A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
33 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'orphelin'




Titre : Aimez-moi, maintenant Auteurs : Axl Cendres, Auteur Editeur : Paris : Ed. Sarbacane, 2008 Collection : Exprim' Importance : 148 p. Langues : Français Résumé : "se faire aimer ? Que faire pour mériter d'être aimé ? Le héros de ce roman a grandi de foyers en familles d'accueil. Orphelin, il est seul au monde et cherche désespérément à se construire une vie affective à tout prix .Doté d'un QI exceptionnel, il excelle dans ses études et pense que la réussite le rendra estimable et aimable aux yeux des autres. Erreur ! Ce n'est pas la bonne façon de faire. Désespéré, il décide que ce sera parmi les siens qu'il trouvera ce qui lui manque. Il lui faudra côtoyer la misère humaine pour comprendre que si l'amour ne se mérite pas, il se donne tout simplement.
Critique
Avis :Un excellent roman sur la difficulté de trouver sa place affective dans la société .D’une écriture fine, simple et directe, cette histoire à cœur ouvert emmène le lecteur du rire aux larmes, de l’affection à la compassion. Il aurait été facile de sombrer dans un mélodrame banal. L’auteur à su y échapper en créant un personnage attachant et un récit d’une intelligence et d’une profondeur fabuleuse…
Appréciation : Coup de coeur
Nom du critique : Caroline Defresne
Date : février 2009"
Le héros du livre n'a qu'une seule ambition dans la vie, c'est être aimé. Cet orphelin au QI impressionnant croit comprendre que pour cela il suffit de réussir : il travaille donc d'arrache-pied jusqu'au jour où ses théories s'écroulent quand il réalise que la réussite des uns génère l'envie des autres. Il abandonne tout pour « zoner » parmi les exclus de notre société. Le narrateur adopte un ton proche de la confidence et le lecteur devient un témoin attentif des péripéties quotidiennes du héros dont les remarques, souvent teintées d'ironie, nous obligent à réfléchir sur notre propre petit confort. Ce roman d'apprentissage type (le personnage principal ressort grandi des épreuves) à l'écriture très actuelle est également un roman des illusions perdues, facile à lire : les chapitres sont courts au style « parlé », caractéristique de cette collection pour grands ados.Mots-clés : thème littéraire adolescence orphelin mal de vivre amour vie sociale perception de soi perception d'autrui comportement social éducation développement de la personnalité développement psychique développement intellectuel relation homme-femme Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.lesincos.com/livre/aimez-moi-maintenant Aimez-moi, maintenant [texte imprimé] / Axl Cendres, Auteur . - Paris : Ed. Sarbacane, 2008 . - 148 p.. - (Exprim') .
ISBN : 978-2-84865-261-0 : 9.00
Langues : Français
Résumé : "se faire aimer ? Que faire pour mériter d'être aimé ? Le héros de ce roman a grandi de foyers en familles d'accueil. Orphelin, il est seul au monde et cherche désespérément à se construire une vie affective à tout prix .Doté d'un QI exceptionnel, il excelle dans ses études et pense que la réussite le rendra estimable et aimable aux yeux des autres. Erreur ! Ce n'est pas la bonne façon de faire. Désespéré, il décide que ce sera parmi les siens qu'il trouvera ce qui lui manque. Il lui faudra côtoyer la misère humaine pour comprendre que si l'amour ne se mérite pas, il se donne tout simplement.
