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Titre : Moulin rouge Auteurs : Huston, John, Auteur Editeur : Télérama, 2008 Collection : Les Peintres au cinéma Importance : 110 mn Note générale : Film de 1952.
Avec : José Ferrer (Henri de Toulouse-Lautrec), Zsa Zsa Gabor (Jane Avril), Suzanne Flon (Myriamme Hayam), Claude Nollier (la Comtesse de Toulouse-Lautrec), Katherine Kath (La Goulue, chanteuse du Moulin Rouge). 1h59.Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : A la Belle Epoque, la vie à Montmartre du peintre Henri de Toulouse-Lautrec. Sa peinture, dont les modèles sont les danseuses du Moulin Rouge, les prostituées et les gens modestes, devient célèbre dans le Tout-Paris.
A la suite d'une chute dans un escalier du château familial d'Albi, Henri de Toulouse-Lautrec restera infirme toute sa vie : avec un corps d'adulte sur des jambes d'enfant... Aucune femme ne veut de lui. Henri trompe sa solitude en peignant. Il monte à Paris fréquente assidûment le cabaret du Moulin-Rouge et devient l'ami des vedettes de l'établissement, Jane Avril, La Goulue et Valentin le Désossé.
Un soir, Toulouse-Lautrec rencontre Marie Charlet, une prostituée qui lui demande sa protection. Il la cache chez lui et finit par l'aimer passionnément. Mais Marie se moque de son infirmité et le quitte. Au bord du suicide, Toulouse-Lautrec sombre de plus en plus dans l'alcoolisme. Jane Avril lui présente un jour Myriamme qui souhaitait le connaître. La jeune femme avoue une grande admiration pour ses toiles. Henri et Myriamme se revoient fréquemment. Mais le peintre ne croit plus à l'amour et c'est lui qui abandonne Myriamme. Il devient un pilier de bar. Tous les soirs, la police le ramasse ivre-mort dans les rues de la capitale. Sa famille le ramène au château familial où il finira par mourir de délirium tremens et après avoir appris que ses toiles viennent d'être admises au Louvre...
http://www.cineclubdecaen.com/realisat/huston/huston.htmMots-clés : film cinéma Huston, John : 1906-1987 Toulouse- Lautrec : 1864- 1901 artiste peintre métier : création métier : arts Paris 19ème siècle marginalité handicap aristocrate élite sociale classe sociale prostitution relation homme-femme alcoolisme spectacle de variétés art du spectacle spectacle musical condition féminine Thème de fiction : artiste Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://dossierscinemaetcie.ifrance.com/moulin%20rouge.htm Moulin rouge [document projeté ou vidéo] / Huston, John, Auteur . - [S.l.] : Télérama, 2008 . - 110 mn. - (Les Peintres au cinéma) .
Film de 1952.
Avec : José Ferrer (Henri de Toulouse-Lautrec), Zsa Zsa Gabor (Jane Avril), Suzanne Flon (Myriamme Hayam), Claude Nollier (la Comtesse de Toulouse-Lautrec), Katherine Kath (La Goulue, chanteuse du Moulin Rouge). 1h59.
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : A la Belle Epoque, la vie à Montmartre du peintre Henri de Toulouse-Lautrec. Sa peinture, dont les modèles sont les danseuses du Moulin Rouge, les prostituées et les gens modestes, devient célèbre dans le Tout-Paris.
A la suite d'une chute dans un escalier du château familial d'Albi, Henri de Toulouse-Lautrec restera infirme toute sa vie : avec un corps d'adulte sur des jambes d'enfant... Aucune femme ne veut de lui. Henri trompe sa solitude en peignant. Il monte à Paris fréquente assidûment le cabaret du Moulin-Rouge et devient l'ami des vedettes de l'établissement, Jane Avril, La Goulue et Valentin le Désossé.
