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Signes d'identité: tatouages, piercings et autres marques corporelles / David Le Breton / Paris : Métailié (2002)
Titre : Signes d'identité: tatouages, piercings et autres marques corporelles Auteurs : David Le Breton, Auteur Editeur : Paris : Métailié, 2002 Collection : Traversées Importance : 224 p. Langues : Français Résumé : L'industrie du design corporel s'épanouit.Le corps est devenu la prothèse d'un moi éternellement en quête d'une incarnation pour sursignifier sa présence au monde, pour adhérer à soi. Tatouage et piercing sortis de la marginalité sont devenus les accessoires de la mise en scène de soi. Partant du constat que le " corps marqué " a, depuis l'Antiquité et dans les sociétés traditionnelles, été l'expression d'un parcours d'un message et surtout d'une identité, David Le Breton montre comment l'Eglise s'est fortement opposée à cette pratique, mais aussi comment, après les marins et les soldats, la justice s'en est emparée comme d'une " marque infamante ".
Il étudie la façon dont le tatouage intervient comme langage de révolte jusqu'à aujourd'hui où le piercing est bel et bien une identité à fleur de peau qui concerne la jeunesse. David Le Breton s'appuie sur une recherche de terrain pour analyser successivement : les marques corporelles dans les sociétés occidentales, le passage de la dissidence à l'affirmation de soi, la recherche d'une identité, les rites de passage, la naissance d'une culture.
Il s'intéresse à la différence entre souffrance, douleur et plaisir sexuel qui restent liés à l'acte même du piercing. Il note enfin ce paradoxe selon lequel, si ce système de marquage corporel régresse fortement dans les sociétés traditionnelles, il se développe de façon rapide et inventive dans le monde occidental nanti, et il s'interroge sur notre désir individualiste de vouloir modifier notre corps.
Extrêmement documenté, son livre fait le tour de la question, tant historique qu'anthropologique et philosophique, sur une mode nouvelle et en pleine expansion.Mots-clés : tatouage piercing modification corporelle monde identité rite de passage société occidentale Index. décimale : 391 Mode Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Signes d'identité: tatouages, piercings et autres marques corporelles [texte imprimé] / David Le Breton, Auteur . - Paris : Métailié, 2002 . - 224 p.. - (Traversées) .
ISBN : 978-2-86424-426-4 : 18
Langues : Français
Résumé : L'industrie du design corporel s'épanouit.Le corps est devenu la prothèse d'un moi éternellement en quête d'une incarnation pour sursignifier sa présence au monde, pour adhérer à soi. Tatouage et piercing sortis de la marginalité sont devenus les accessoires de la mise en scène de soi. Partant du constat que le " corps marqué " a, depuis l'Antiquité et dans les sociétés traditionnelles, été l'expression d'un parcours d'un message et surtout d'une identité, David Le Breton montre comment l'Eglise s'est fortement opposée à cette pratique, mais aussi comment, après les marins et les soldats, la justice s'en est emparée comme d'une " marque infamante ".
Il étudie la façon dont le tatouage intervient comme langage de révolte jusqu'à aujourd'hui où le piercing est bel et bien une identité à fleur de peau qui concerne la jeunesse. David Le Breton s'appuie sur une recherche de terrain pour analyser successivement : les marques corporelles dans les sociétés occidentales, le passage de la dissidence à l'affirmation de soi, la recherche d'une identité, les rites de passage, la naissance d'une culture.
Il s'intéresse à la différence entre souffrance, douleur et plaisir sexuel qui restent liés à l'acte même du piercing. Il note enfin ce paradoxe selon lequel, si ce système de marquage corporel régresse fortement dans les sociétés traditionnelles, il se développe de façon rapide et inventive dans le monde occidental nanti, et il s'interroge sur notre désir individualiste de vouloir modifier notre corps.