Critique
Avis :Un excellent roman sur la difficulté de trouver sa place affective dans la société .D’une écriture fine, simple et directe, cette histoire à cœur ouvert emmène le lecteur du rire aux larmes, de l’affection à la compassion. Il aurait été facile de sombrer dans un mélodrame banal. L’auteur à su y échapper en créant un personnage attachant et un récit d’une intelligence et d’une profondeur fabuleuse…
Appréciation : Coup de coeur
Nom du critique : Caroline Defresne
Date : février 2009"
Le héros du livre n'a qu'une seule ambition dans la vie, c'est être aimé. Cet orphelin au QI impressionnant croit comprendre que pour cela il suffit de réussir : il travaille donc d'arrache-pied jusqu'au jour où ses théories s'écroulent quand il réalise que la réussite des uns génère l'envie des autres. Il abandonne tout pour « zoner » parmi les exclus de notre société. Le narrateur adopte un ton proche de la confidence et le lecteur devient un témoin attentif des péripéties quotidiennes du héros dont les remarques, souvent teintées d'ironie, nous obligent à réfléchir sur notre propre petit confort. Ce roman d'apprentissage type (le personnage principal ressort grandi des épreuves) à l'écriture très actuelle est également un roman des illusions perdues, facile à lire : les chapitres sont courts au style « parlé », caractéristique de cette collection pour grands ados.Mots-clés : thème littéraire adolescence orphelin mal de vivre amour vie sociale perception de soi perception d'autrui comportement social éducation développement de la personnalité développement psychique développement intellectuel relation homme-femme Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.lesincos.com/livre/aimez-moi-maintenant Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43081 RS CEN Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible 43082 RS CEN Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Histoire d'une vie / Aharon Appelfeld / Editions de l'Olivier (2004)
Titre : Histoire d'une vie Auteurs : Aharon Appelfeld Editeur : Editions de l'Olivier, 2004 Importance : 237 p. Langues : Français Langues originales : Hébreu Résumé : Prix Médicis étranger 2004.
Aharon Appelfeld a dix ans lorsqu'il s'évade du camp de concentration. Il se réfugie dans la forêt, survit grâce aux marginaux - voleurs, vagabonds, prostituées – qui le protègent. Nous sommes en Roumanie, à la frontière de l'Ukraine, en 1942. À la fin de la guerre, après plusieurs années d'errance, Aharon Appelfeld s'embarque pour la Palestine. Sa solitude est totale, son désarroi absolu. Quelques grands aînés lui ouvrent le chemin. Grâce à Gershom Scholem, il comprend qu'il est porteur d'un héritage, celui du judaïsme européen, et que son refus équivaudrait à un suicide. Grâce à Max Brod, il découvre Kafka : une écriture sèche, débarrassée du 'kitsch allemand '; et surtout une description rigoureuse de ce qu'il a vécu, lui, pendant la guerre, et qu'il ne peut formuler avec des mots.
Ce livre n'est pas à proprement parler une autobiographie, ou alors c'est une autobiographie problématique et fragmentaire dont la progression n'est pas véritablement chronologique, même si l'auteur y rend compte de l'évolution qui l'a mené à l'écriture, de l'enfance détruite par la guerre aux premiers livres publiés.
Aharon Appelfeld est né en 1932 en Roumanie. Il y vit d'abord une petite enfance heureuse, entre une mère tendre, un père plus lointain, et des séjours à la campagne auprès de ses grands-parents, des Juifs pratiquants. Ses impressions d'enfant à la synagogue seront longtemps ses seuls contacts avec la religion. Puis son monde s'écroule avec le durcissement du régime, la mort de sa mère, l'exil dans le ghetto, puis la longue marche vers un camp de concentration ukrainien d'où il parvient à s'échapper. A dix ans à peine, le voilà contraint de survivre seul dans la forêt pendant des mois, de trouver refuge pour l'hiver chez des paysans qui lui donnent un abri et de la nourriture contre du travail, à condition qu'il leur cache ses véritables origines. "Plus de cinquante ans ont passé depuis la fin de la Seconde guerre mondiale. Le coeur a beaucoup oublié, principalement des lieux, des dates, des noms de gens, et pourtant je ressens ces jours-là dans tout mon corps. Chaque fois qu'il pleut, qu'il fait froid ou que souffle un vent violent, je suis de nouveau dans le ghetto, dans le camp, ou dans les forêts qui m'ont abrité longtemps. La mémoire, s'avère-t-il, a des racines profondément ancrées dans le corps. Il suffit parfois de l'odeur de la paille pourrie ou du cri d'un oiseau pour me transporter loin et à l'intérieur."
