A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
6 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'exotisme'




Titre : Loin de Chandigarh Auteurs : Tarun J Tejpal Editeur : Buchet-Chastel, 2007 Collection : Le Livre de poche, ISSN 0248-3653 num. 36760 Importance : 692 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : L'Inde du nord à la fin des années 1990. Un journaliste et sa femme partagent une intense passion jusqu'au jour où...
Loin de Chandigarh, dont le titre anglais original est d'ailleurs bien plus beau (The alchemy of desire) est un roman magnifique.
C'est un long travelling sur l'Inde moderne (politique, société, mythologies) et, surtout, un plantureux festin sur un thème éternel - la confusion des sentiments. Avec cet avertissement, en guise d'ouverture: «L'amour n'est pas le ciment le plus fort entre deux êtres, c'est le sexe.» Près de 700 pages plus loin, Tejpal ajoutera: «Le sexe n'est pas le ciment le plus fort entre deux êtres, c'est l'amour.»
D'une phrase à l'autre, d'une pirouette à l'autre - certaines valent leur pesant de Kama-sutra - le narrateur raconte sa folle passion pour la belle Fizz, dont les charmes torrides le comblent depuis quinze ans. Mais, soudain, quand le couple s'installe dans une bicoque délabrée sur les contreforts de l'Himalaya, tout va basculer. A cause d'une morte - l'ancienne propriétaire de la maison - et du journal intime qu'elle a dissimulé dans un coffre avant de disparaître: des confessions si brûlantes, si sensuelles, que le narrateur tombe aussitôt amoureux de celle qui les a rédigées, et qui lui tend les bras depuis l'au-delà. Il n'y résistera pas et brisera la belle romance qu'il avait nouée avec Fizz...
Cette histoire de plus en plus sombre, c'est aussi celle de l'Inde, la terre où les morts ont souvent raison des vivants. Tejpal y ajoute une faconde à la Rushdie, et d'éblouissantes embardées sur la mystérieuse alchimie du désir."
http://www.lexpress.fr/informations/un-fantome-nomme-desir_668868.html
Le narrateur, pourtant très amoureux de son épouse Fizz, va se lancer dans un parcours incroyablement hasardeux, après la découverte de mystérieux carnets de cuir fauve, qui contiennent le journal intime d'une femme du siècle dernier, qui visiblement n'avait pas froid aux yeux... Une quête éperdue du sens... Qu'est-ce que la vie ? Qu'est-ce que l'amour ? Et comment devient-on écrivain ? Mais le livre nous parle aussi de l'Inde contemporaine.
Le personnage semble baigné dans une double culture. Il est à la fois rationnel et sceptique comme nous pouvons l'être, mais s'il se moque, avec une ironie mordante et un sens de l'humour tout à fait délicieux, des croyances mystiques de ses concitoyens, il n'en néglige pas moins l'irrationnel, même si le trait reste discret.
Petite note en contrepoint : Chandigarh est la ville qui possède le plus important patrimoine "Le Corbusier" au monde. L'auteur en dit juste quelques mots, cinglants :
"... cette étrange cité minérale née de la géométrie et non du besoin. Une ville bâtie avec des rapporteurs, des règles, des équerres, des compas, bien plus qu'avec de la passion, de l'émotion, de l'ardeur et de la créativité. Le Français qui l'avait édifiée en avait expurgé à la fois la sensualité accomplie de son peuple et la truculente robustesse des Indiens. Il avait construit un habitat géométrique. Seul le temps en ferait une ville. Beaucoup de temps."Mots-clés : thème littéraire Inde 1990- relation homme-femme amour passion comportement social comportement sexuel journalisme fantastique : genre conflit psychique érotisme libertés individuelles condition féminine femme Etats-Unis développement de la personnalité voyage exotisme Thème de fiction : amour Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.lexpress.fr/informations/un-fantome-nomme-desir_668868.html Loin de Chandigarh [texte imprimé] / Tarun J Tejpal . - [S.l.] : Buchet-Chastel, 2007 . - 692 p.. - (Le Livre de poche, ISSN 0248-3653; 36760) .
ISBN : 978-2-253-11801-5 : 8,50
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : L'Inde du nord à la fin des années 1990. Un journaliste et sa femme partagent une intense passion jusqu'au jour où...
Loin de Chandigarh, dont le titre anglais original est d'ailleurs bien plus beau (The alchemy of desire) est un roman magnifique.
C'est un long travelling sur l'Inde moderne (politique, société, mythologies) et, surtout, un plantureux festin sur un thème éternel - la confusion des sentiments. Avec cet avertissement, en guise d'ouverture: «L'amour n'est pas le ciment le plus fort entre deux êtres, c'est le sexe.» Près de 700 pages plus loin, Tejpal ajoutera: «Le sexe n'est pas le ciment le plus fort entre deux êtres, c'est l'amour.»