Un soir, Toulouse-Lautrec rencontre Marie Charlet, une prostituée qui lui demande sa protection. Il la cache chez lui et finit par l'aimer passionnément. Mais Marie se moque de son infirmité et le quitte. Au bord du suicide, Toulouse-Lautrec sombre de plus en plus dans l'alcoolisme. Jane Avril lui présente un jour Myriamme qui souhaitait le connaître. La jeune femme avoue une grande admiration pour ses toiles. Henri et Myriamme se revoient fréquemment. Mais le peintre ne croit plus à l'amour et c'est lui qui abandonne Myriamme. Il devient un pilier de bar. Tous les soirs, la police le ramasse ivre-mort dans les rues de la capitale. Sa famille le ramène au château familial où il finira par mourir de délirium tremens et après avoir appris que ses toiles viennent d'être admises au Louvre...
http://www.cineclubdecaen.com/realisat/huston/huston.htmMots-clés : film cinéma Huston, John : 1906-1987 Toulouse- Lautrec : 1864- 1901 artiste peintre métier : création métier : arts Paris 19ème siècle marginalité handicap aristocrate élite sociale classe sociale prostitution relation homme-femme alcoolisme spectacle de variétés art du spectacle spectacle musical condition féminine Thème de fiction : artiste Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://dossierscinemaetcie.ifrance.com/moulin%20rouge.htm Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41252 DVD HUS DVD 3. DVDthèque Fictions Disponible
Titre : Les Vacances de Monsieur Hulot Auteurs : Jacques Tati, Auteur Editeur : Les Films de Mon oncle, 2009 Importance : 2 DVD : version de 1953 ; version de 1978 restaurée 2009 Langues : Français Résumé : Film de Jacques Tati (France, 1953). Scénario : J. Tati, Henri Marquet, Jacques Lagrange. Image : Jacques Mercanton, Jean Mousselle. Musique : Alain Romans. 85 mn. NB. Avec Jacques Tati : M. Hulot. Nathalie Pascaud : Martine. Louis Perrault : Fred. André Dubois : le commandant.
Genre : burlesque estival et discret.
Pour son deuxième long métrage, après le rural Jour de fête, Jacques Tati dépêche un hurluberlu à la plage, où se côtoie sans se mêler la France des congés payés de l'après-guerre. Mais ce Hulot que tout singularise (vêtements, posture, voiture, manières uniment polies) est le seul à réellement désirer ce temps de vacance. Le comique naît de ce que son engouement est en contradiction avec les choses ou les gens qui l'entourent. Ses moments de plaisir (écouter du jazz à fond dans sa chambre, jouer au ping-pong avec un enfant) heurtent les autres clients de l'hôtel. Ses grands élans de courtoisie provoquent de petites catastrophes.
Tout est question d'équilibre - ô combien précaire - dans cette chronique faussement nonchalante, bercée par une musique liquide et fluette. La tenue même de Hulot, mains posées sur les hanches, comme pour s'empêcher de tomber, est le symbole de cette instabilité. Voici la figure, immédiatement familière et parfaitement stylisée, de l'homme à la place jamais définie, et dont la liberté est à ce prix.Mots-clés : cinéma film France 1950- Vacances tourisme station balnéaire humour comique : genre comédie burlesque : genre comportement social classe sociale relation homme-femme mer plage Thème de fiction : humour Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://www.telerama.fr/cinema/films/les-vacances-de-monsieur-hulot-version-resta [...] Les Vacances de Monsieur Hulot [document projeté ou vidéo] / Jacques Tati, Auteur . - [S.l.] : Les Films de Mon oncle : Paris : Naïve, 2009 . - 2 DVD : version de 1953 ; version de 1978 restaurée 2009.
22.99
Langues : Français
Résumé : Film de Jacques Tati (France, 1953). Scénario : J. Tati, Henri Marquet, Jacques Lagrange. Image : Jacques Mercanton, Jean Mousselle. Musique : Alain Romans. 85 mn. NB. Avec Jacques Tati : M. Hulot. Nathalie Pascaud : Martine. Louis Perrault : Fred. André Dubois : le commandant.
Genre : burlesque estival et discret.