A la fin de la guerre, un autre voyage commence pour lui, à travers les camps de rescapés, puis sur les bateaux qui les emmènent en Palestine. Ce périple est l'occasion d'une multitude d'anecdotes, de rencontres, les unes étonnantes, les autres effrayantes, comme si les lambeaux rassemblés d'un peuple reconstituaient alors une société avec ses ombres et ses lumières, ses crapules, ses justes et ses enfants à moitié perdus, dont nul ne sait encore ce qu'ils pourront devenir. A son arrivée en Palestine, le jeune garçon se retrouve dans un camp de jeunesse, puis dans une école agricole, où le travail de la terre l'apaise, mais il doit faire ensuite son service militaire. Il tient épisodiquement pendant ces années un journal dont les balbutiements et les lacunes mêmes reflètent sa difficulté à se reconstruire, et le problème du rapport à la langue est alors crucial: le jeune garçon est en effet passé, sans espoir de retour, de l'univers linguistique qui était celui de sa famille, où l'on parlait l'allemand et le yiddish, à une nouvelle terre où la seule langue valorisée est l'hébreu: "L'effort pour conserver ma langue maternelle dans un entourage qui m'en imposait une autre était vain. Elle s'appauvrissait de semaine en semaine et à la fin de la première année il n'en demeura que quelques brandons sauvés des flammes. Cette douleur n'était pas univoque. Ma mère avait été assassinée au début de la guerre, et durant les années qui suivirent j'avais conservé en moi son visage, en croyant qu'à la fin de la guerre je la retrouverais et que notre vie redeviendrait ce qu'elle avait été. Ma langue maternelle et ma mère ne faisaient qu'un. A présent, avec l'extinction de la langue en moi, je sentais que ma mère mourait une seconde fois."
Les années passées à l'université lui permettront de compléter une formation scolaire trop tôt interrompue, mais surtout de renouer, en terre d'Israël, avec sa culture d'origine, en étudiant au département de yiddish: "L'année 1952 n'annonçait aucun changement à l'égard de cette langue: elle symbolisait la diaspora, la faiblesse et le relâchement. Tout le monde la dénigrait, elle était devenue un objet de dérision et de sarcasme. Mais il y avait dans ce mépris quelque chose qui me la fit choisir. Sa condition d'orpheline résonnait avec mon statut d'orphelin." Au contact de professeurs et d'écrivains tels que Martin Buber ou Agnon, Aharon Appelfeld va à la fois entrer en contact avec les racines de la culture juive, mais aussi trouver sa propre expression, non sans tâtonnements et difficultés. "Les gens de ma génération ont très peu parlé à leurs enfants de leur maison, et de ce qui leur était advenu pendant la guerre. L'histoire de leur vie leur a été arrachée sans cicatriser. Ils n'ont pas su ouvrir la porte qui menait à la part obscure de leur vie, et c'est ainsi que la barrière entre eux et leurs descendants s'est érigée. (...) Chaque fois que vous êtes enfin prêt à parler de ce temps-là, la mémoire fait défaut et la langue se colle au palais. Et puis, vous ne dites rien qui vaille. Il arrive parfois que les mots commencent à sortir de votre bouche, vous racontez, vous abondez, comme si un cours d'eau bouché s'était ouvert. Mais vous vous rendez compte aussitôt que c'est un écoulement plat, chronologique et extérieur, sans flamme intérieure. La parole coule, coule, mais vous ne révélez rien et vous sortez tête basse."
Devenir écrivain, ce n'est pas seulement avoir quelque chose à raconter, un témoignage à faire, quelle que soit la nécessité de le faire. C'est aussi trouver les mots qui permettront de créer entre cette expérience et le lecteur un contact vivant. "Je n'ai pas l'impression d'écrire sur le passé. Le passé en lui-même est un très mauvais matériau pour la littérature. La littérature est un présent brûlant, non au sens journalistique, mais comme une aspiration à transcender le temps en une présence éternelle."
Catherine RaucyMots-clés : thème littéraire témoignage guerre mondiale : 1939-1945 Juifs déportation récit de vie maturité développement de la personnalité Roumanie Israël jeunesse Enfance Adolescence Violation des droits de l'homme Camp de concentration Errance Solitude Judaïsme Kafka Autobiographie Forêt Condition paysanne voyage Hébreu Langue maternelle Yiddish diaspora juive Palestine Orphelin exil Culture juive Mémoire Souvenir Ecrivain Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie/roman Histoire d'une vie [texte imprimé] / Aharon Appelfeld . - [S.l.] : Editions de l'Olivier, 2004 . - 237 p.
ISBN : 978-2-87929-439-1 : 19,50
Langues : Français Langues originales : Hébreu
Résumé : Prix Médicis étranger 2004.