Extrêmement documenté, son livre fait le tour de la question, tant historique qu'anthropologique et philosophique, sur une mode nouvelle et en pleine expansion.Mots-clés : tatouage piercing modification corporelle monde identité rite de passage société occidentale Index. décimale : 391 Mode Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37988 391.65 BRE Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible
Titre : Orlanda Auteurs : Jacqueline Harpman, Auteur Editeur : B. Grasset, 1996 Importance : 294 p. Note générale : PRIX MEDICIS EX AEQUO 1996 Langues : Français Résumé : Habiter un autre corps :
Dans ce roman, Jacqueline Harpman explore le volet caché de la personnalité, cette part de nous que l'on refoule, les désirs enfouis et les règles que l’on s'impose…
Assise à une terrasse, Aline s'ennuie devant l'« Orlando » de Virginia Woolf. Elle est enseignante, tout ce qu'il y a de plus respectable, féminine à tous points de vue. Chez elle, la raison prend souvent le dessus sur la passion… Aline Berger est professeur de littérature anglaise à l'Université. C'est une jeune femme belle, avenante, conformiste, qui mène une vie rangée, elle partage sa vie avec un homme qui sait qu'il ne doit pas la demander en mariage, ils ont un superbe appartement, des vies professionnelles satisfaisantes.
Un jour, la part masculine d'Aline abandonne son corps de femme pour celui de Lucien, un beau jeune homme. La part masculine de Aline qui se surnomme elle-même Orlanda tente une expérience que personne d'autre n'a tenté, elle bondit hors du corps d'Aline pour intégrer le corps de Lucien. Quel choc extraordinaire ! c'est sublime ! Orlande jouit terriblement du moment. Et décide de multiplier les expériences à commencer par découvrir où et comment
vit Lucien. Dès qu'Orlanda a pris place, le piètre Lucien s'est tu !
Aline pour sa part se retrouve avec sa seule part féminine et est passablement désorientée ! Mais elle se remet vite, et ne se trouble pas outre mesure, sur le moment du moins, de sa légère faiblesse.
Et voilà que la part masculine de son identité s’échappe et va se loger chez un jeune homme assis en face. Elle ne s’en aperçoit pas mais cette partie scindée d’elle-même sait où elle va et sera à la fois Aline et Lucien : Orlanda. Libéré de ses entraves et de cet espace clos de l'esprit où Aline l'avait relégué, Orlanda va accumuler les aventures où la porte ne sera plus fermée aux interdits. « Le temps nous tue, seconde après seconde, et, stupides que nous sommes, nous ne renonçons pas à l’impatience ». Inconséquent, insouciant, il va vivre tout ce qu'Aline s'était toujours refusé.
Pourtant, deux parts d'une même âme finissent bien par avoir à nouveau besoin l’une de l'autre et la rencontre entre Aline et cette moitié d'elle qui l’a abandonnée la mettra face à des vérités qu'elle s’était dissimulées jusque là. « Je disparaissais de ce que tu nommais toi à mesure que tu me constituais ». Parce qu’Orlanda est tout ce qu'Aline a été obligée de renier pour le bien d’une éducation maternelle sans faille.
C'est au fil du temps que la dualité masculin-féminin va s'imposer au lecteur. Jacqueline Harmpan a un véritable talent pour définir la psychologie des personnages. Ici Aline et Lucien se rencontrent à maintes reprises, se complètent, quand tous les différencient. Ils sont conditionnés par le corps qui les transportent et c'est avec un sens aigu de l'analyse que nous suivons leur cheminement, leurs interrogations, leurs promenades dans les rues de Bruxelles.
Le dénouement final est surprenant.
Une fois de plus, Jacqueline Harpman met en Ïuvre ses connaissances de psychanalyste et ses talents d’écrivain au profit d'un assez bon roman où elle sonde les énigmes de la personnalité, de la sexualité et de l’identité. Qui est JE ? Comme les événements de la vie nous modèlent et font de nous ce que nous sommes, consciemment et inconsciemment.