Pour son deuxième long métrage, après le rural Jour de fête, Jacques Tati dépêche un hurluberlu à la plage, où se côtoie sans se mêler la France des congés payés de l'après-guerre. Mais ce Hulot que tout singularise (vêtements, posture, voiture, manières uniment polies) est le seul à réellement désirer ce temps de vacance. Le comique naît de ce que son engouement est en contradiction avec les choses ou les gens qui l'entourent. Ses moments de plaisir (écouter du jazz à fond dans sa chambre, jouer au ping-pong avec un enfant) heurtent les autres clients de l'hôtel. Ses grands élans de courtoisie provoquent de petites catastrophes.
Tout est question d'équilibre - ô combien précaire - dans cette chronique faussement nonchalante, bercée par une musique liquide et fluette. La tenue même de Hulot, mains posées sur les hanches, comme pour s'empêcher de tomber, est le symbole de cette instabilité. Voici la figure, immédiatement familière et parfaitement stylisée, de l'homme à la place jamais définie, et dont la liberté est à ce prix.Mots-clés : cinéma film France 1950- Vacances tourisme station balnéaire humour comique : genre comédie burlesque : genre comportement social classe sociale relation homme-femme mer plage Thème de fiction : humour Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://www.telerama.fr/cinema/films/les-vacances-de-monsieur-hulot-version-resta [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41259 DVD TAT DVD 3. DVDthèque Fictions Disponible
Titre : A Bigger Splash Auteurs : Jack Hazan, Auteur Editeur : Buzzer Enterprises, 2008 Importance : 100 mn Présentation : Version originale (anglais) sous-titres français Note générale : Produit en 1974, avec David Hockney, Peter Schlesinger, Mo Mac Dermott Langues : Anglais Langues originales : Anglais Résumé : A travers un fascinant mélange de fiction et de documentaire, 'A Bigger Splash' nous emmène dans l'univers du peintre anglais David Hockney et révèle les liens qu'entretiennent la vie et la création. Avec ses amis, jouant leur propres rôles, ils interprètent des scènes de la vie qui leur sont arrivées. Ou pas.
Jack Hazan a su convaincre David Hockney, d'abord très réticent, à jouer son propre rôle dans un film de fiction. Celui-ci relie le surgissement de l'inspiration, aux travaux préparatoires de la toile, à son exécution difficile puis à sa présentation lors de l'exposition de 1972.
Si l'oeuvre de David Hockney, d'abord fortement influencée par Picasso, est habituellement classée au sein du pop art, la toile dont on voit ici la réalisation s'apparente davantage au mouvement concomitant de l'hyperréalisme.
Ce type de peinture s'adapte parfaitement à la mise en scène obsessionnelle qu'a choisi le réalisateur. Le film est certes assez classiquement une méditation sur les relations de l'art et de la vie. Mais jamais aussi bien que dans l'hyperréalisme la frontière entre monde réel et monde ressenti est mince. C'est la fragilité de cette limite que met en scène Jack Hazan.
Le film est encadré d'un prologue et d'un épilogue situé à Genève en 1973. Six mois après la fin de l'exposition, David a retrouvé un nouvel amant et semble de nouveau apaisé. Les deux courtes scènes fonctionnent comme les parenthèses ouvrante et fermante d'un épisode particulièrement douloureux et intense de la vie du peintre. Pour mettre aussi à distance ce qu'aurait pu avoir de trop autobiographique l'épisode raconté, ce n'est pas Hockney qui prend en charge le récit mais son assistant, Mo McDermott. Une deuxième parenthèse au sein de la première est ainsi constituée par un plan de caméra s'avançant puis reculant sur le visage de Mo qui se rappelle ce qu'à pu avoir de douloureux cette période de mai 1971 à mai 1972 : celle de la réalisation d'une peinture qui vient comme recoudre une déchirure sentimentale.