Aharon Appelfeld a dix ans lorsqu'il s'évade du camp de concentration. Il se réfugie dans la forêt, survit grâce aux marginaux - voleurs, vagabonds, prostituées – qui le protègent. Nous sommes en Roumanie, à la frontière de l'Ukraine, en 1942. À la fin de la guerre, après plusieurs années d'errance, Aharon Appelfeld s'embarque pour la Palestine. Sa solitude est totale, son désarroi absolu. Quelques grands aînés lui ouvrent le chemin. Grâce à Gershom Scholem, il comprend qu'il est porteur d'un héritage, celui du judaïsme européen, et que son refus équivaudrait à un suicide. Grâce à Max Brod, il découvre Kafka : une écriture sèche, débarrassée du 'kitsch allemand '; et surtout une description rigoureuse de ce qu'il a vécu, lui, pendant la guerre, et qu'il ne peut formuler avec des mots.
Ce livre n'est pas à proprement parler une autobiographie, ou alors c'est une autobiographie problématique et fragmentaire dont la progression n'est pas véritablement chronologique, même si l'auteur y rend compte de l'évolution qui l'a mené à l'écriture, de l'enfance détruite par la guerre aux premiers livres publiés.
Aharon Appelfeld est né en 1932 en Roumanie. Il y vit d'abord une petite enfance heureuse, entre une mère tendre, un père plus lointain, et des séjours à la campagne auprès de ses grands-parents, des Juifs pratiquants. Ses impressions d'enfant à la synagogue seront longtemps ses seuls contacts avec la religion. Puis son monde s'écroule avec le durcissement du régime, la mort de sa mère, l'exil dans le ghetto, puis la longue marche vers un camp de concentration ukrainien d'où il parvient à s'échapper. A dix ans à peine, le voilà contraint de survivre seul dans la forêt pendant des mois, de trouver refuge pour l'hiver chez des paysans qui lui donnent un abri et de la nourriture contre du travail, à condition qu'il leur cache ses véritables origines. "Plus de cinquante ans ont passé depuis la fin de la Seconde guerre mondiale. Le coeur a beaucoup oublié, principalement des lieux, des dates, des noms de gens, et pourtant je ressens ces jours-là dans tout mon corps. Chaque fois qu'il pleut, qu'il fait froid ou que souffle un vent violent, je suis de nouveau dans le ghetto, dans le camp, ou dans les forêts qui m'ont abrité longtemps. La mémoire, s'avère-t-il, a des racines profondément ancrées dans le corps. Il suffit parfois de l'odeur de la paille pourrie ou du cri d'un oiseau pour me transporter loin et à l'intérieur."
A la fin de la guerre, un autre voyage commence pour lui, à travers les camps de rescapés, puis sur les bateaux qui les emmènent en Palestine. Ce périple est l'occasion d'une multitude d'anecdotes, de rencontres, les unes étonnantes, les autres effrayantes, comme si les lambeaux rassemblés d'un peuple reconstituaient alors une société avec ses ombres et ses lumières, ses crapules, ses justes et ses enfants à moitié perdus, dont nul ne sait encore ce qu'ils pourront devenir. A son arrivée en Palestine, le jeune garçon se retrouve dans un camp de jeunesse, puis dans une école agricole, où le travail de la terre l'apaise, mais il doit faire ensuite son service militaire. Il tient épisodiquement pendant ces années un journal dont les balbutiements et les lacunes mêmes reflètent sa difficulté à se reconstruire, et le problème du rapport à la langue est alors crucial: le jeune garçon est en effet passé, sans espoir de retour, de l'univers linguistique qui était celui de sa famille, où l'on parlait l'allemand et le yiddish, à une nouvelle terre où la seule langue valorisée est l'hébreu: "L'effort pour conserver ma langue maternelle dans un entourage qui m'en imposait une autre était vain. Elle s'appauvrissait de semaine en semaine et à la fin de la première année il n'en demeura que quelques brandons sauvés des flammes. Cette douleur n'était pas univoque. Ma mère avait été assassinée au début de la guerre, et durant les années qui suivirent j'avais conservé en moi son visage, en croyant qu'à la fin de la guerre je la retrouverais et que notre vie redeviendrait ce qu'elle avait été. Ma langue maternelle et ma mère ne faisaient qu'un. A présent, avec l'extinction de la langue en moi, je sentais que ma mère mourait une seconde fois."
