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La bêtise économique / Catherine Malaval / Perrin (2008)
Titre : La bêtise économique Auteurs : Catherine Malaval, Auteur ; Robert Zarader, Auteur Editeur : Perrin, 2008 Collection : Economiques (Paris. 2008) Importance : 1 vol. (206 p.) ; couv. ill. ; 21 cm Note générale : Bibliogr. p. 383-404. Index Langues : Français Résumé : Les relations qu'entretiennent les entreprises avec les médias, les politiques et l'opinion à travers les histoires de LU-Danone, Metaleurop Nord et Lassale-Toyal. Les difficultés de la puissance publique à affirmer des stratégies industrielles locales ou nationales. Mots-clés : média 2000- crise entreprise politique économique opinion publique Index. décimale : 338 Production Type : texte imprimé ; documentaire Genre : enquête, reportage La bêtise économique [texte imprimé] / Catherine Malaval, Auteur ; Robert Zarader, Auteur . - [S.l.] : Perrin, 2008 . - 1 vol. (206 p.) ; couv. ill. ; 21 cm. - (Economiques (Paris. 2008)) .
ISBN : 978-2-262-02788-9 : 14,80
Bibliogr. p. 383-404. Index
Langues : Français
Résumé : Les relations qu'entretiennent les entreprises avec les médias, les politiques et l'opinion à travers les histoires de LU-Danone, Metaleurop Nord et Lassale-Toyal. Les difficultés de la puissance publique à affirmer des stratégies industrielles locales ou nationales. Mots-clés : média 2000- crise entreprise politique économique opinion publique Index. décimale : 338 Production Type : texte imprimé ; documentaire Genre : enquête, reportage Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 39569 338.7 MAL Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible Les grandes questions de la société française / Marie-Laure Potin-Sassot / Nathan (2000)
Titre : Les grandes questions de la société française Auteurs : Marie-Laure Potin-Sassot, Auteur Editeur : Nathan, 2000 Importance : 348p. Index des définitions Langues : Français Résumé : *Mutations culturelles et évolutions démographiques.
*La montée de l'individualisme et affaiblissement du lien social.
*Les classes sociales : notion obsolète ou évolutive.
*De l'intégration à l'exclusion.
*Les mutations du travail.
*Opinion et mass média.
*Entre individualisme et mondialisation, quelle place pour la nation ?Mots-clés : classe sociale étude démographique travail relation sociale individualisme mobilité sociale exclusion sociale emploi média opinion publique démocratie éducation évolution Index. décimale : 301 Sociologie Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Les grandes questions de la société française [texte imprimé] / Marie-Laure Potin-Sassot, Auteur . - [S.l.] : Nathan, 2000 . - 348p. Index des définitions.
ISBN : 978-2-09-190857-1 : 129,00
Langues : Français
Résumé : *Mutations culturelles et évolutions démographiques.
*La montée de l'individualisme et affaiblissement du lien social.
*Les classes sociales : notion obsolète ou évolutive.
*De l'intégration à l'exclusion.
*Les mutations du travail.
*Opinion et mass média.
*Entre individualisme et mondialisation, quelle place pour la nation ?Mots-clés : classe sociale étude démographique travail relation sociale individualisme mobilité sociale exclusion sociale emploi média opinion publique démocratie éducation évolution Index. décimale : 301 Sociologie Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 14701 301 CRO Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible Le Chagrin et le Venin / Pierre Laborie / Bayard (2011)
Titre : Le Chagrin et le Venin: La France sous l'Occupation, mémoire et idées reçues Auteurs : Pierre Laborie, Auteur Editeur : Bayard, 2011 Importance : 355 p. Langues : Français Résumé : En prenant l'exemple de la France occupée, P. Laborie montre comment le présent et ses préoccupations dictent l'écriture du passé et l'instrumentalisent. L'auteur retrace l'histoire de la construction de la vision de la France occupée telle qu'elle domine actuellement, en analysant les grandes étapes depuis la sortie du film Le chagrin et la pitié aux années 1970.