D'une phrase à l'autre, d'une pirouette à l'autre - certaines valent leur pesant de Kama-sutra - le narrateur raconte sa folle passion pour la belle Fizz, dont les charmes torrides le comblent depuis quinze ans. Mais, soudain, quand le couple s'installe dans une bicoque délabrée sur les contreforts de l'Himalaya, tout va basculer. A cause d'une morte - l'ancienne propriétaire de la maison - et du journal intime qu'elle a dissimulé dans un coffre avant de disparaître: des confessions si brûlantes, si sensuelles, que le narrateur tombe aussitôt amoureux de celle qui les a rédigées, et qui lui tend les bras depuis l'au-delà. Il n'y résistera pas et brisera la belle romance qu'il avait nouée avec Fizz...
Cette histoire de plus en plus sombre, c'est aussi celle de l'Inde, la terre où les morts ont souvent raison des vivants. Tejpal y ajoute une faconde à la Rushdie, et d'éblouissantes embardées sur la mystérieuse alchimie du désir."
http://www.lexpress.fr/informations/un-fantome-nomme-desir_668868.html
Le narrateur, pourtant très amoureux de son épouse Fizz, va se lancer dans un parcours incroyablement hasardeux, après la découverte de mystérieux carnets de cuir fauve, qui contiennent le journal intime d'une femme du siècle dernier, qui visiblement n'avait pas froid aux yeux... Une quête éperdue du sens... Qu'est-ce que la vie ? Qu'est-ce que l'amour ? Et comment devient-on écrivain ? Mais le livre nous parle aussi de l'Inde contemporaine.
Le personnage semble baigné dans une double culture. Il est à la fois rationnel et sceptique comme nous pouvons l'être, mais s'il se moque, avec une ironie mordante et un sens de l'humour tout à fait délicieux, des croyances mystiques de ses concitoyens, il n'en néglige pas moins l'irrationnel, même si le trait reste discret.
Petite note en contrepoint : Chandigarh est la ville qui possède le plus important patrimoine "Le Corbusier" au monde. L'auteur en dit juste quelques mots, cinglants :
"... cette étrange cité minérale née de la géométrie et non du besoin. Une ville bâtie avec des rapporteurs, des règles, des équerres, des compas, bien plus qu'avec de la passion, de l'émotion, de l'ardeur et de la créativité. Le Français qui l'avait édifiée en avait expurgé à la fois la sensualité accomplie de son peuple et la truculente robustesse des Indiens. Il avait construit un habitat géométrique. Seul le temps en ferait une ville. Beaucoup de temps."Mots-clés : thème littéraire Inde 1990- relation homme-femme amour passion comportement social comportement sexuel journalisme fantastique : genre conflit psychique érotisme libertés individuelles condition féminine femme Etats-Unis développement de la personnalité voyage exotisme Thème de fiction : amour Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.lexpress.fr/informations/un-fantome-nomme-desir_668868.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 38308 R TEJ Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Madame Chrysanthème / Pierre Loti / Flammarion (1990)
Titre : Madame Chrysanthème Auteurs : Pierre Loti, Auteur Editeur : Flammarion, 1990 Collection : GF Importance : 287 p. Langues : Français Résumé : "En mars 1885, Pierre Loti (1850-1923) reçoit l'ordre de rejoindre l'escale de l'amiral Courbet qui participe à la campagne de Chine. Cette campagne est entrecoupée de séjours au Japon en juillet 1885 : son bateau, la Triomphante – un cuirassé sur lequel il a embarqué en mai à Formose –, a besoin de réparations et arrive au chantier naval de Nagasaki. Il y passe 36 jours, du 8 juillet au 12 août, alors que le roman s'étend sur une période de 79 jours. Les dates réelles ont donc été changées.
Durant son séjour à Nagasaki, il contracte un mariage avec une jeune Japonaise de 18 ans : Okané-San, baptisée Kikou-San soit Madame Chrysanthème (il s'agit d'une fleur nationale au Japon, célébrée lors de la fête impériale des Chrysanthèmes ; ironiquement cette fleur symbolise le coeur humain, la précarité de la beauté et l'amour fidèle).
Ce mariage auquel les parents ont donné leur consentement a été arrangé par un agent, et enregistré par la police locale. Il ne dure que le temps du séjour et la jeune fille pourra par la suite se marier avec un Japonais. Cette pratique peut paraître curieuse mais elle est alors courante au Japon, même si elle s’avère coûteuse pour l'étranger.
Si le roman raconte bien l'histoire de ce mariage, l'auteur signale cependant dans sa préface :
" Bien que le rôle le plus long soit en apparence à Madame Chrysanthème, il est bien certain que les trois principaux personnages sont Moi, le Japon et l'Effet que ce pays m'a produit. "
De fait, ce roman ne raconte pas véritablement une histoire, aucune aventure réelle, ou intrigue, ni même une histoire d'amour. Il s'agit plutôt d'impressions peintes : des tableaux décrits, une galerie de portraits, des scènes de vie à Diou-djen-dji. Et la ville est bien l'un des personnages principaux de ce récit : le Nagasaki d'avant la Seconde Guerre mondiale, aujourd’hui complètement disparu, et que le témoignage de Loti restitue en partie. De ce fait, ce roman trouve aujourd'hui une valeur supplémentaire.
