Titre : | La maison économe: dépenser moins d'énergie pour vivre mieux | Auteurs : | Jean-Christian Lhomme, Auteur | Editeur : | Delachaux et Niestlé, 2007 | Importance : | 191 p. : ill. | Langues : | Français | | | Résumé : | Et si votre maison fabriquait plus d'énergie qu'elle n'en consomme ? C'est l'idée de la maison "à énergie positive". A l'heure où le coût de l'électricité, de l'eau ou du gaz augmente, alors que le réchauffement climatique menace et que l'on réclame toujours plus de confort, ce concept séduit de plus en plus d'architectes, de communes et de particuliers. Pour parvenir à des telles économies, il faut s'attaquer à toutes les pistes : des matériaux isolants performants, des panneaux solaires pour l'eau chaude et pour produire de l'électricité, des citernes pour récupérer l'eau de pluie, une pompe à chaleur pour réguler la température, des barrières végétales pour stopper le vent… Des mesures parfois chères, voir impossibles à réaliser sur des maisons existantes, mais simples et économiques à long terme pour des constructions neuves. L'ouvrage propose des pistes en abordant les installations solaires thermiques et photovoltaïques (fonctionnement, installation, efficacité, prix), le chauffe-eau solaire, la géothermie dans votre jardin, les chaudières à bois, les micro-éoliennes… Diviser la facture par deux ou par trois. Mais il est aussi nécessaire d'encourager ce type d'habitat. De ce point de vue, le gouvernement a mis en place diverses mesures fiscales, dont des crédits d'impôt allant jusqu'à 40% pour des installations "économes". A cela s'ajoutent fréquemment des subventions locales des régions ou des communes. Et pour ne pas perdre le consommateur, un label HQE (haute qualité environnementale), validé par l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la maîtrise de l'énergie) et le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment), a été créé.
Mais les transformations en profondeur, celles qui pourront diviser votre facture par deux ou par trois, nécessitent des aménagements plus lourds. Or le marché immobilier est en pleine effervescence, et si l'achat d'une maison se fait plus souvent sur des critères esthétiques ou économiques, le poids des factures à venir devrait faire réfléchir plus d'un investisseur.
C'est aussi l'idée centrale de La Maison économe, un ouvrage qui, loin de s'adresser aux bricoleurs du dimanche, réunit statistiques et conseils à destination de tous ceux qui veulent réduire leur consommation d'électricité à la maison.
L'auteur, Jean-Christian Lhomme, introduit son livre par un constat assez alarmiste sur la fin du pétrole, le réchauffement climatique, les émissions de divers gaz toxiques, la pollution de l'eau... et en conclut qu'il faut agir ! Bien calculer ses tranches horaires pour l'électricité, choisir ses ampoules (fluorescentes, halogènes, incandescentes ?), bien lire les étiquettes des appareils ménagers… Tout est passé en revue, chiffres à l'appui : vous allez faire des économies... Le taux d'équipement en appareils particulièrement gourmands en électricité ne cesse d'augmenter, et pour couronner le tout, la surface des logements devrait entraîner d'ici 2020 une augmentation de la consommation, malgré les progrès en matière d'économies d'énergies.
Un exemple de "maison passive", en Allemagne à Darmstadt
Devant cet état de fait, les initiatives se multiplient pour promouvoir les habitats "à énergie positive", les "maisons passives", ou les "maisons bioclimatiques". L'idée, c'est de limiter au maximum notre consommation d'énergie, tout en gardant un confort moderne. Et c'est possible !
Les expériences sont nombreuses : en Suisse, en Angleterre, ou en Allemagne, où des quartiers de Fribourg sont déjà totalement autonomes grâce à une petite centrale de cogénération pour 5000 habitants. Et La Maison économe s'attarde, en france, sur deux exemples de logements précurseurs : la maison Solareve et l'immeuble Salvatierra à Rennes.
La France qui est hélas, et nettement, le pire élève européen en matière de consommation d'énergie pour l'habitat : en Suède, une maison recquiert deux fois moins d'énergie, alors que les hivers y sont beaucoup plus rudes ! Pour une maison classique, la consommation avoisine les 130 kWh par mètre carré de surface chauffée par année, celui d'une maison passive est d'à peine 15 kWh par mètre carré par an.