«Les hommes ressemblent plus à leur temps qu'à leurs pères (...) Les faits historiques sont, par essence, des faits psychologiques», écrivait Marc Bloch dans L'Étrange Défaite, que cite Pierre Laborie en exergue de son dernier chapitre. C'est pourquoi, sans doute, l'une des missions de l'historien est d'interroger le bien-fondé de nos représentations. D'en établir, pour le dire comme Nietzsche, la généalogie. Chaque histoire a une histoire, et même une préhistoire. Pierre Laborie s'attelle à cette délicate tâche en regardant la manière dont le discours dominant sur les années noires s'est construit depuis la fin de la guerre, pour en dresser les lignes directrices et les errements. En mécanicien éclairé de nos représentations, il les démonte pour en établir les constructions et les faux-semblants. Un travail qui relève à la fois de l'épistémologie et de l'historiographie.
Mais le terrain choisi par Pierre Laborie est miné. L'histoire des Français de 1940 à 1945 n'est en rien, en 2011, un sujet froid. Elle est même chargée d'une passion et d'un affect qui rendent presque impossible toute excursion distanciée sur ce terrain. D'autant qu'elle est traversée par des enjeux de mémoire, de réparation, de justice, de légitimation politique, idéologique et culturelle. Le centre de gravité de la France de l'après-Occupation a trouvé sa place, on le sait, en référence à cette Occupation. Dans la construction de notre vision des années sombres, Pierre Laborie distingue deux grandes séquences, l'avant et l'après-film de Marcel Ophüls Le Chagrin et la Pitié (1969). À la légende rose d'une France résistante, s'est substituée dans le discours dominant la légende noire d'une France collaboratrice et opportuniste.
Selon cette vulgate, les Français dans leur grande majorité auraient surtout été occupés à durer, indifférents au sort des persécutés, attendant jusqu'au dernier moment de choisir leur camp. Marcel Ophüls est apparu comme le grand démystificateur de la légende rose pour nous dire, lui, ce qu'a réellement été cette époque. Travail de catharsis qui, rappelle l'auteur, se situe dans les suites de Mai-68 et qui coïncide avec la publication de La France de Vichy, de Robert Paxton (1973). L'histoire de la Résistance fut la grande victime de ce changement de perspective: «Longtemps solidaire du souvenir de la déportation, de l'héroïsme, du sacrifice et du martyre étendu à celui des populations, la Résistance a quitté la place primordiale qu'elle tenait dans la mémoire des années de guerre pour glisser vers la périphérie où elle se trouve aujourd'hui. Depuis les années 1970-1980, ce sont la France de Vichy, la collaboration d'État et le génocide des juifs qui occupent le centre», constate Pierre Laborie. Un glissement qui s'accompagne, évidemment, d'un jugement moral, non seulement sur les années de guerre, mais encore sur les années d'après-guerre.
Non que tout soit faux, bien entendu, dans cette perception des choses, mais elle est trop courte et trop partiale pour être indiscutable. «Face à cette propension irrésistible à l'anachronisme de pensée, les historiens parlent dans le désert», souligne l'auteur. «Ils ont du mal à convaincre que c'est aussi en fonction de ce que les acteurs sociaux pouvaient connaître et appréhender des événements, en fonction de ce que ces problèmes représentaient pour eux au moment où ils les vivaient, qu'ils doivent d'abord être mis en perspective et éclairés.» Au coeur de la nouvelle vulgate, l'idée selon laquelle la Résistance aurait été un phénomène minoritaire. Un discours dont la force repose sur notre fascination pour tout ce qui relève de la démystification, qui s'appuie sur des affirmations non vérifiées, «maquillées derrière des chiffres affichés avec autorité» qui «abusent la crédibilité commune». Les exemples sont légion: livres, films, téléfilms, émissions de télévision ou de radio, discours politiques
Pierre Laborie dynamite cette grande parade des idées reçues sans colère mais avec une autorité maîtrisée. Il ne se contente pas de montrer les égarements de la pensée contemporaine, il propose aussi des pistes pour relire les années noires. Ainsi, écrit-il, «s'il paraît abusif d'avancer l'idée d'une société en résistance, il est en revanche possible, avec des décalages dans la chronologie selon les lieux, de parler d'une société de non-consentement». Souhaitons que la lecture de cette étude et son succès permettent à l'historien d'être entendu par le plus grand nombre et par les maîtres-penseurs de notre temps.