Londres, Mai 1971. Le peintre David Hockney est en pleine crise, profondément affecté par la rupture avec Peter Schlesinger, son modèle et amant, qui vient de le quitter. Son travail en est bouleversé. Il doit pourtant terminer Portrait of an Artist pour une exposition qui doit avoir lieu à New York l'année suivante. En pleine lutte avec son art et avec lui-même, il passe d'intenses séances de travail à de longues errances chez ses amis, en proie au doute, ne parvenant pas à trouver sa forme définitive au tableau, qu'il finit par abandonner avant d'y revenir six mois plus tard.Mots-clés : cinéma film peintre artiste peinture 20ème siècle homosexualité amour mal de vivre pop art Angleterre Swinging London portrait représentation mentale technique picturale oeuvre picturale activité artistique 1970- Thème de fiction : art/artiste Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://www.cineclubdecaen.com/realisat/hazan/abiggersplash.htm A Bigger Splash [document projeté ou vidéo] / Jack Hazan, Auteur . - [S.l.] : Buzzer Enterprises : [S.l.] : Phares et Balises, 2008 . - 100 mn : Version originale (anglais) sous-titres français.
Produit en 1974, avec David Hockney, Peter Schlesinger, Mo Mac Dermott
Langues : Anglais Langues originales : Anglais
Résumé : A travers un fascinant mélange de fiction et de documentaire, 'A Bigger Splash' nous emmène dans l'univers du peintre anglais David Hockney et révèle les liens qu'entretiennent la vie et la création. Avec ses amis, jouant leur propres rôles, ils interprètent des scènes de la vie qui leur sont arrivées. Ou pas.
Jack Hazan a su convaincre David Hockney, d'abord très réticent, à jouer son propre rôle dans un film de fiction. Celui-ci relie le surgissement de l'inspiration, aux travaux préparatoires de la toile, à son exécution difficile puis à sa présentation lors de l'exposition de 1972.
Si l'oeuvre de David Hockney, d'abord fortement influencée par Picasso, est habituellement classée au sein du pop art, la toile dont on voit ici la réalisation s'apparente davantage au mouvement concomitant de l'hyperréalisme.
Ce type de peinture s'adapte parfaitement à la mise en scène obsessionnelle qu'a choisi le réalisateur. Le film est certes assez classiquement une méditation sur les relations de l'art et de la vie. Mais jamais aussi bien que dans l'hyperréalisme la frontière entre monde réel et monde ressenti est mince. C'est la fragilité de cette limite que met en scène Jack Hazan.
Le film est encadré d'un prologue et d'un épilogue situé à Genève en 1973. Six mois après la fin de l'exposition, David a retrouvé un nouvel amant et semble de nouveau apaisé. Les deux courtes scènes fonctionnent comme les parenthèses ouvrante et fermante d'un épisode particulièrement douloureux et intense de la vie du peintre. Pour mettre aussi à distance ce qu'aurait pu avoir de trop autobiographique l'épisode raconté, ce n'est pas Hockney qui prend en charge le récit mais son assistant, Mo McDermott. Une deuxième parenthèse au sein de la première est ainsi constituée par un plan de caméra s'avançant puis reculant sur le visage de Mo qui se rappelle ce qu'à pu avoir de douloureux cette période de mai 1971 à mai 1972 : celle de la réalisation d'une peinture qui vient comme recoudre une déchirure sentimentale.
Londres, Mai 1971. Le peintre David Hockney est en pleine crise, profondément affecté par la rupture avec Peter Schlesinger, son modèle et amant, qui vient de le quitter. Son travail en est bouleversé. Il doit pourtant terminer Portrait of an Artist pour une exposition qui doit avoir lieu à New York l'année suivante. En pleine lutte avec son art et avec lui-même, il passe d'intenses séances de travail à de longues errances chez ses amis, en proie au doute, ne parvenant pas à trouver sa forme définitive au tableau, qu'il finit par abandonner avant d'y revenir six mois plus tard.Mots-clés : cinéma film peintre artiste peinture 20ème siècle homosexualité amour mal de vivre pop art Angleterre Swinging London portrait représentation mentale technique picturale oeuvre picturale activité artistique 1970- Thème de fiction : art/artiste Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://www.cineclubdecaen.com/realisat/hazan/abiggersplash.htm Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41514 DVD HAZ DVD 3. DVDthèque Fictions Disponible
Titre : Frida Auteurs : Julie Taymor, Auteur Editeur : Télérama, 2002 Collection : Les Peintres au cinéma Importance : 115 mn Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : Frida Kahlo, peintre mexicain de renom, vécut ses amours et sa peinture en femme libre. Elle défraya la chronique avec son grand amour Diego Rivera, à la fois mentor et mari, et devint une des icônes de son pays.