Une fois encore, cette recherche de la parfaite complémentarité de deux êtres. La complétude des âmes, idée souvent abordée dans ses romans. « Androgynes brisés par la colère des dieux jaloux, nous galopons vers notre moitié perdue, nous tentons de reconstituer l'unité des origines : où est mon autre moi ? ». Ici, Aline perd une moitié d'elle-même pour mieux se découvrir et vivre.
Devenir autre. Vivre à travers une identité différente, un autre corps, les aventures, les passions, les désirs qui nous sont interdits... Ce vieux rêve que chacun de nous a fait un jour, Aline, jeune enseignante à la vie (trop) rangée, le conçoit à son tour en regardant un beau garçon blond, Lucien.
Et l’impossible se produit : une partie d’elle-même, sa part masculine, abandonne son corps de femme pour celui du jeune inconnu. Elle est Lucien et Aline. L’auteur baptise le nouveau personnage Orlanda. Voici Aline entraînée, à la fois témoin et actrice, dans un tourbillon d’aventures, de situations tour à tour enivrantes et drôles, où va se révéler la face cachée de ses désirs…
En hommage à l'Orlando de Virginia Woolf - mais aussi dans une tradition où "Si j'étais vous... de Julien Green" rejoint le mythe faustien -, la romancière de "Moi qui n'ai pas connu les hommes" nous convie à explorer les mystères de l'identité et de la sexualité, avec un humour, un sens de l'imprévu et du romanesque qui lui ont valu le prix Médicis 1996.Mots-clés : thème littéraire identité identité sexuelle condition masculine condition féminine représentation mentale aventures : genre mythe personnage mythique Woolf, Virginia : 1882- 1941 relation homme-femme sexualité liberté éducation comportement social comportement sexuel relation parent-enfant Bruxelles : Belgique développement psychique androgyne Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://is.muni.cz/th/178518/ff_b/Le_mythe_de_l_androgyne_dans_le_roman_de_Jacque [...] Orlanda [texte imprimé] / Jacqueline Harpman, Auteur . - [S.l.] : B. Grasset, 1996 . - 294 p.
ISBN : 978-2-246-53211-8 : 119,00
PRIX MEDICIS EX AEQUO 1996
Langues : Français
Résumé : Habiter un autre corps :
Dans ce roman, Jacqueline Harpman explore le volet caché de la personnalité, cette part de nous que l'on refoule, les désirs enfouis et les règles que l’on s'impose…
Assise à une terrasse, Aline s'ennuie devant l'« Orlando » de Virginia Woolf. Elle est enseignante, tout ce qu'il y a de plus respectable, féminine à tous points de vue. Chez elle, la raison prend souvent le dessus sur la passion… Aline Berger est professeur de littérature anglaise à l'Université. C'est une jeune femme belle, avenante, conformiste, qui mène une vie rangée, elle partage sa vie avec un homme qui sait qu'il ne doit pas la demander en mariage, ils ont un superbe appartement, des vies professionnelles satisfaisantes.
Un jour, la part masculine d'Aline abandonne son corps de femme pour celui de Lucien, un beau jeune homme. La part masculine de Aline qui se surnomme elle-même Orlanda tente une expérience que personne d'autre n'a tenté, elle bondit hors du corps d'Aline pour intégrer le corps de Lucien. Quel choc extraordinaire ! c'est sublime ! Orlande jouit terriblement du moment. Et décide de multiplier les expériences à commencer par découvrir où et comment
vit Lucien. Dès qu'Orlanda a pris place, le piètre Lucien s'est tu !
Aline pour sa part se retrouve avec sa seule part féminine et est passablement désorientée ! Mais elle se remet vite, et ne se trouble pas outre mesure, sur le moment du moins, de sa légère faiblesse.