Le temps de ce seul mois passé à Nagasaki, une sorte de petite routine se crée, un rythme de vie s'installe, une vie à la japonaise, où un certain nombre des habitants de la ville nous sont présentés et nous deviennent étrangement familiers. Il y a Okané-San et sa famille : son cousin pauvre le Djin 415, le plus rapide des hommes-coureurs traînant des petits chars et voiturant des particuliers pour de l'argent, la mère d’Okané-San, Madame Renoncule, son petit frère Bambou, et aussi toutes ses soeurs. Il y a M. Kangourou, l'entremetteur de mariage, M. Sucre et Madame Prune, leurs propriétaires, Oyouki, leur fille de 15 ans, Madame Très-Propre, la vendeuse de lanternes, Madame l'Heure, la marchande de gaufres, Matsou-San et Donata-San, les chefs bonzes du temple de la Tortue Sauteuse, le photographe de renom, les tatoueurs...
Il y a enfin les incidents quotidiens et les instants choisis, les moments privilégiés ou incongrus et les lieux décrits avec soin et force détails : les maisons, les jardins, les montagnes, le cimetière, la baie, les salons de thés, les temples… ; les petites mousmés (les jeunes femmes japonaises) et leurs costumes ; les rituels du repas et du bain ; les bruits que font les insectes, le roulement des panneaux de bois et la petite pipe que les femmes tapotent tous les soirs pour la vider : " pan pan pan ". Malgré son impatience et sa lassitude affichée à l'égard de ses hôtes, Loti s'intéresse à toutes leurs coutumes et prend à coeur de transcrire ses impressions, d'expliquer ces moeurs et ces habitudes si différentes de celles des Occidentaux, ainsi que certains termes ou expressions japonais pour lesquels le français ne trouve aucun équivalent juste. L'auteur exprime en effet très souvent sa difficulté à " dire ". (...)"
http://littexpress.over-blog.net/article-19412130.html
http://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Amour_exotique._-_Madame_Chrysanth%C3%A8meMots-clés : thème littéraire 19ème siècle Japon marin voyage relation homme-femme civilisation et culture représentation mentale développement de la personnalité condition féminine culture orientale peuple d'Asie mariage relation parent-enfant vie sociale relation sociale comportement social étude ethnologique exotisme Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Madame Chrysanthème [texte imprimé] / Pierre Loti, Auteur . - [S.l.] : Flammarion, 1990 . - 287 p.. - (GF) .
ISBN : 978-2-08-070570-9 : 8.00
Langues : Français
Résumé : "En mars 1885, Pierre Loti (1850-1923) reçoit l'ordre de rejoindre l'escale de l'amiral Courbet qui participe à la campagne de Chine. Cette campagne est entrecoupée de séjours au Japon en juillet 1885 : son bateau, la Triomphante – un cuirassé sur lequel il a embarqué en mai à Formose –, a besoin de réparations et arrive au chantier naval de Nagasaki. Il y passe 36 jours, du 8 juillet au 12 août, alors que le roman s'étend sur une période de 79 jours. Les dates réelles ont donc été changées.
Durant son séjour à Nagasaki, il contracte un mariage avec une jeune Japonaise de 18 ans : Okané-San, baptisée Kikou-San soit Madame Chrysanthème (il s'agit d'une fleur nationale au Japon, célébrée lors de la fête impériale des Chrysanthèmes ; ironiquement cette fleur symbolise le coeur humain, la précarité de la beauté et l'amour fidèle).
Ce mariage auquel les parents ont donné leur consentement a été arrangé par un agent, et enregistré par la police locale. Il ne dure que le temps du séjour et la jeune fille pourra par la suite se marier avec un Japonais. Cette pratique peut paraître curieuse mais elle est alors courante au Japon, même si elle s’avère coûteuse pour l'étranger.
Si le roman raconte bien l'histoire de ce mariage, l'auteur signale cependant dans sa préface :
" Bien que le rôle le plus long soit en apparence à Madame Chrysanthème, il est bien certain que les trois principaux personnages sont Moi, le Japon et l'Effet que ce pays m'a produit. "
De fait, ce roman ne raconte pas véritablement une histoire, aucune aventure réelle, ou intrigue, ni même une histoire d'amour. Il s'agit plutôt d'impressions peintes : des tableaux décrits, une galerie de portraits, des scènes de vie à Diou-djen-dji. Et la ville est bien l'un des personnages principaux de ce récit : le Nagasaki d'avant la Seconde Guerre mondiale, aujourd’hui complètement disparu, et que le témoignage de Loti restitue en partie. De ce fait, ce roman trouve aujourd'hui une valeur supplémentaire.
Le temps de ce seul mois passé à Nagasaki, une sorte de petite routine se crée, un rythme de vie s'installe, une vie à la japonaise, où un certain nombre des habitants de la ville nous sont présentés et nous deviennent étrangement familiers. Il y a Okané-San et sa famille : son cousin pauvre le Djin 415, le plus rapide des hommes-coureurs traînant des petits chars et voiturant des particuliers pour de l'argent, la mère d’Okané-San, Madame Renoncule, son petit frère Bambou, et aussi toutes ses soeurs. Il y a M. Kangourou, l'entremetteur de mariage, M. Sucre et Madame Prune, leurs propriétaires, Oyouki, leur fille de 15 ans, Madame Très-Propre, la vendeuse de lanternes, Madame l'Heure, la marchande de gaufres, Matsou-San et Donata-San, les chefs bonzes du temple de la Tortue Sauteuse, le photographe de renom, les tatoueurs...