Entre ses toiles d'exorcisme et son engagement révolutionnaire, son mariage avec le peintre Diego Rivera et ses amours bisexuelles, son long martyre et sa reconnaissance tardive, la vie de Frida Kahlo est un roman exalté qui appelle le cinéma. Que plusieurs stars (Madonna, Jennifer Lopez, entre autres) se soient disputé ce projet n'est guère étonnant. La ferveur opiniâtre de Salma Hayek a fait la différence et se voit à l'écran : totalement investie dans ce rôle, l'actrice porte le film avec une énergie plutôt belle à voir, presque trop, au regard du visage de la vraie Frida Kahlo, bien plus sourcilleux et dérangeant. Tout le début aligne des chromos de dépliant touristique rétro. Puis survient l'accident fatal de bus. Blessée dans sa chair pour toujours, le corps torturé et corseté, Frida endure un calvaire qui durera jusqu'à sa mort, précoce, à 47 ans. Le film pointe cette souffrance, montrant en même temps la foi formidable qui animait l'artiste. Joie et tourment, lumière et noirceur y sont toujours étroitement liés. On croise des gens qui comptent (la photographe Tina Modotti, Léon Trostki), on voyage à New York, à Paris. La fête, l'allégresse, la poursuite d'un idéal alternent avec le chagrin, les désillusions, l'abandon. Et, bien sûr, Frida peint. S'amusant avec divers procédés (dont des images d'animation), la réalisatrice relie directement les épisodes aux tableaux. On peut trouver cela un brin illustratif et mécanique, même si l'on sait que l'art figuratif à vif de Kahlo, empreint de surréalisme et de culture populaire mexicaine, est largement autobiographique. C'est la limite du film, de reproduire une bio sans s'appuyer vraiment sur un point de vue nouveau ou extérieur. Reste un souffle, une intensité, la manière qu'a Frida de vivre pleinement au présent sans rien regretter ni sacrifier. C'est ce qui distingue cette femme libre et entière des icônes maudites habituelles : elle ne choisit pas l'art contre la vie. Le film se veut à l'unisson de ce principe. Hétérogène, éclatant et sombre, tantôt franchement conventionnel, tantôt poignant, il célèbre une artiste qui a fait de son existence une oeuvre d'art - Jacques Morice
Jacques Morice
http://www.telerama.fr/cinema/films/frida,116565,critique.php
http://www.mexique-fr.com/perso-diego-rivera-16.phpMots-clés : thème cinématographique film cinéma biographie artiste peinture Mexique condition féminine 20ème siècle Frida Kahlo 1907-1954 Rivera, Diego : 1886-1957 handicap couple : famille Etats-unis surréalisme comportement social Thème de fiction : artiste Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://www.mexique-fr.com/frida.php Frida [document projeté ou vidéo] / Julie Taymor, Auteur . - [S.l.] : Télérama : [S.l.] : TF1 Video, 2002 . - 115 mn. - (Les Peintres au cinéma) .
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : Frida Kahlo, peintre mexicain de renom, vécut ses amours et sa peinture en femme libre. Elle défraya la chronique avec son grand amour Diego Rivera, à la fois mentor et mari, et devint une des icônes de son pays.