Les années passées à l'université lui permettront de compléter une formation scolaire trop tôt interrompue, mais surtout de renouer, en terre d'Israël, avec sa culture d'origine, en étudiant au département de yiddish: "L'année 1952 n'annonçait aucun changement à l'égard de cette langue: elle symbolisait la diaspora, la faiblesse et le relâchement. Tout le monde la dénigrait, elle était devenue un objet de dérision et de sarcasme. Mais il y avait dans ce mépris quelque chose qui me la fit choisir. Sa condition d'orpheline résonnait avec mon statut d'orphelin." Au contact de professeurs et d'écrivains tels que Martin Buber ou Agnon, Aharon Appelfeld va à la fois entrer en contact avec les racines de la culture juive, mais aussi trouver sa propre expression, non sans tâtonnements et difficultés. "Les gens de ma génération ont très peu parlé à leurs enfants de leur maison, et de ce qui leur était advenu pendant la guerre. L'histoire de leur vie leur a été arrachée sans cicatriser. Ils n'ont pas su ouvrir la porte qui menait à la part obscure de leur vie, et c'est ainsi que la barrière entre eux et leurs descendants s'est érigée. (...) Chaque fois que vous êtes enfin prêt à parler de ce temps-là, la mémoire fait défaut et la langue se colle au palais. Et puis, vous ne dites rien qui vaille. Il arrive parfois que les mots commencent à sortir de votre bouche, vous racontez, vous abondez, comme si un cours d'eau bouché s'était ouvert. Mais vous vous rendez compte aussitôt que c'est un écoulement plat, chronologique et extérieur, sans flamme intérieure. La parole coule, coule, mais vous ne révélez rien et vous sortez tête basse."
Devenir écrivain, ce n'est pas seulement avoir quelque chose à raconter, un témoignage à faire, quelle que soit la nécessité de le faire. C'est aussi trouver les mots qui permettront de créer entre cette expérience et le lecteur un contact vivant. "Je n'ai pas l'impression d'écrire sur le passé. Le passé en lui-même est un très mauvais matériau pour la littérature. La littérature est un présent brûlant, non au sens journalistique, mais comme une aspiration à transcender le temps en une présence éternelle."
Catherine RaucyMots-clés : thème littéraire témoignage guerre mondiale : 1939-1945 Juifs déportation récit de vie maturité développement de la personnalité Roumanie Israël jeunesse Enfance Adolescence Violation des droits de l'homme Camp de concentration Errance Solitude Judaïsme Kafka Autobiographie Forêt Condition paysanne voyage Hébreu Langue maternelle Yiddish diaspora juive Palestine Orphelin exil Culture juive Mémoire Souvenir Ecrivain Type : texte imprimé ; fiction Genre : autobiographie/roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 20879 R APP Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Moonfleet / J.-M. Falkner / Paris : Pocket Jeunesse (1994)
Titre : Moonfleet Auteurs : J.-M. Falkner, Auteur Editeur : Paris : Pocket Jeunesse, 1994 Collection : Pocket num. J 084 Importance : 246p. Langues : Français Résumé : Ecrit en 1898 par un marchand de canons, romancier à ses heures, ce livre a eu un vif succès en Angleterre. En France il est passé assez inaperçu, on ne sait pas trop pourquoi. Le jeune John Trenchard, héros de ce roman, est un orphelin élevé par une tante peu aimante. Il habite Moonfleet, un village brumeux du Dorset ou se déchaînent des tempêtes qui font couler les bateaux. Il se lie d'amitié avec un contrebandier qui le prend sous sa coupe. A la recherche d'un diamant, ils se trouvent embarqués dans une série d'aventures palpitantes mais dangereuses…Fritz Lang a tiré de ce roman l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma. Il a pourtant fallu attendre la traduction de Florence Herbulot (la première vraiment intégrale) pour que les lecteurs de langue française découvrent réellement le chef-d’oeuvre de Falkner – qui demeure aujourd’hui dans l’esprit des lecteurs du monde entier, aux côtés de L’Île au Trésor, le classique par excellence du roman d’aventures de langue anglaise. Roman de mystère et de brume, où les noms de lieux ou de personnages semblent venir de très loin, comme un appel ou comme un écho, Moonfleet célèbre avant toute chose la magie d’un lieu (la côte déchiquetée du Dorset) et d’une époque (les premières années du XVIIIe siècle). Terre battue par les vents, temps troublé où les rois « allemands » installés sur le trône d’Angleterre s’efforcent de ramener l’ordre dans un pays bouleversé par un siècle de guerre civile. Dans ce coin reculé de la vieille Angleterre, bandits et contrebandiers, auréolés d’un sombre prestige, mènent une véritable guerre contre les soldats du roi. Autour d’eux, l’histoire et la légende semblent se confondre… Un livre-culte dont Fritz Lang tira un film-culte. Pour Michel Tournier, qui toujours plaça ce roman au premier rang de ses admirations : « Une haute et profonde aventure ». Catégories : Adolescence Mots-clés : thème littéraire 18e siècle Angleterre banditisme aventure : genre contrebande orphelin Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman d aventures Moonfleet [texte imprimé] / J.-M. Falkner, Auteur . - Paris : Pocket Jeunesse, 1994 . - 246p.. - (Pocket; J 084) .