Laurent LARCHER
http://www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Culture/Livres/Pour-reconsiderer-les-annees-noires-_NG_-2011-02-02-562847Mots-clés : guerre mondiale : 1939-1945 territoire occupé : 1939- 1945 occupation militaire Collaboration : 1940-1944 Résistance : 1940-1945 collaboration avec l'ennemi représentation mentale média communication contestation mémoire : philosophie comportement social film documentaire science historique Histoire conformisme préjugé opinion publique Type : texte imprimé ; documentaire Le Chagrin et le Venin : La France sous l'Occupation, mémoire et idées reçues [texte imprimé] / Pierre Laborie, Auteur . - [S.l.] : Bayard, 2011 . - 355 p.
ISBN : 978-2-227-47735-3 : 21.00
Langues : Français
Résumé : En prenant l'exemple de la France occupée, P. Laborie montre comment le présent et ses préoccupations dictent l'écriture du passé et l'instrumentalisent. L'auteur retrace l'histoire de la construction de la vision de la France occupée telle qu'elle domine actuellement, en analysant les grandes étapes depuis la sortie du film Le chagrin et la pitié aux années 1970.
«Les hommes ressemblent plus à leur temps qu'à leurs pères (...) Les faits historiques sont, par essence, des faits psychologiques», écrivait Marc Bloch dans L'Étrange Défaite, que cite Pierre Laborie en exergue de son dernier chapitre. C'est pourquoi, sans doute, l'une des missions de l'historien est d'interroger le bien-fondé de nos représentations. D'en établir, pour le dire comme Nietzsche, la généalogie. Chaque histoire a une histoire, et même une préhistoire. Pierre Laborie s'attelle à cette délicate tâche en regardant la manière dont le discours dominant sur les années noires s'est construit depuis la fin de la guerre, pour en dresser les lignes directrices et les errements. En mécanicien éclairé de nos représentations, il les démonte pour en établir les constructions et les faux-semblants. Un travail qui relève à la fois de l'épistémologie et de l'historiographie.
Mais le terrain choisi par Pierre Laborie est miné. L'histoire des Français de 1940 à 1945 n'est en rien, en 2011, un sujet froid. Elle est même chargée d'une passion et d'un affect qui rendent presque impossible toute excursion distanciée sur ce terrain. D'autant qu'elle est traversée par des enjeux de mémoire, de réparation, de justice, de légitimation politique, idéologique et culturelle. Le centre de gravité de la France de l'après-Occupation a trouvé sa place, on le sait, en référence à cette Occupation. Dans la construction de notre vision des années sombres, Pierre Laborie distingue deux grandes séquences, l'avant et l'après-film de Marcel Ophüls Le Chagrin et la Pitié (1969). À la légende rose d'une France résistante, s'est substituée dans le discours dominant la légende noire d'une France collaboratrice et opportuniste.
Selon cette vulgate, les Français dans leur grande majorité auraient surtout été occupés à durer, indifférents au sort des persécutés, attendant jusqu'au dernier moment de choisir leur camp. Marcel Ophüls est apparu comme le grand démystificateur de la légende rose pour nous dire, lui, ce qu'a réellement été cette époque. Travail de catharsis qui, rappelle l'auteur, se situe dans les suites de Mai-68 et qui coïncide avec la publication de La France de Vichy, de Robert Paxton (1973). L'histoire de la Résistance fut la grande victime de ce changement de perspective: «Longtemps solidaire du souvenir de la déportation, de l'héroïsme, du sacrifice et du martyre étendu à celui des populations, la Résistance a quitté la place primordiale qu'elle tenait dans la mémoire des années de guerre pour glisser vers la périphérie où elle se trouve aujourd'hui. Depuis les années 1970-1980, ce sont la France de Vichy, la collaboration d'État et le génocide des juifs qui occupent le centre», constate Pierre Laborie. Un glissement qui s'accompagne, évidemment, d'un jugement moral, non seulement sur les années de guerre, mais encore sur les années d'après-guerre.