Entre ses toiles d'exorcisme et son engagement révolutionnaire, son mariage avec le peintre Diego Rivera et ses amours bisexuelles, son long martyre et sa reconnaissance tardive, la vie de Frida Kahlo est un roman exalté qui appelle le cinéma. Que plusieurs stars (Madonna, Jennifer Lopez, entre autres) se soient disputé ce projet n'est guère étonnant. La ferveur opiniâtre de Salma Hayek a fait la différence et se voit à l'écran : totalement investie dans ce rôle, l'actrice porte le film avec une énergie plutôt belle à voir, presque trop, au regard du visage de la vraie Frida Kahlo, bien plus sourcilleux et dérangeant. Tout le début aligne des chromos de dépliant touristique rétro. Puis survient l'accident fatal de bus. Blessée dans sa chair pour toujours, le corps torturé et corseté, Frida endure un calvaire qui durera jusqu'à sa mort, précoce, à 47 ans. Le film pointe cette souffrance, montrant en même temps la foi formidable qui animait l'artiste. Joie et tourment, lumière et noirceur y sont toujours étroitement liés. On croise des gens qui comptent (la photographe Tina Modotti, Léon Trostki), on voyage à New York, à Paris. La fête, l'allégresse, la poursuite d'un idéal alternent avec le chagrin, les désillusions, l'abandon. Et, bien sûr, Frida peint. S'amusant avec divers procédés (dont des images d'animation), la réalisatrice relie directement les épisodes aux tableaux. On peut trouver cela un brin illustratif et mécanique, même si l'on sait que l'art figuratif à vif de Kahlo, empreint de surréalisme et de culture populaire mexicaine, est largement autobiographique. C'est la limite du film, de reproduire une bio sans s'appuyer vraiment sur un point de vue nouveau ou extérieur. Reste un souffle, une intensité, la manière qu'a Frida de vivre pleinement au présent sans rien regretter ni sacrifier. C'est ce qui distingue cette femme libre et entière des icônes maudites habituelles : elle ne choisit pas l'art contre la vie. Le film se veut à l'unisson de ce principe. Hétérogène, éclatant et sombre, tantôt franchement conventionnel, tantôt poignant, il célèbre une artiste qui a fait de son existence une oeuvre d'art - Jacques Morice
Jacques Morice
http://www.telerama.fr/cinema/films/frida,116565,critique.php
http://www.mexique-fr.com/perso-diego-rivera-16.phpMots-clés : thème cinématographique film cinéma biographie artiste peinture Mexique condition féminine 20ème siècle Frida Kahlo 1907-1954 Rivera, Diego : 1886-1957 handicap couple : famille Etats-unis surréalisme comportement social Thème de fiction : artiste Type : document projeté ou vidéo ; fiction En ligne : http://www.mexique-fr.com/frida.php Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41251 DVD TAY DVD 3. DVDthèque Fictions Disponible
Titre : Mondovino Auteurs : Jonathan Nossiter, Auteur Editeur : TF1 Video, 2005 Importance : 1h85mn Langues : Français Langues originales : Américain Italien Résumé : Sur trois continents, Mondovino met en scène les sagas de succession de tout-puissants milliardaires de Napa, Californie, les rivalités de deux dynasties aristocrates florentines, et les conflits de trois générations d'une famille bourguignonne se battant pour conserver ses quelques hectares de vigne. Mais toutes ces luttes ne sont-elles pas secondaires à ce corsaire espiègle de Bordeaux portant allègrement la bonne parole de modernité de l'Italie à l'Argentine en passant par New York ?
C'est l'une des excellentes surprises du Festival de Cannes : l'autre documentaire engagé. Déjà, Jonathan Nossiter a une double spécialité qui parle à elle toute seule : il est cinéaste et œnologue. Il a entrepris une vaste enquête sur la situation du vin dans le monde. Visiblement impliqué, concerné, il pose les bonnes questions, se dirige vers les bonnes personnes et avec des moyens modestes , il réussit à traiter d'un sujet considérable, en termes économiques et culturels. Ce qui aurait pu être un honnête documentaire devient un film passionnant, grâce à la forte personnalité de nombreux intervenants, qui de vraies "gueules de cinéma" et à la notoriété incontestable de nombreux protagoniste du film (Robert Parker, Michel Rolland, la famille Mondavi... pour ne citer que ceux-là). Mondovino sera évidemment un régal pour les amateurs de vin, un miroir à la fois critique et amoureux pour les professionnels. Surtout il permettra à tous les néophytes de mieux comprendre cet univers. Car en sus du questionnement éminemment engagé du cinéaste, ce qui fait tout le prix et la valeur du film, est la passion pour le vin que l'on perçoit dans les dialogues, les coups de gueule et les paysages magnifiques qui ont pu être filmés.