| Mots-clés : | habitat bâtiment à usage d'habitation développement durable éco- consommation éducation à l'environnement protection de l'environnement gestion de l'environnement politique de l'environnement aménagement du territoire urbanisme équipement énergétique consommation d'énergie électricité lumière énergie renouvelable électricité photovoltaïque eau chude solaire géothermie Terre : planète bois maison passive économie d'énergie | En ligne : | http://www.linternaute.com/science/environnement/livres/05/maison-econome/maison [...] |
La maison économe : dépenser moins d'énergie pour vivre mieux [texte imprimé] / Jean-Christian Lhomme, Auteur . - [S.l.] : Delachaux et Niestlé, 2007 . - 191 p. : ill. ISBN : 978-2-603-01334-2 : 29.95 Langues : Français | | Résumé : | Et si votre maison fabriquait plus d'énergie qu'elle n'en consomme ? C'est l'idée de la maison "à énergie positive". A l'heure où le coût de l'électricité, de l'eau ou du gaz augmente, alors que le réchauffement climatique menace et que l'on réclame toujours plus de confort, ce concept séduit de plus en plus d'architectes, de communes et de particuliers. Pour parvenir à des telles économies, il faut s'attaquer à toutes les pistes : des matériaux isolants performants, des panneaux solaires pour l'eau chaude et pour produire de l'électricité, des citernes pour récupérer l'eau de pluie, une pompe à chaleur pour réguler la température, des barrières végétales pour stopper le vent… Des mesures parfois chères, voir impossibles à réaliser sur des maisons existantes, mais simples et économiques à long terme pour des constructions neuves. L'ouvrage propose des pistes en abordant les installations solaires thermiques et photovoltaïques (fonctionnement, installation, efficacité, prix), le chauffe-eau solaire, la géothermie dans votre jardin, les chaudières à bois, les micro-éoliennes… Diviser la facture par deux ou par trois. Mais il est aussi nécessaire d'encourager ce type d'habitat. De ce point de vue, le gouvernement a mis en place diverses mesures fiscales, dont des crédits d'impôt allant jusqu'à 40% pour des installations "économes". A cela s'ajoutent fréquemment des subventions locales des régions ou des communes. Et pour ne pas perdre le consommateur, un label HQE (haute qualité environnementale), validé par l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la maîtrise de l'énergie) et le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment), a été créé.
Mais les transformations en profondeur, celles qui pourront diviser votre facture par deux ou par trois, nécessitent des aménagements plus lourds. Or le marché immobilier est en pleine effervescence, et si l'achat d'une maison se fait plus souvent sur des critères esthétiques ou économiques, le poids des factures à venir devrait faire réfléchir plus d'un investisseur.
C'est aussi l'idée centrale de La Maison économe, un ouvrage qui, loin de s'adresser aux bricoleurs du dimanche, réunit statistiques et conseils à destination de tous ceux qui veulent réduire leur consommation d'électricité à la maison.
L'auteur, Jean-Christian Lhomme, introduit son livre par un constat assez alarmiste sur la fin du pétrole, le réchauffement climatique, les émissions de divers gaz toxiques, la pollution de l'eau... et en conclut qu'il faut agir ! Bien calculer ses tranches horaires pour l'électricité, choisir ses ampoules (fluorescentes, halogènes, incandescentes ?), bien lire les étiquettes des appareils ménagers… Tout est passé en revue, chiffres à l'appui : vous allez faire des économies... Le taux d'équipement en appareils particulièrement gourmands en électricité ne cesse d'augmenter, et pour couronner le tout, la surface des logements devrait entraîner d'ici 2020 une augmentation de la consommation, malgré les progrès en matière d'économies d'énergies.
Un exemple de "maison passive", en Allemagne à Darmstadt
Devant cet état de fait, les initiatives se multiplient pour promouvoir les habitats "à énergie positive", les "maisons passives", ou les "maisons bioclimatiques". L'idée, c'est de limiter au maximum notre consommation d'énergie, tout en gardant un confort moderne. Et c'est possible !
Les expériences sont nombreuses : en Suisse, en Angleterre, ou en Allemagne, où des quartiers de Fribourg sont déjà totalement autonomes grâce à une petite centrale de cogénération pour 5000 habitants. Et La Maison économe s'attarde, en france, sur deux exemples de logements précurseurs : la maison Solareve et l'immeuble Salvatierra à Rennes.
La France qui est hélas, et nettement, le pire élève européen en matière de consommation d'énergie pour l'habitat : en Suède, une maison recquiert deux fois moins d'énergie, alors que les hivers y sont beaucoup plus rudes ! Pour une maison classique, la consommation avoisine les 130 kWh par mètre carré de surface chauffée par année, celui d'une maison passive est d'à peine 15 kWh par mètre carré par an.
| Mots-clés : | habitat bâtiment à usage d'habitation développement durable éco- consommation éducation à l'environnement protection de l'environnement gestion de l'environnement politique de l'environnement aménagement du territoire urbanisme équipement énergétique consommation d'énergie électricité lumière énergie renouvelable électricité photovoltaïque eau chude solaire géothermie Terre : planète bois maison passive économie d'énergie | En ligne : | http://www.linternaute.com/science/environnement/livres/05/maison-econome/maison [...] |
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