Non que tout soit faux, bien entendu, dans cette perception des choses, mais elle est trop courte et trop partiale pour être indiscutable. «Face à cette propension irrésistible à l'anachronisme de pensée, les historiens parlent dans le désert», souligne l'auteur. «Ils ont du mal à convaincre que c'est aussi en fonction de ce que les acteurs sociaux pouvaient connaître et appréhender des événements, en fonction de ce que ces problèmes représentaient pour eux au moment où ils les vivaient, qu'ils doivent d'abord être mis en perspective et éclairés.» Au coeur de la nouvelle vulgate, l'idée selon laquelle la Résistance aurait été un phénomène minoritaire. Un discours dont la force repose sur notre fascination pour tout ce qui relève de la démystification, qui s'appuie sur des affirmations non vérifiées, «maquillées derrière des chiffres affichés avec autorité» qui «abusent la crédibilité commune». Les exemples sont légion: livres, films, téléfilms, émissions de télévision ou de radio, discours politiques
Pierre Laborie dynamite cette grande parade des idées reçues sans colère mais avec une autorité maîtrisée. Il ne se contente pas de montrer les égarements de la pensée contemporaine, il propose aussi des pistes pour relire les années noires. Ainsi, écrit-il, «s'il paraît abusif d'avancer l'idée d'une société en résistance, il est en revanche possible, avec des décalages dans la chronologie selon les lieux, de parler d'une société de non-consentement». Souhaitons que la lecture de cette étude et son succès permettent à l'historien d'être entendu par le plus grand nombre et par les maîtres-penseurs de notre temps.
Laurent LARCHER
http://www.la-croix.com/Culture-Loisirs/Culture/Livres/Pour-reconsiderer-les-annees-noires-_NG_-2011-02-02-562847Mots-clés : guerre mondiale : 1939-1945 territoire occupé : 1939- 1945 occupation militaire Collaboration : 1940-1944 Résistance : 1940-1945 collaboration avec l'ennemi représentation mentale média communication contestation mémoire : philosophie comportement social film documentaire science historique Histoire conformisme préjugé opinion publique Type : texte imprimé ; documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43691 944.081 6 LAB Livre 2. Documentaires 900 Histoire-Géographie Disponible
Titre : La démocratie des autres: Les racines globales de la démocratie - Pourquoi la liberté n'est pas une invention de l'Occident Auteurs : Amartya Sen, Auteur Editeur : Rivages, 2006 Collection : Rivages poche. Petite bibliothèque, ISSN 1158-5609 Importance : 94 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : La notion de démocratie est généralement considérée comme un concept purement occidental ; elle serait une valeur que l'Occident aurait pour mission de faire prévaloir et d'introduire dans des pays qui en auraient été jusque-là privés. Le malentendu vient sans doute du fait que cette notion est le plus souvent réduite à l'idée du suffrage universel. Or, si l'on entend par démocratie non seulement l'exercice du droit de vote, mais aussi la discussion libre et responsable des thèmes politiques concernant les collectivités, ses racines sont repérables en dehors de la Grèce antique et de l'Occident en général. Amartya Sen nous invite ainsi à ne pas commettre le pêché 'd' impérialisme culturel' qui serait l'appropriation indélébile de l'idée de démocratie.
La notion de démocratie, doctrine politique selon laquelle la souveraineté doit appartenir à l’ensemble des citoyens, est si bien enracinée dans la culture européenne et par voie de conséquence, nord-américaine, qu’elle est généralement considérée comme un concept purement occidental ; ainsi, la démocratie serait une valeur que l’Occident aurait pour mission de faire prévaloir et d’introduire dans des pays qui en auraient été jusque-là privés.
Mais des difficultés inattendues, d’ordre militaire et politique, rencontrées par la coalition menée par les États-Unis durant la deuxième après-guerre irakienne ont soulevé une vague de scepticisme sur les possibilités de faire adopter dans le pays, dans des délais relativement courts, un gouvernement démocratique.
Cependant, ce serait une erreur d’en tirer une conclusion trop rapide et de prétendre que la tentative « d’exporter » la démocratie ne pourrait qu’être vouée à l’échec. Le malentendu vient sans doute du fait que la notion de démocratie est parfois réduite à l’idée du suffrage universel ; en fait, l’expérience montre bien que dans des régimes totalitaires, les élections se ramènent souvent à une mascarade.
L’originalité de la pensée d’Amartya Sen, économiste et humaniste, est de démontrer la complexité du problème de la démocratie. N’existe-t-il pas des racines globales, communes à toutes les formes de sociétés, et la démocratie n’est elle pas plutôt une valeur universelle ?
Par de multiples exemples, Amartya Sen montre que le soutien à la cause du pluralisme, de la diversité et de la liberté peut se retrouver dans l’histoire de nombreux peuples : en Inde, en Chine, au Japon, en Corée, en Iran, en Turquie, et dans de nombreuses régions d’Afrique. Cette hérédité globale est une raison suffisante pour mettre en doute la thèse selon laquelle la démocratie serait un concept purement occidental.