Et voilà que la part masculine de son identité s’échappe et va se loger chez un jeune homme assis en face. Elle ne s’en aperçoit pas mais cette partie scindée d’elle-même sait où elle va et sera à la fois Aline et Lucien : Orlanda. Libéré de ses entraves et de cet espace clos de l'esprit où Aline l'avait relégué, Orlanda va accumuler les aventures où la porte ne sera plus fermée aux interdits. « Le temps nous tue, seconde après seconde, et, stupides que nous sommes, nous ne renonçons pas à l’impatience ». Inconséquent, insouciant, il va vivre tout ce qu'Aline s'était toujours refusé.
Pourtant, deux parts d'une même âme finissent bien par avoir à nouveau besoin l’une de l'autre et la rencontre entre Aline et cette moitié d'elle qui l’a abandonnée la mettra face à des vérités qu'elle s’était dissimulées jusque là. « Je disparaissais de ce que tu nommais toi à mesure que tu me constituais ». Parce qu’Orlanda est tout ce qu'Aline a été obligée de renier pour le bien d’une éducation maternelle sans faille.
C'est au fil du temps que la dualité masculin-féminin va s'imposer au lecteur. Jacqueline Harmpan a un véritable talent pour définir la psychologie des personnages. Ici Aline et Lucien se rencontrent à maintes reprises, se complètent, quand tous les différencient. Ils sont conditionnés par le corps qui les transportent et c'est avec un sens aigu de l'analyse que nous suivons leur cheminement, leurs interrogations, leurs promenades dans les rues de Bruxelles.
Le dénouement final est surprenant.
Une fois de plus, Jacqueline Harpman met en Ïuvre ses connaissances de psychanalyste et ses talents d’écrivain au profit d'un assez bon roman où elle sonde les énigmes de la personnalité, de la sexualité et de l’identité. Qui est JE ? Comme les événements de la vie nous modèlent et font de nous ce que nous sommes, consciemment et inconsciemment.
Une fois encore, cette recherche de la parfaite complémentarité de deux êtres. La complétude des âmes, idée souvent abordée dans ses romans. « Androgynes brisés par la colère des dieux jaloux, nous galopons vers notre moitié perdue, nous tentons de reconstituer l'unité des origines : où est mon autre moi ? ». Ici, Aline perd une moitié d'elle-même pour mieux se découvrir et vivre.
Devenir autre. Vivre à travers une identité différente, un autre corps, les aventures, les passions, les désirs qui nous sont interdits... Ce vieux rêve que chacun de nous a fait un jour, Aline, jeune enseignante à la vie (trop) rangée, le conçoit à son tour en regardant un beau garçon blond, Lucien.
Et l’impossible se produit : une partie d’elle-même, sa part masculine, abandonne son corps de femme pour celui du jeune inconnu. Elle est Lucien et Aline. L’auteur baptise le nouveau personnage Orlanda. Voici Aline entraînée, à la fois témoin et actrice, dans un tourbillon d’aventures, de situations tour à tour enivrantes et drôles, où va se révéler la face cachée de ses désirs…
En hommage à l'Orlando de Virginia Woolf - mais aussi dans une tradition où "Si j'étais vous... de Julien Green" rejoint le mythe faustien -, la romancière de "Moi qui n'ai pas connu les hommes" nous convie à explorer les mystères de l'identité et de la sexualité, avec un humour, un sens de l'imprévu et du romanesque qui lui ont valu le prix Médicis 1996.Mots-clés : thème littéraire identité identité sexuelle condition masculine condition féminine représentation mentale aventures : genre mythe personnage mythique Woolf, Virginia : 1882- 1941 relation homme-femme sexualité liberté éducation comportement social comportement sexuel relation parent-enfant Bruxelles : Belgique développement psychique androgyne Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://is.muni.cz/th/178518/ff_b/Le_mythe_de_l_androgyne_dans_le_roman_de_Jacque [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7343 R HAR Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La chambre dérobée. Trilogie new-yorkaise. 3 Auteurs : Paul Auster, Auteur Editeur : Actes Sud, 1988 Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : Refusé par 17 éditeurs. C’est ainsi que « Cité de verre », le chef d’œuvre de Paul Auster qui ouvre sa trilogie new-yorkaise (complété par la suite de deux autres récits « Revenants » et « La chambre dérobée » parus en 1988) a commencé sa carrière littéraire. Lorsqu'il paraît enfin, en 1985, c’est le début de la consécration pour son auteur (qui aura bien tiré « le diable par la queue » auparavant, comme il le raconte dans un essai éponyme) qui est sélectionné pour le prix Edgar Allan Poe du roman à suspense, l'une des plus importantes distinctions, et considéré comme la grande révélation littéraire de l'année. C’est en France que l’accueil sera le plus enthousiaste : ses ouvrages sortent d’ailleurs dans l’hexagone avant d'être publiés aux Etats-Unis.