Il y a enfin les incidents quotidiens et les instants choisis, les moments privilégiés ou incongrus et les lieux décrits avec soin et force détails : les maisons, les jardins, les montagnes, le cimetière, la baie, les salons de thés, les temples… ; les petites mousmés (les jeunes femmes japonaises) et leurs costumes ; les rituels du repas et du bain ; les bruits que font les insectes, le roulement des panneaux de bois et la petite pipe que les femmes tapotent tous les soirs pour la vider : " pan pan pan ". Malgré son impatience et sa lassitude affichée à l'égard de ses hôtes, Loti s'intéresse à toutes leurs coutumes et prend à coeur de transcrire ses impressions, d'expliquer ces moeurs et ces habitudes si différentes de celles des Occidentaux, ainsi que certains termes ou expressions japonais pour lesquels le français ne trouve aucun équivalent juste. L'auteur exprime en effet très souvent sa difficulté à " dire ". (...)"
http://littexpress.over-blog.net/article-19412130.html
http://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Amour_exotique._-_Madame_Chrysanth%C3%A8meMots-clés : thème littéraire 19ème siècle Japon marin voyage relation homme-femme civilisation et culture représentation mentale développement de la personnalité condition féminine culture orientale peuple d'Asie mariage relation parent-enfant vie sociale relation sociale comportement social étude ethnologique exotisme Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4150 R LOT Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Les Paradis artificiels: L'imaginaire des drogues de l'opium à l'ecstasy Auteurs : Pierre de Taillac, Auteur Editeur : Hugo & Cie, 2007 Collection : Hugodoc Importance : 160 p. : ill. Langues : Français Résumé : Du Club des Hachichins à la ganja des rastas, des 'possédés de la morphine' aux hippies hallucinés, de l'opium chinois à la coke des 'branchés', les drogues renvoient à un imaginaire riche, fantasmatique et équivoque. Depuis le milieu du XIXe siècle, drogues et drogués sont à la une des journaux, à l'affiche des théâtres et des cinémas, dans les romans, les bandes dessinées et les chansons... Objet de tous les fantasmes, les stupéfiants ont cristallisé les peurs et les rêves propres à chaque génération, de l'opium de la Belle Epoque - tombeau de l'armée et de la race - à l'ecstasy de la fin du Xxe siècle - 'pilule de l'amour' et 'drogue du sexe' - en passant par 'la coco' des années folles déversée sur la France par des Allemands revanchards aujourd'hui remplacés par les dealers qui 'menacent nos enfants'. .. Une pochette d'un disque de rock, une carte postale indochinoise ou une affiche de film des années 1950 apprennent plus sur la place de la drogue dans nos sociétés qu'un texte de loi, une statistique ou les spéculations d'un médecin.
DU CLUB DES HACHICHINS à la ganja des rastas, des « possédés de la morphine » aux hippies hallucinés, de l’opium chinois à la coke des « branchés », les drogues renvoient à un imaginaire riche, changeant, équivoque... Illustré par plusieurs centaines de documents inédits, collectés par l'auteur pendant des années, cet ouvrage permet de restituer l’évolution du regard, porté par la société française, sur les paradis artificiels. Depuis le milieu du XIXème siècle, drogues et drogués sont à la une des journaux, à l’affiche des théâtres et des cinémas, dans les romans, les bandes dessinées et les chansons… Objet de tous les fantasmes, les stupéfiants ont cristallisé les peurs et les rêves propres à chaque génération ; de l’opium de la Belle Époque à l’ecstasy de la fin du XXème siècle, en passant par la « coco » des soirées branchées. Telle pochette d’un disque rock, telle carte postale indochinoise, telle couverture d’un polar des années 50 sont plus révélateurs qu’un texte de loi, des statistiques ou les spéculations d’un médecin. En s’appuyant sur des centaines d’images, Pierre de Taillac invite le lecteur à un périple extraordinaire au coeur d’un passé occulté et fascinant et lui fait découvrir un imaginaire étonnant qui mêle plaisir et sexe, souffrance et mort, déchéance et rédemption.Mots-clés : imaginaire psychisme représentation mentale médias drogue produit toxique toxicomanie maladie à caractère social comportement social vie sociale relation sociale toxicomane représentation sociale identité collective mentalité collective 19ème siècle Chine exotisme source d'information représentation graphique image fixe illustration : imprimerie dessin : art photographie support visuel support de diffusion lecture de l'image code : communication message orientalisme morale rêve santé publique culture occidentale France condition féminine 1919-1939 banditisme crime métier : police cinéma art du spectacle industrie cinématographique thème cinématographique affiche art graphique affichage bande dessinée érotisme 1960- contestation étudiante mai 1968 contre-culture hippie 1970- reggae rasta Marley, Bob : 1945- 1981 Index. décimale : 363 Autres problèmes et services sociaux Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.myspace.com/paradisartificiels/photos/2035443#{%22ImageId%22%3A203561 [...] Les Paradis artificiels : L'imaginaire des drogues de l'opium à l'ecstasy [texte imprimé] / Pierre de Taillac, Auteur . - [S.l.] : Hugo & Cie, 2007 . - 160 p. : ill.. - (Hugodoc) .