En effet, l’on entend par démocratie, non seulement l’exercice du droit de vote, mais aussi la discussion libre et responsable des thèmes politiques concernant les collectivités, ses racines sont repérables en dehors de la Grèce antique et de l’Occident en général : par exemple dans l’histoire de l’Inde antique, de l’Afrique, de l’Asie orientale et de l’Asie du Sud-Est.
Dans les deux extraits recueillis dans ce livre, Amartya Sen, prix Nobel d’économie en 1998, illustre par des exemples concrets l’existence des traditions démocratiques séculaires dans des pays actuellement opprimés par des pays totalitaires, et il nous invite à ne pas commettre à l’avenir un pêché « d’impérialisme culturel » : l’appropriation indélébile de l’idée de démocratie. A partir de cette idée, il nous suggère en revanche d’explorer et de développer justement ces aspects qui sont des valeurs partagées par tous les hommes à différents moments de leur histoire.Mots-clés : démocratie idéologie politique représentation mentale Afrique étude ethnologique civilisation et culture culture africaine culture européenne culture occidentale culture orientale mythe opinion publique vie sociale relation sociale Inde 20ème siècle valeur : philosophie croissance économique Index. décimale : 321 Types d'Etats et de gouvernements Type : texte imprimé ; documentaire Genre : discours En ligne : http://www.taurillon.org/La-Democratie-des-autres-Amartya-Sen La démocratie des autres : Les racines globales de la démocratie - Pourquoi la liberté n'est pas une invention de l'Occident [texte imprimé] / Amartya Sen, Auteur . - [S.l.] : Rivages, 2006 . - 94 p.. - (Rivages poche. Petite bibliothèque, ISSN 1158-5609) .
ISBN : 978-2-7436-1577-2 : 5.00
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : La notion de démocratie est généralement considérée comme un concept purement occidental ; elle serait une valeur que l'Occident aurait pour mission de faire prévaloir et d'introduire dans des pays qui en auraient été jusque-là privés. Le malentendu vient sans doute du fait que cette notion est le plus souvent réduite à l'idée du suffrage universel. Or, si l'on entend par démocratie non seulement l'exercice du droit de vote, mais aussi la discussion libre et responsable des thèmes politiques concernant les collectivités, ses racines sont repérables en dehors de la Grèce antique et de l'Occident en général. Amartya Sen nous invite ainsi à ne pas commettre le pêché 'd' impérialisme culturel' qui serait l'appropriation indélébile de l'idée de démocratie.
La notion de démocratie, doctrine politique selon laquelle la souveraineté doit appartenir à l’ensemble des citoyens, est si bien enracinée dans la culture européenne et par voie de conséquence, nord-américaine, qu’elle est généralement considérée comme un concept purement occidental ; ainsi, la démocratie serait une valeur que l’Occident aurait pour mission de faire prévaloir et d’introduire dans des pays qui en auraient été jusque-là privés.
Mais des difficultés inattendues, d’ordre militaire et politique, rencontrées par la coalition menée par les États-Unis durant la deuxième après-guerre irakienne ont soulevé une vague de scepticisme sur les possibilités de faire adopter dans le pays, dans des délais relativement courts, un gouvernement démocratique.
Cependant, ce serait une erreur d’en tirer une conclusion trop rapide et de prétendre que la tentative « d’exporter » la démocratie ne pourrait qu’être vouée à l’échec. Le malentendu vient sans doute du fait que la notion de démocratie est parfois réduite à l’idée du suffrage universel ; en fait, l’expérience montre bien que dans des régimes totalitaires, les élections se ramènent souvent à une mascarade.
L’originalité de la pensée d’Amartya Sen, économiste et humaniste, est de démontrer la complexité du problème de la démocratie. N’existe-t-il pas des racines globales, communes à toutes les formes de sociétés, et la démocratie n’est elle pas plutôt une valeur universelle ?
Par de multiples exemples, Amartya Sen montre que le soutien à la cause du pluralisme, de la diversité et de la liberté peut se retrouver dans l’histoire de nombreux peuples : en Inde, en Chine, au Japon, en Corée, en Iran, en Turquie, et dans de nombreuses régions d’Afrique. Cette hérédité globale est une raison suffisante pour mettre en doute la thèse selon laquelle la démocratie serait un concept purement occidental.
