tout cela est invention. Il est en réalité schizophrène paranoïaque, même si personne n'en a conscience, y compris Sophie et Stingo. Cela implique que, s'il est, la plupart du temps, subtil et charmeur, il lui arrive parfois d'être jaloux, violent et désespéré. Alors que l'histoire progresse, Sophie raconte à Stingo son passé, ce qu'elle n'avait jamais fait avec personne. Elle parle de son père antisémite, de son refus de l'aider à répandre ses idées, de son arrestation pour avoir fait du marché noir dans le but de se procurer un jambon pour sa mère qui se trouvait sur son lit de mort, et surtout de sa brève période de dactylo dans la propre maison de Rudolf Höß, le commandant d'Auschwitz. Elle relate ses tentatives pour séduire Höß afin de permettre que son fils blond, aux yeux-bleus, qui parle allemand, puisse quitter le camp et entrer dans le programme Lebensborn, dans lequel il serait élevé comme un enfant allemand. Elle échoue et ne connaîtra jamais le destin de son fils. Alors que les crises de Nathan deviennent de plus en plus violentes et outrageantes, Stingo reçoit une mise en garde du frère de ce dernier. Il apprend que Nathan est schizophrène et qu'il n'est pas biologiste cellulaire bien que "il aurait pu être fantastiquement brillant dans tout ce qu'il aurait pu entreprendre ... Mais il n'a jamais l'esprit en ordre." Les illusions de Nathan lui ont laissé croire que Stingo avait une aventure avec Sophie, et il menace de les tuer tous les deux. Sophie et Stingo s'enfuient. Stingo a l'intention de rejoindre la ferme de son père en Virginie, mais le voyage n'ira pas au-delà de Washington. Là, Sophie révèle son plus profond et son plus sombre secret : le jour où elle est arrivée à Auschwitz, un docteur sadique lui a fait choisir entre ses deux enfants celui qui serait tué immédiatement par gazage et celui qui pourrait continuer à vivre, bien que ce soit dans le camp. De ses deux enfants, Sophie choisit de sacrifier sa fille de 7 ans, Eva, dans une décision déchirante qui la laisse dans le deuil et l'accable d'une culpabilité qu'elle n'a, ou plutôt ne peut pas surmonter. Pendant cette journée dans la ferme de son père, Stingo propose à Sophie de se marier. Elle refuse mais il la persuade de continuer à y réfléchir. Après avoir partagé une simple nuit ensemble, avant qu'ils atteignent la ferme, Sophie disparaît, laissant seulement une note disant qu'elle devait retrouver Nathan. En rentrant à Brooklyn, Stingo découvre que Sophie et Nathan se sont suicidés ensemble dans leur chambre en avalant du cyanure de sodium. Si Stingo est dévasté, la dernière phrase du roman suggère peut-être une once d'optimisme :« Ce n'était pas le jour du jugement mais seulement le matin. Un matin : Excellent et clair. » Mots-clés : Thème littéraire Amour Passion Etats-Unis Folie Psychose Schizophrénie paranoïaque Paranoïa Trouble du comportement Maladie mentale Camp de concentration Déportation Antisémitisme Relation mère-enfant Relation parent-enfant Culpabilité Mal Bien Relation homme-femme Auschwitz Sadisme Suicide Niveau : Lycée Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Choix_de_Sophie_(roman) Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11075 R STY Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Cosmétique de l'ennemi / Amélie Nothomb / Albin Michel (2001)
Titre : Cosmétique de l'ennemi Auteurs : Amélie Nothomb, Auteur Editeur : Albin Michel, 2001 Importance : 138 P. Langues : Français Résumé : C'est à une conversation que nous assistons, échangée entre deux hommes dans la salle d'attente d'un aéroport. Jérôme Angust y est abordé par un inconnu, Textor Texel. Ce dernier, malgré la fraîcheur qui l'accueille, s'incruste auprès du premier et commence à lui raconter sa vie : son meurtre par procuration d'un camarade de classe, jadis, son goût de la nourriture pour chats, son viol d'une jeune femme dans un mausolée du cimetière Montmartre puis son assassinat, des années plus tard. Aucune