ISBN : 978-2-7556-0203-6 : 25.00
Langues : Français
Résumé : Du Club des Hachichins à la ganja des rastas, des 'possédés de la morphine' aux hippies hallucinés, de l'opium chinois à la coke des 'branchés', les drogues renvoient à un imaginaire riche, fantasmatique et équivoque. Depuis le milieu du XIXe siècle, drogues et drogués sont à la une des journaux, à l'affiche des théâtres et des cinémas, dans les romans, les bandes dessinées et les chansons... Objet de tous les fantasmes, les stupéfiants ont cristallisé les peurs et les rêves propres à chaque génération, de l'opium de la Belle Epoque - tombeau de l'armée et de la race - à l'ecstasy de la fin du Xxe siècle - 'pilule de l'amour' et 'drogue du sexe' - en passant par 'la coco' des années folles déversée sur la France par des Allemands revanchards aujourd'hui remplacés par les dealers qui 'menacent nos enfants'. .. Une pochette d'un disque de rock, une carte postale indochinoise ou une affiche de film des années 1950 apprennent plus sur la place de la drogue dans nos sociétés qu'un texte de loi, une statistique ou les spéculations d'un médecin.
DU CLUB DES HACHICHINS à la ganja des rastas, des « possédés de la morphine » aux hippies hallucinés, de l’opium chinois à la coke des « branchés », les drogues renvoient à un imaginaire riche, changeant, équivoque... Illustré par plusieurs centaines de documents inédits, collectés par l'auteur pendant des années, cet ouvrage permet de restituer l’évolution du regard, porté par la société française, sur les paradis artificiels. Depuis le milieu du XIXème siècle, drogues et drogués sont à la une des journaux, à l’affiche des théâtres et des cinémas, dans les romans, les bandes dessinées et les chansons… Objet de tous les fantasmes, les stupéfiants ont cristallisé les peurs et les rêves propres à chaque génération ; de l’opium de la Belle Époque à l’ecstasy de la fin du XXème siècle, en passant par la « coco » des soirées branchées. Telle pochette d’un disque rock, telle carte postale indochinoise, telle couverture d’un polar des années 50 sont plus révélateurs qu’un texte de loi, des statistiques ou les spéculations d’un médecin. En s’appuyant sur des centaines d’images, Pierre de Taillac invite le lecteur à un périple extraordinaire au coeur d’un passé occulté et fascinant et lui fait découvrir un imaginaire étonnant qui mêle plaisir et sexe, souffrance et mort, déchéance et rédemption.Mots-clés : imaginaire psychisme représentation mentale médias drogue produit toxique toxicomanie maladie à caractère social comportement social vie sociale relation sociale toxicomane représentation sociale identité collective mentalité collective 19ème siècle Chine exotisme source d'information représentation graphique image fixe illustration : imprimerie dessin : art photographie support visuel support de diffusion lecture de l'image code : communication message orientalisme morale rêve santé publique culture occidentale France condition féminine 1919-1939 banditisme crime métier : police cinéma art du spectacle industrie cinématographique thème cinématographique affiche art graphique affichage bande dessinée érotisme 1960- contestation étudiante mai 1968 contre-culture hippie 1970- reggae rasta Marley, Bob : 1945- 1981 Index. décimale : 363 Autres problèmes et services sociaux Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.myspace.com/paradisartificiels/photos/2035443#{%22ImageId%22%3A203561 [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43151 363.45 TAI Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible Paul et Virginie / Bernardin de Saint-Pierre, Henri / Garnier-Flammarion (2002)
Titre : Paul et Virginie Auteurs : Bernardin de Saint-Pierre, Henri, Auteur ; Jean-Philippe Marty, Auteur Editeur : Garnier-Flammarion, 2002 Collection : Étonnants Classiques, ISSN 1269-8822 num. 2170 Importance : 139 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm. Langues : Français Résumé : Dans une plaine intérieure de l'Ile de France (la future île Maurice), le narrateur découvre les ruines de deux petites cabanes. Il rencontre un vieillard venant "à passer aux environs" et lui adresse la parole : " Mon père, lui dis-je, pourriez-vous m'apprendre à qui ont appartenu ces deux cabanes ?" Le vieil homme, à la fois conteur, témoin de ce paradis perdu, et unique survivant va lui conter l'histoire de Paul et Virginie : " Mon fils, ces masures et ce terrain inculte étaient habités, il y a environ vingt ans, par deux familles qui y avaient trouvé le bonheur."
Deux françaises, Mme de la Tour, la jeune veuve d'un aristocrate libertin, et Marguerite, une paysanne bretonne séduite et abandonnée ont fui la métropole et sont venus cacher leur déshonneur dans cette colonie française.
Elles mettent au monde, vers 1726, Virginie et Paul. Mme de la Tour, avec sa fille Virginie, et Marguerite, avec son fils Paul, sont aidées par un couple de noirs, Marie et Domingue. Les deux femmes unissent leur détresse et leur pauvreté et exploitent la terre. Leurs deux enfants grandissent comme frère et sœur.