Ici, c'est l'amitié entre deux hommes, le narrateur et Fanshawe son ami d'enfance que nous suivons par flash-backs au fur et à mesure que le héros en dresse la biographie. Le premier est appelé par la femme du second des années plus tard pour le rechercher après sa mystérieuse disparition. Elle lui confie notamment la lourde responsabilité de faire éditer son oeuvre "posthume" (sans savoir s'il est réellement mort, ce que l'on découvrira -entre autres- au fil du récit). Insidieusement le narrateur va alors s'emparer de la vie de son meilleur ami, de sa femme, de son enfant et même de son œuvre dont on croit qu'il est l'auteur...
Hanté par ce dernier, il tente malgré tout de le retrouver. In fine, cette quête impossible nous ramène encore une fois à la dimension virtuelle inhérente à nos vies, à nos constructions intérieures (on repense aussi au mythe du Paradis dans "Cité de verre") et à l'impossibilité de se fuir : "Après tous ces mois où j'avais essayé de le débusquer, j'avais l'impression que c'était moi qui venais d'être découvert. Au lieu de chercher Fanshawe, je m'étais en fait sauvé de lui. (...) Fanshawe était précisément là où je me trouvais. (...) Fanshawe seul dans cette pièce, condamné à une solitude mythique (...) Cette chambre je m'en apercevais à présent, était située sous mon crâne."
Ce récit annonce le roman "Léviathan" (1993) qui aborde aussi le thème de l'amitié masculine, de l'échange et du basculement de leurs vies réciproques.
Dans "La chambre dérobée", il explore plus particulièrement la question des destinées (directement liée aux contingences). Pourquoi devient-on celui qu'on est ? Qu'est ce qui peut faire basculer, "éclater" une vie ? Il prolonge le thème de l'imposture et de la vie par procuration (vivre sa vie à travers l'autre en se fondant dans son identité) mais aussi fait encore un écho (inversé ici) à l'histoire de Cervantes et de son Don Quichotte dont il niait la paternité. "Les circonstances dans lesquelles les vies changent de cours sont si diverses qu'il paraît impossible de dire quoi que ce soit sur un homme avant sa mort."Mots-clés : thème littéraire Etats-unis 1980- New-York : Etats-unis Disparition couple : famille Amitié mystère identité ecrivain écriture quête du moi quête Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.buzz-litteraire.com/index.php?2009/02/02/720-la-trilogie-new-yorkaise [...] La chambre dérobée. Trilogie new-yorkaise. 3 [texte imprimé] / Paul Auster, Auteur . - [S.l.] : Actes Sud, 1988.
ISBN : 978-2-253-13520-3
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : Refusé par 17 éditeurs. C’est ainsi que « Cité de verre », le chef d’œuvre de Paul Auster qui ouvre sa trilogie new-yorkaise (complété par la suite de deux autres récits « Revenants » et « La chambre dérobée » parus en 1988) a commencé sa carrière littéraire. Lorsqu'il paraît enfin, en 1985, c’est le début de la consécration pour son auteur (qui aura bien tiré « le diable par la queue » auparavant, comme il le raconte dans un essai éponyme) qui est sélectionné pour le prix Edgar Allan Poe du roman à suspense, l'une des plus importantes distinctions, et considéré comme la grande révélation littéraire de l'année. C’est en France que l’accueil sera le plus enthousiaste : ses ouvrages sortent d’ailleurs dans l’hexagone avant d'être publiés aux Etats-Unis.