confidence ne sera épargnée à notre homme d'affaires, ni les faits ni leurs motifs, sans oublier les démêlés intérieurs de son raseur avec la foi religieuse, puis cette maladie de la culpabilité qui semble préexister chez lui à toutes les monstruosités dont il dresse le catalogue, jusqu'à son interprétation du jansénisme…Sur 140 pages, Amélie nous restitue cette conversation ininterrompue, les joutes qui surviennent entre les deux hommes, les protestations révoltées de la victime (Angust) et le plaisir quasi extatique de l'ennemi (Texel). La morale outragée contre l'immoralité la plus morbide. Et le plus dérangeant, dans tout ça, c'est la façon tout aussi convaincante qu'a chacun de défendre son idée du bonheur. Le droit chemin pour l'un et la marge pour l'autre. Chacun y va à l'occasion de ses formules apprises, de ses citations hautement philosophiques, n'hésite pas à citer Lu Xun, Pascal ou Spinoza, si besoin... Voici maintenant le coup de théâtre : nous apprenons au détour d'une réplique que nos deux rhéteurs de bistrot ne sont en réalité qu'une seule et unique personne ! Que cet échange de joyeusetés n'était en fait que le débat d'un quidam avec sa propre conscience. Catégories : Comportement sexuel
Comportement socialMots-clés : thème littéraire morale culpabilité crime meurtre perversion conscience Thème de fiction : policier Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Cosmétique de l'ennemi [texte imprimé] / Amélie Nothomb, Auteur . - [S.l.] : Albin Michel, 2001 . - 138 P.
ISBN : 978-2-226-12657-3 : 78,70
Langues : Français
Résumé : C'est à une conversation que nous assistons, échangée entre deux hommes dans la salle d'attente d'un aéroport. Jérôme Angust y est abordé par un inconnu, Textor Texel. Ce dernier, malgré la fraîcheur qui l'accueille, s'incruste auprès du premier et commence à lui raconter sa vie : son meurtre par procuration d'un camarade de classe, jadis, son goût de la nourriture pour chats, son viol d'une jeune femme dans un mausolée du cimetière Montmartre puis son assassinat, des années plus tard. Aucune confidence ne sera épargnée à notre homme d'affaires, ni les faits ni leurs motifs, sans oublier les démêlés intérieurs de son raseur avec la foi religieuse, puis cette maladie de la culpabilité qui semble préexister chez lui à toutes les monstruosités dont il dresse le catalogue, jusqu'à son interprétation du jansénisme…Sur 140 pages, Amélie nous restitue cette conversation ininterrompue, les joutes qui surviennent entre les deux hommes, les protestations révoltées de la victime (Angust) et le plaisir quasi extatique de l'ennemi (Texel). La morale outragée contre l'immoralité la plus morbide. Et le plus dérangeant, dans tout ça, c'est la façon tout aussi convaincante qu'a chacun de défendre son idée du bonheur. Le droit chemin pour l'un et la marge pour l'autre. Chacun y va à l'occasion de ses formules apprises, de ses citations hautement philosophiques, n'hésite pas à citer Lu Xun, Pascal ou Spinoza, si besoin... Voici maintenant le coup de théâtre : nous apprenons au détour d'une réplique que nos deux rhéteurs de bistrot ne sont en réalité qu'une seule et unique personne ! Que cet échange de joyeusetés n'était en fait que le débat d'un quidam avec sa propre conscience. Catégories : Comportement sexuel
Comportement socialMots-clés : thème littéraire morale culpabilité crime meurtre perversion conscience Thème de fiction : policier Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 15953 R NOT Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible PermalinkPermalinkMourir de dire - La honte / Boris Cyrulnik / O. Jacob (2010)
PermalinkPermalinkPermalinkUn Secret / Philippe Grimbert / B. Grasset (2005)
PermalinkLa Solitude des nombres premiers / Paolo Giordano / Éd. du Seuil (2009)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLes Cerfs-volants de Kaboul / Khaled Hosseini / 10-18 (2006)
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