(Source : Cinéma Jean Eustache à Pessac)
http://www.cepdivin.org/evenements/mondovino.htmlMots-clés : film cinéma documentaire vin Etats-Unis : Californie France : Bourgogne technique viticole viticulture appellation d'origine propriété industrielle savoir- faire de l'entreprise technique professionnelle gestion de l'entreprise gestion de l'exploitation agricole économie de marché relation économique internationale politique commerciale Italie enquête dynastie Type : document projeté ou vidéo ; documentaire Genre : enquête, reportage En ligne : http://www.cepdivin.org/evenements/mondovino.html Mondovino [document projeté ou vidéo] / Jonathan Nossiter, Auteur . - [S.l.] : TF1 Video, 2005 . - 1h85mn.
Langues : Français Langues originales : Américain Italien
Résumé : Sur trois continents, Mondovino met en scène les sagas de succession de tout-puissants milliardaires de Napa, Californie, les rivalités de deux dynasties aristocrates florentines, et les conflits de trois générations d'une famille bourguignonne se battant pour conserver ses quelques hectares de vigne. Mais toutes ces luttes ne sont-elles pas secondaires à ce corsaire espiègle de Bordeaux portant allègrement la bonne parole de modernité de l'Italie à l'Argentine en passant par New York ?
C'est l'une des excellentes surprises du Festival de Cannes : l'autre documentaire engagé. Déjà, Jonathan Nossiter a une double spécialité qui parle à elle toute seule : il est cinéaste et œnologue. Il a entrepris une vaste enquête sur la situation du vin dans le monde. Visiblement impliqué, concerné, il pose les bonnes questions, se dirige vers les bonnes personnes et avec des moyens modestes , il réussit à traiter d'un sujet considérable, en termes économiques et culturels. Ce qui aurait pu être un honnête documentaire devient un film passionnant, grâce à la forte personnalité de nombreux intervenants, qui de vraies "gueules de cinéma" et à la notoriété incontestable de nombreux protagoniste du film (Robert Parker, Michel Rolland, la famille Mondavi... pour ne citer que ceux-là). Mondovino sera évidemment un régal pour les amateurs de vin, un miroir à la fois critique et amoureux pour les professionnels. Surtout il permettra à tous les néophytes de mieux comprendre cet univers. Car en sus du questionnement éminemment engagé du cinéaste, ce qui fait tout le prix et la valeur du film, est la passion pour le vin que l'on perçoit dans les dialogues, les coups de gueule et les paysages magnifiques qui ont pu être filmés.
(Source : Cinéma Jean Eustache à Pessac)
http://www.cepdivin.org/evenements/mondovino.htmlMots-clés : film cinéma documentaire vin Etats-Unis : Californie France : Bourgogne technique viticole viticulture appellation d'origine propriété industrielle savoir- faire de l'entreprise technique professionnelle gestion de l'entreprise gestion de l'exploitation agricole économie de marché relation économique internationale politique commerciale Italie enquête dynastie Type : document projeté ou vidéo ; documentaire Genre : enquête, reportage En ligne : http://www.cepdivin.org/evenements/mondovino.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41358 DVD NOS DVD 3. DVDthèque Fictions Disponible PermalinkPermalinkPermalinkLes chariots de feu / Hugh Hudson / Twentieth Century Fox Home Entertainement LLC (2008)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkQuand j'étais chanteur / Xavier Giannoli / Europa Corp (2006)
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