ISBN : 978-2-266-06372-2 : 35,00
Langues : Français
Résumé : Ecrit en 1898 par un marchand de canons, romancier à ses heures, ce livre a eu un vif succès en Angleterre. En France il est passé assez inaperçu, on ne sait pas trop pourquoi. Le jeune John Trenchard, héros de ce roman, est un orphelin élevé par une tante peu aimante. Il habite Moonfleet, un village brumeux du Dorset ou se déchaînent des tempêtes qui font couler les bateaux. Il se lie d'amitié avec un contrebandier qui le prend sous sa coupe. A la recherche d'un diamant, ils se trouvent embarqués dans une série d'aventures palpitantes mais dangereuses…Fritz Lang a tiré de ce roman l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma. Il a pourtant fallu attendre la traduction de Florence Herbulot (la première vraiment intégrale) pour que les lecteurs de langue française découvrent réellement le chef-d’oeuvre de Falkner – qui demeure aujourd’hui dans l’esprit des lecteurs du monde entier, aux côtés de L’Île au Trésor, le classique par excellence du roman d’aventures de langue anglaise. Roman de mystère et de brume, où les noms de lieux ou de personnages semblent venir de très loin, comme un appel ou comme un écho, Moonfleet célèbre avant toute chose la magie d’un lieu (la côte déchiquetée du Dorset) et d’une époque (les premières années du XVIIIe siècle). Terre battue par les vents, temps troublé où les rois « allemands » installés sur le trône d’Angleterre s’efforcent de ramener l’ordre dans un pays bouleversé par un siècle de guerre civile. Dans ce coin reculé de la vieille Angleterre, bandits et contrebandiers, auréolés d’un sombre prestige, mènent une véritable guerre contre les soldats du roi. Autour d’eux, l’histoire et la légende semblent se confondre… Un livre-culte dont Fritz Lang tira un film-culte. Pour Michel Tournier, qui toujours plaça ce roman au premier rang de ses admirations : « Une haute et profonde aventure ». Catégories : Adolescence Mots-clés : thème littéraire 18e siècle Angleterre banditisme aventure : genre contrebande orphelin Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman d aventures Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11241 R FAL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Si ce livre pouvait me rapprocher de toi / Jean-Paul Dubois / Éd. du Seuil (2000)
Titre : Si ce livre pouvait me rapprocher de toi Auteurs : Jean-Paul Dubois Editeur : Éd. du Seuil, 2000 Collection : Points Importance : 211 p. Langues : Français Résumé : Paul Peremülter, la cinquantaine, est un homme arrivé au point mort dans presque tous les domaines : orphelin, le passé de son père disparu est un mystère ; écrivain, la parution de son dernier roman le laisse insatisfait, sa femme l'a quitté, son chien vient de mourir et son spermogramme est complètement plat... le doute est là qui plane sur toute action et tout désir, et la dépression n'est pas loin. Après avoir ainsi fait l'inventaire de ses désillusions, Peremülter décide donc de partir vers d'autres horizons. Ce parcours initiatique vécu sur le tard le conduit de l'autre côté de l'Atlantique. Là, il va « bourlinguer », vivre de tous les métiers et de toutes les situations, de chauffeur pour milliardaire à Miami, en passant par pilote d'air-boat dans les Everglades ou confident pour un businessman newyorkais désabusé, avant d'atteindre les terres canadiennes et se baigner dans le lac où son père s'est noyé des années auparavant.