Cette petite communauté connaît une existence paisible dans la splendeur des paysages tropicaux. Paul et Virginie grandissent en parfaite harmonie avec la nature. Ils sont vertueux et candides : leur innocence les préserve du mal tant en actes qu'en pensée. Seule une lettre de la tante de la Mme de la Tour vient, en 1738, troubler momentanément leur bonheur. Cette lettre, en provenance de France, que la mère de Virginie espérait depuis plus de dix ans, ne contient que reproches et leçons de morale. Virginie est devenue adolescente, et elle découvre que ses sentiments pour Paul changent de nature. Il n'avait été jusqu'alors qu'un frère avec lequel elle partageait ses joies et ses jeux. Elle devine que la tendresse qu'elle éprouve pour lui se transforme en amour et elle l'imagine comme compagnon et comme époux. Paul, lui, n'a pas encore compris ce trouble qui anime Virginie.
La tante de la Mme de la Tour écrit à sa nièce lui enjoignant de lui envoyer Virginie, "à laquelle elle destinait une bonne éducation, un parti à la cour, et la donation de tous ses biens". Voyant la peine que cette séparation vaudrait à Virginie, Mme de la Tour est prête à se résoudre, mais le gouverneur de l'Ile vient forcer le destin. Il envoie un prêtre qui a pour mission de convaincre à la fois la mère et la fille.
Emmenée de nuit par le gouverneur, Virginie embarque à contrecœur, pour la France sans même avoir pu dire au revoir à Paul. La séparation est douloureuse. Paul, pour la première fois de son existence, explose de colère. Il va se plaindre aux arbres, aux rochers et aux oiseaux. C'est comme si on avait arraché la fleur du bonheur qui poussait naturellement dans son cœur. Pour atténuer la séparation et pouvoir correspondre avec Virginie , il apprend à lire et à écrire.Virginie est elle aussi désespérée d'abandonner Paul. Loin de se réjouir de cette fortune que sa tante désire lui léguer, elle souffre de cette vie européenne à laquelle elle ne parvient pas à s'adapter. Pendant plus d'un an Paul et Virginie restent sans nouvelles l'un de l'autre, les lettres qu'ils s'échangent , étant interceptées par la grand-tante de Virginie. Pendant cette année qui lui parait interminable , Paul qui lit maintenant des romans reste inconsolable.
Virginie, par des moyens détournés parvient enfin à faire parvenir à sa mère une première lettre. Mme de la Tour découvre combien sa fille est malheureuse en métropole. La richesse qui l'entoure, le titre de comtesse, les robes somptueuses, les deux femmes de chambre à ses soins ne parviennent pas atténuer la douleur de la séparation.
Et quand la grand-tante se met en tête de marier Virginie, celle-ci préfère être déshéritée et chassée de France. Elle ne pense plus dès lors qu'à Paul et au retour...Mots-clés : thème littéraire Amour île Maurice île de l'océan Indien Milieu insulaire exclusion sociale marginalité relation prarent-enfant condition féminine éducation enfant : famille artistocratie 18ème siècle comportement social norme sociale amour passion idéalisme civilisation corruption nature question philosophique adolescent jeunesse classe sociale inégalité sociale mal de vivre exotisme Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Paul et Virginie [texte imprimé] / Bernardin de Saint-Pierre, Henri, Auteur ; Jean-Philippe Marty, Auteur . - [S.l.] : Garnier-Flammarion, 2002 . - 139 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 18 cm.. - (Étonnants Classiques, ISSN 1269-8822; 2170) .
ISBN : 978-2-08-072170-9
Langues : Français
Résumé : Dans une plaine intérieure de l'Ile de France (la future île Maurice), le narrateur découvre les ruines de deux petites cabanes. Il rencontre un vieillard venant "à passer aux environs" et lui adresse la parole : " Mon père, lui dis-je, pourriez-vous m'apprendre à qui ont appartenu ces deux cabanes ?" Le vieil homme, à la fois conteur, témoin de ce paradis perdu, et unique survivant va lui conter l'histoire de Paul et Virginie : " Mon fils, ces masures et ce terrain inculte étaient habités, il y a environ vingt ans, par deux familles qui y avaient trouvé le bonheur."
Deux françaises, Mme de la Tour, la jeune veuve d'un aristocrate libertin, et Marguerite, une paysanne bretonne séduite et abandonnée ont fui la métropole et sont venus cacher leur déshonneur dans cette colonie française.
Elles mettent au monde, vers 1726, Virginie et Paul. Mme de la Tour, avec sa fille Virginie, et Marguerite, avec son fils Paul, sont aidées par un couple de noirs, Marie et Domingue. Les deux femmes unissent leur détresse et leur pauvreté et exploitent la terre. Leurs deux enfants grandissent comme frère et sœur.