En effet, l’on entend par démocratie, non seulement l’exercice du droit de vote, mais aussi la discussion libre et responsable des thèmes politiques concernant les collectivités, ses racines sont repérables en dehors de la Grèce antique et de l’Occident en général : par exemple dans l’histoire de l’Inde antique, de l’Afrique, de l’Asie orientale et de l’Asie du Sud-Est.
Dans les deux extraits recueillis dans ce livre, Amartya Sen, prix Nobel d’économie en 1998, illustre par des exemples concrets l’existence des traditions démocratiques séculaires dans des pays actuellement opprimés par des pays totalitaires, et il nous invite à ne pas commettre à l’avenir un pêché « d’impérialisme culturel » : l’appropriation indélébile de l’idée de démocratie. A partir de cette idée, il nous suggère en revanche d’explorer et de développer justement ces aspects qui sont des valeurs partagées par tous les hommes à différents moments de leur histoire.Mots-clés : démocratie idéologie politique représentation mentale Afrique étude ethnologique civilisation et culture culture africaine culture européenne culture occidentale culture orientale mythe opinion publique vie sociale relation sociale Inde 20ème siècle valeur : philosophie croissance économique Index. décimale : 321 Types d'Etats et de gouvernements Type : texte imprimé ; documentaire Genre : discours En ligne : http://www.taurillon.org/La-Democratie-des-autres-Amartya-Sen Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43949 321.8 SEN Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible
Titre : Politique people Auteurs : Jamil Dakhlia, Auteur Editeur : Bréal, 2008 Collection : Thèmes & débats Importance : 128 p. Langues : Français Résumé : Dépassant la simple polémique, l'auteur revient sur l'histoire de ce phénomène et le met en perspective avec l'évolution de la médiatisation de la sphère politique à l'étranger, permettant ainsi de mieux comprendre cette " nouvelle " forme de communication dont l'enjeu central est la démocratie.
Sommaire :
Quelles sont les formes de la peopolisation politique ? / La peopolisation, un phénomène inédit ? / Quels sont les paramètres de la peopolisation politique ? / La peopolisation, un danger pour la démocratie ? / La fin de l' "exception française " ?Mots-clés : France 21ème siècle célébrités groupe social hiérarchie sociale caste élite classe sociale inégalité sociale vie sociale opinion publique mutation sociale phénomène de société politique de l'information personnage politique conseiller politique communication politique propagande politique culte de la personnalité désinformation communication de l'information Louis XIV : 1638- 1715 Marie- Antoinette : 1755- 1793 Napoléon Bonaparte : 1769- 1821 famille médias Internet démocratie droit à la vie privée droit des technologies de la communication Index. décimale : 324 Vie politique Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.lcp.cnrs.fr/pdf/dakh-08b.pdf Politique people [texte imprimé] / Jamil Dakhlia, Auteur . - [S.l.] : Bréal, 2008 . - 128 p.. - (Thèmes & débats) .
ISBN : 978-2-7495-0521-3 : 8.50
Langues : Français
Résumé : Dépassant la simple polémique, l'auteur revient sur l'histoire de ce phénomène et le met en perspective avec l'évolution de la médiatisation de la sphère politique à l'étranger, permettant ainsi de mieux comprendre cette " nouvelle " forme de communication dont l'enjeu central est la démocratie.
Sommaire :
Quelles sont les formes de la peopolisation politique ? / La peopolisation, un phénomène inédit ? / Quels sont les paramètres de la peopolisation politique ? / La peopolisation, un danger pour la démocratie ? / La fin de l' "exception française " ?Mots-clés : France 21ème siècle célébrités groupe social hiérarchie sociale caste élite classe sociale inégalité sociale vie sociale opinion publique mutation sociale phénomène de société politique de l'information personnage politique conseiller politique communication politique propagande politique culte de la personnalité désinformation communication de l'information Louis XIV : 1638- 1715 Marie- Antoinette : 1755- 1793 Napoléon Bonaparte : 1769- 1821 famille médias Internet démocratie droit à la vie privée droit des technologies de la communication Index. décimale : 324 Vie politique Type : texte imprimé ; documentaire En ligne : http://www.lcp.cnrs.fr/pdf/dakh-08b.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42234 324 DAK Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible La Politique pour les Nuls / Philippe Reinhard / First (2007)
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