Ici, c'est l'amitié entre deux hommes, le narrateur et Fanshawe son ami d'enfance que nous suivons par flash-backs au fur et à mesure que le héros en dresse la biographie. Le premier est appelé par la femme du second des années plus tard pour le rechercher après sa mystérieuse disparition. Elle lui confie notamment la lourde responsabilité de faire éditer son oeuvre "posthume" (sans savoir s'il est réellement mort, ce que l'on découvrira -entre autres- au fil du récit). Insidieusement le narrateur va alors s'emparer de la vie de son meilleur ami, de sa femme, de son enfant et même de son œuvre dont on croit qu'il est l'auteur...
Hanté par ce dernier, il tente malgré tout de le retrouver. In fine, cette quête impossible nous ramène encore une fois à la dimension virtuelle inhérente à nos vies, à nos constructions intérieures (on repense aussi au mythe du Paradis dans "Cité de verre") et à l'impossibilité de se fuir : "Après tous ces mois où j'avais essayé de le débusquer, j'avais l'impression que c'était moi qui venais d'être découvert. Au lieu de chercher Fanshawe, je m'étais en fait sauvé de lui. (...) Fanshawe était précisément là où je me trouvais. (...) Fanshawe seul dans cette pièce, condamné à une solitude mythique (...) Cette chambre je m'en apercevais à présent, était située sous mon crâne."
Ce récit annonce le roman "Léviathan" (1993) qui aborde aussi le thème de l'amitié masculine, de l'échange et du basculement de leurs vies réciproques.
Dans "La chambre dérobée", il explore plus particulièrement la question des destinées (directement liée aux contingences). Pourquoi devient-on celui qu'on est ? Qu'est ce qui peut faire basculer, "éclater" une vie ? Il prolonge le thème de l'imposture et de la vie par procuration (vivre sa vie à travers l'autre en se fondant dans son identité) mais aussi fait encore un écho (inversé ici) à l'histoire de Cervantes et de son Don Quichotte dont il niait la paternité. "Les circonstances dans lesquelles les vies changent de cours sont si diverses qu'il paraît impossible de dire quoi que ce soit sur un homme avant sa mort."Mots-clés : thème littéraire Etats-unis 1980- New-York : Etats-unis Disparition couple : famille Amitié mystère identité ecrivain écriture quête du moi quête Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.buzz-litteraire.com/index.php?2009/02/02/720-la-trilogie-new-yorkaise [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 219 R AUS Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La fille aux cheveux rouges. Le chemin de cendre Auteurs : Serge Brussolo Editeur : J'ai lu, 2006 Collection : Thriller, ISSN 0990-3151 Importance : 252 p. Langues : Français Résumé : Londres, 1940. Le monde est en plein conflit et l’Angleterre tremble sous les bombardements allemands. Au cœur de cet enfer, une jeune fille à la chevelure rouge sang survit à une explosion. Devenue amnésique, rebaptisée Amy Sweetheart, elle se pose inlassablement la même question : « Qui suisje ? » De nombreux dangers rôdent. Qui est cet homme mystérieux qui la suit dissimulé derrière un masque à gaz ? Et ce militaire psychopathe qui la prend pour une espionne et n’a plus qu’une seule obsession, la tuer ? Pour découvrir son identité, Amy se rend au château des Ashden où semblent dormir toutes les réponses. Dans le village incendié, Amy mène la plus troublante des enquêtes pour tenter de savoir qui elle est... L’enquête devient alors mortelle… Mots-clés : thème littéraire 1940- mémoire amnésie Londres : Angleterre guerre mondiale : 1939-1945 militaire angoisse identité enquête château Thème de fiction : policier Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://polars.pourpres.net/?aff-pol_per-2-per_129 La fille aux cheveux rouges. Le chemin de cendre [texte imprimé] / Serge Brussolo . - [S.l.] : J'ai lu, 2006 . - 252 p.. - (Thriller, ISSN 0990-3151) .