Cette petite communauté connaît une existence paisible dans la splendeur des paysages tropicaux. Paul et Virginie grandissent en parfaite harmonie avec la nature. Ils sont vertueux et candides : leur innocence les préserve du mal tant en actes qu'en pensée. Seule une lettre de la tante de la Mme de la Tour vient, en 1738, troubler momentanément leur bonheur. Cette lettre, en provenance de France, que la mère de Virginie espérait depuis plus de dix ans, ne contient que reproches et leçons de morale. Virginie est devenue adolescente, et elle découvre que ses sentiments pour Paul changent de nature. Il n'avait été jusqu'alors qu'un frère avec lequel elle partageait ses joies et ses jeux. Elle devine que la tendresse qu'elle éprouve pour lui se transforme en amour et elle l'imagine comme compagnon et comme époux. Paul, lui, n'a pas encore compris ce trouble qui anime Virginie.
La tante de la Mme de la Tour écrit à sa nièce lui enjoignant de lui envoyer Virginie, "à laquelle elle destinait une bonne éducation, un parti à la cour, et la donation de tous ses biens". Voyant la peine que cette séparation vaudrait à Virginie, Mme de la Tour est prête à se résoudre, mais le gouverneur de l'Ile vient forcer le destin. Il envoie un prêtre qui a pour mission de convaincre à la fois la mère et la fille.
Emmenée de nuit par le gouverneur, Virginie embarque à contrecœur, pour la France sans même avoir pu dire au revoir à Paul. La séparation est douloureuse. Paul, pour la première fois de son existence, explose de colère. Il va se plaindre aux arbres, aux rochers et aux oiseaux. C'est comme si on avait arraché la fleur du bonheur qui poussait naturellement dans son cœur. Pour atténuer la séparation et pouvoir correspondre avec Virginie , il apprend à lire et à écrire.Virginie est elle aussi désespérée d'abandonner Paul. Loin de se réjouir de cette fortune que sa tante désire lui léguer, elle souffre de cette vie européenne à laquelle elle ne parvient pas à s'adapter. Pendant plus d'un an Paul et Virginie restent sans nouvelles l'un de l'autre, les lettres qu'ils s'échangent , étant interceptées par la grand-tante de Virginie. Pendant cette année qui lui parait interminable , Paul qui lit maintenant des romans reste inconsolable.
Virginie, par des moyens détournés parvient enfin à faire parvenir à sa mère une première lettre. Mme de la Tour découvre combien sa fille est malheureuse en métropole. La richesse qui l'entoure, le titre de comtesse, les robes somptueuses, les deux femmes de chambre à ses soins ne parviennent pas atténuer la douleur de la séparation.
Et quand la grand-tante se met en tête de marier Virginie, celle-ci préfère être déshéritée et chassée de France. Elle ne pense plus dès lors qu'à Paul et au retour...Mots-clés : thème littéraire Amour île Maurice île de l'océan Indien Milieu insulaire exclusion sociale marginalité relation prarent-enfant condition féminine éducation enfant : famille artistocratie 18ème siècle comportement social norme sociale amour passion idéalisme civilisation corruption nature question philosophique adolescent jeunesse classe sociale inégalité sociale mal de vivre exotisme Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 17016 R BER Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible 17017 R BER Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Terre sans femme(s): No woman's land Auteurs : Catherine Soisson Editeur : Toulon : Presses du Midi, 2006 Importance : 251 p. Langues : Français Résumé : Les expériences nucléaires françaises ont transformé définitivement la vie de la Polynésie. Après 210 essais, le dernier essai en 1996 a laissé derrière lui un océan de désolation humaine ...
À 1250 km au Sud Est de Tahiti, Moruroa, appelé familièrement Muru. Le 2 juillet 1966 a lieu le premier essai nucléaire aérien sur l'atoll...
Catherine Soisson a travaillé pendant 4 ans au Commissariat à l’énergie atomique à Tahiti et s’est servie de son expérience personnelle pour écrire son roman: travail, amours, amitiés, interdits, solitudes exacerbées et désespérances intimes se mêlent à l’insouciance, au parfum du tiare et aux doutes dévastateurs.
Terre sans femme(s) a reçu le Prix d’Honneur de l’Académie Poétique et Littéraire de Provence (Aix en Provence).
Dans la première partie, l’auteur parle de sa rencontre avec l’île et ses habitants dans les années 1970, de son regard étonné posé sur une civilisation qui n’était pas la sienne, aux comportements et aux coutumes parfois hors du temps. En deuxième partie, ce roman-témoignage, libérateur de souvenirs, relate le vécu de l’auteur et sa vision d’évènements sur un atoll interdit au personnel féminin. le Prix d’Honneur de l’Académie Poétique et Littéraire de Provence lui a été décerné le jour anniversaire des 40 ans de la 1ère bombe nucléaire française dans le Pacifique (dimanche 2 juillet). L'auteur dédie son prix à tous les vétérans des essais nucléaires français.
Les aspects techniques et scientifiques des expériences nucléaires ne sont pas traités.
Polynésie… Terres lointaines et méconnues, aux paysages enchanteurs…
Dans les années 70, à la croisée d’un devenir chaotique, l’art de vivre ma’ohi s’est effiloché lentement, absorbé par une société d’économie et de consommation irréversible. La manne financière et les expériences nucléaires françaises ont transformé définitivement cette vie insulaire.
À quelques centaines de kilomètres de Tahiti, le DC-6 amorce sa descente et se pose sur l’atoll nucléaire interdit aux femmes : Moruroa, appelé familièrement Muru. Travail, amours, amitiés, interdits, solitudes exacerbées et désespérances intimes se mêlent à l’insouciance, au parfum du tiare et aux doutes dévastateurs.
Après 210 essais, le dernier tir a lieu le 27 janvier 1996 à Fangataufa,
laissant derrière lui un océan de désolation humaine qui, depuis, n’a cessé decroître.
Ces hommes, ces femmes, auraient-ils été trompés ? manipulés ? méprisés ?
Voici un quotidien insoupçonné sur fond d’explosions atomiques.
‘A parahi iho, fenua vahine ‘ore
Note sur L'auteure Catherine Soisson
L’auteure Catherine Soisson qui a travaillé pendant 4 ans au commissariat à l’énergie atomique à Tahiti s’est servie de son expérience personnelle pour écrire son roman : « Terre sans femme (s) ».
http://tahitipresse.pf/2006/05/terre-sans-femmes/Catégories : Polynésie française Mots-clés : thème littéraire Polynésie française TOM 20ème siècle arme nucléaire équipement militaire politique de défense dissuasion nucléaire milieu insulaire exotisme 1970- autobiographie témoignage vie quotidienne France culture occidentale mutation sociale pollution politique de l'environnement condition féminine condition masculine Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie En ligne : http://www.lespressesdumidi.fr/auteur_soisson.htm Terre sans femme(s) : No woman's land [texte imprimé] / Catherine Soisson . - Toulon : Presses du Midi, 2006 . - 251 p.
ISBN : 978-2-87867-701-0 : 20,00
Langues : Français
Résumé : Les expériences nucléaires françaises ont transformé définitivement la vie de la Polynésie. Après 210 essais, le dernier essai en 1996 a laissé derrière lui un océan de désolation humaine ...
À 1250 km au Sud Est de Tahiti, Moruroa, appelé familièrement Muru. Le 2 juillet 1966 a lieu le premier essai nucléaire aérien sur l'atoll...
Catherine Soisson a travaillé pendant 4 ans au Commissariat à l’énergie atomique à Tahiti et s’est servie de son expérience personnelle pour écrire son roman: travail, amours, amitiés, interdits, solitudes exacerbées et désespérances intimes se mêlent à l’insouciance, au parfum du tiare et aux doutes dévastateurs.
Terre sans femme(s) a reçu le Prix d’Honneur de l’Académie Poétique et Littéraire de Provence (Aix en Provence).
Dans la première partie, l’auteur parle de sa rencontre avec l’île et ses habitants dans les années 1970, de son regard étonné posé sur une civilisation qui n’était pas la sienne, aux comportements et aux coutumes parfois hors du temps. En deuxième partie, ce roman-témoignage, libérateur de souvenirs, relate le vécu de l’auteur et sa vision d’évènements sur un atoll interdit au personnel féminin. le Prix d’Honneur de l’Académie Poétique et Littéraire de Provence lui a été décerné le jour anniversaire des 40 ans de la 1ère bombe nucléaire française dans le Pacifique (dimanche 2 juillet). L'auteur dédie son prix à tous les vétérans des essais nucléaires français.
Les aspects techniques et scientifiques des expériences nucléaires ne sont pas traités.
Polynésie… Terres lointaines et méconnues, aux paysages enchanteurs…
Dans les années 70, à la croisée d’un devenir chaotique, l’art de vivre ma’ohi s’est effiloché lentement, absorbé par une société d’économie et de consommation irréversible. La manne financière et les expériences nucléaires françaises ont transformé définitivement cette vie insulaire.
À quelques centaines de kilomètres de Tahiti, le DC-6 amorce sa descente et se pose sur l’atoll nucléaire interdit aux femmes : Moruroa, appelé familièrement Muru. Travail, amours, amitiés, interdits, solitudes exacerbées et désespérances intimes se mêlent à l’insouciance, au parfum du tiare et aux doutes dévastateurs.
Après 210 essais, le dernier tir a lieu le 27 janvier 1996 à Fangataufa,
laissant derrière lui un océan de désolation humaine qui, depuis, n’a cessé decroître.
Ces hommes, ces femmes, auraient-ils été trompés ? manipulés ? méprisés ?
Voici un quotidien insoupçonné sur fond d’explosions atomiques.
‘A parahi iho, fenua vahine ‘ore
Note sur L'auteure Catherine Soisson
L’auteure Catherine Soisson qui a travaillé pendant 4 ans au commissariat à l’énergie atomique à Tahiti s’est servie de son expérience personnelle pour écrire son roman : « Terre sans femme (s) ».
http://tahitipresse.pf/2006/05/terre-sans-femmes/Catégories : Polynésie française Mots-clés : thème littéraire Polynésie française TOM 20ème siècle arme nucléaire équipement militaire politique de défense dissuasion nucléaire milieu insulaire exotisme 1970- autobiographie témoignage vie quotidienne France culture occidentale mutation sociale pollution politique de l'environnement condition féminine condition masculine Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie En ligne : http://www.lespressesdumidi.fr/auteur_soisson.htm Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37010 R SOI Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Le tour du monde en quatre-vingts danses / Rosita Boisseau / Le Monde Editions (2015) in Le Monde (Paris. 1944), 21862 (02/05/2015)
Permalink