ISBN : 978-2-290-35093-5
Langues : Français
Résumé : Londres, 1940. Le monde est en plein conflit et l’Angleterre tremble sous les bombardements allemands. Au cœur de cet enfer, une jeune fille à la chevelure rouge sang survit à une explosion. Devenue amnésique, rebaptisée Amy Sweetheart, elle se pose inlassablement la même question : « Qui suisje ? » De nombreux dangers rôdent. Qui est cet homme mystérieux qui la suit dissimulé derrière un masque à gaz ? Et ce militaire psychopathe qui la prend pour une espionne et n’a plus qu’une seule obsession, la tuer ? Pour découvrir son identité, Amy se rend au château des Ashden où semblent dormir toutes les réponses. Dans le village incendié, Amy mène la plus troublante des enquêtes pour tenter de savoir qui elle est... L’enquête devient alors mortelle… Mots-clés : thème littéraire 1940- mémoire amnésie Londres : Angleterre guerre mondiale : 1939-1945 militaire angoisse identité enquête château Thème de fiction : policier Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://polars.pourpres.net/?aff-pol_per-2-per_129 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 35980 RP BRU Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Filles et garçons à l'école : une égalité à reconstruire Auteurs : Françoise Vouillot, Auteur Editeur : SCEREN-CNDP, 1999 Collection : Autrement dit Importance : 160 p. Langues : Français Résumé : L’ouvrage traite de la mixité en milieu scolaire, des politiques d’égalité entre les filles et les garçons et des taux de réussite des filles dans certaines disciplines comme les mathématiques ou l’éducation physique. Il s’attache à montrer les différences de sexe et la construction de ces différences (différenciation psychologique, construction de l’identité masculine et féminine, construction des compétences scolaires). Mots-clés : France 20ème siècle discrimination sexuelle condition féminine représentation mentale droits de la femme éducation égalité des chances en éducation principe d'éducation mixité en éducation relation enseignant-apprenant orientation scolaire orientation professionnelle identité développement de la personnalité Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire En ligne : http://www.crdp-toulouse.fr/spip.php?page=dossier&article=1184&theme=3&num_dossi [...] Filles et garçons à l'école : une égalité à reconstruire [texte imprimé] / Françoise Vouillot, Auteur . - [S.l.] : SCEREN-CNDP, 1999 . - 160 p.. - (Autrement dit) .
ISBN : 978-2-240-00541-0 : 14.48
Langues : Français
Résumé : L’ouvrage traite de la mixité en milieu scolaire, des politiques d’égalité entre les filles et les garçons et des taux de réussite des filles dans certaines disciplines comme les mathématiques ou l’éducation physique. Il s’attache à montrer les différences de sexe et la construction de ces différences (différenciation psychologique, construction de l’identité masculine et féminine, construction des compétences scolaires). Mots-clés : France 20ème siècle discrimination sexuelle condition féminine représentation mentale droits de la femme éducation égalité des chances en éducation principe d'éducation mixité en éducation relation enseignant-apprenant orientation scolaire orientation professionnelle identité développement de la personnalité Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire En ligne : http://www.crdp-toulouse.fr/spip.php?page=dossier&article=1184&theme=3&num_dossi [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43999 305.4 VOU Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible PermalinkPermalinkJenna Fox, pour toujours / Mary E Pearson / Editions des Grandes Personnes (2010)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'Infortunée / Wesley Stace / Flammarion (2006)
PermalinkAu bord du précipice et autres nouvelles / Richard Matheson / Flammarion (2007)
PermalinkPermalinkPermalinkL'Etrange Cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde / Robert Louis Stevenson / Librairie générale française (2009)
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