Au terme de son périple, après une ultime épreuve, Peremülter aura accompli toutes les étapes d'une résurrection ; il aura croisé de multiples personnages en une saisissante galerie de portraits, forts et contrastés, il aura retrouvé ses racines paternelles, et, surtout, il aura fait la paix avec lui-même pour se tourner de nouveau vers la vie.Mots-clés : thème littéraire Québec : province Canada relation père-fils enfant : famille identité perception de soi perception d'autrui voyage aventures : genre aventures : voyage développement de la personnalité condition masculine mal de vivre conflit psychique orphelin écrivain Etats-Unis Thème de fiction : voyage Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Si ce livre pouvait me rapprocher de toi [texte imprimé] / Jean-Paul Dubois . - [S.l.] : Éd. du Seuil, 2000 . - 211 p.. - (Points) .
ISBN : 978-2-02-040342-9 : 5,95
Langues : Français
Résumé : Paul Peremülter, la cinquantaine, est un homme arrivé au point mort dans presque tous les domaines : orphelin, le passé de son père disparu est un mystère ; écrivain, la parution de son dernier roman le laisse insatisfait, sa femme l'a quitté, son chien vient de mourir et son spermogramme est complètement plat... le doute est là qui plane sur toute action et tout désir, et la dépression n'est pas loin. Après avoir ainsi fait l'inventaire de ses désillusions, Peremülter décide donc de partir vers d'autres horizons. Ce parcours initiatique vécu sur le tard le conduit de l'autre côté de l'Atlantique. Là, il va « bourlinguer », vivre de tous les métiers et de toutes les situations, de chauffeur pour milliardaire à Miami, en passant par pilote d'air-boat dans les Everglades ou confident pour un businessman newyorkais désabusé, avant d'atteindre les terres canadiennes et se baigner dans le lac où son père s'est noyé des années auparavant.
Au terme de son périple, après une ultime épreuve, Peremülter aura accompli toutes les étapes d'une résurrection ; il aura croisé de multiples personnages en une saisissante galerie de portraits, forts et contrastés, il aura retrouvé ses racines paternelles, et, surtout, il aura fait la paix avec lui-même pour se tourner de nouveau vers la vie.Mots-clés : thème littéraire Québec : province Canada relation père-fils enfant : famille identité perception de soi perception d'autrui voyage aventures : genre aventures : voyage développement de la personnalité condition masculine mal de vivre conflit psychique orphelin écrivain Etats-Unis Thème de fiction : voyage Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 36169 R DUB Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La Vie parlée Auteurs : Bernard Chapuis Editeur : Gallimard, 2006 Collection : Folio num. 4416 Importance : 227 p. Langues : Français Résumé : Le thème de ce roman est la disparition. D’ailleurs, le premier chapitre ainsi que le dernier parle du carnaval qui a lieu chaque année dans cette ville au bord d’un lac, le jour de la saint Antoine de Padoue, trois jours pendant lesquels se perdre sous des déguisements.
Un homme, un musicien qui fut un chef d’orchestre célèbre sous un nom qui était un pseudonyme très banal, disparut de cette notoriété en venant vivre dans cette petite ville au bord d’un lac pendant quatre ans, dans un immeuble ordinaire, sous un nom qui s’avéra à la fin être son vrai nom. La concierge de l’immeuble, Solange Lasserre, qui aime la musique, le reconnaît sous son nom inconnu comme le chef d’orchestre célèbre. Elle est le témoin de la nouvelle vie incognito du célèbre disparu, il l’invite à venir l’écouter jouer ses compositions, elle le retrouve au carnaval déguisée en rat d’hôtel. Gardant le secret, elle est celle qui le voit vivre ailleurs. D’autres bien sûr, comme Camille Bonnavent, un ami du même âge que lui, connu au lycée, musicien comme lui, Maurice Forbin son impresario, Odile Dhue sa fille, Henri Nicolet son homme d’affaires, Xenia Concessio sa deuxième femme, musicienne, sont également du secret.
Chacun de ces personnages, au cours de plusieurs auditions que nous imaginons devant un inspecteur de police, parle de celui qui, nous l’apprenons à la fin, a définitivement disparu.
Le musicien disparu existe à travers des paroles. Des personnages parlent de lui, de son existence.
Le musicien disparu a en effet perdu jeune ses parents, disparus dans un accident d’avion. La disparition domine sa vie. Comme pour pallier au fait qu’il n’a jamais vu le cadavre de ses parents, ne fait-il pas revenir ces cadavres dans ceux des animaux ? Et alors, n’est-ce pas logique que lui, lorsqu’il disparaît définitivement, il est déguisé en chien, en ce jour de carnaval de la saint Antoine ?
Sans doute, nous l’imaginons, il aura appris qu’une issue fatale planait sur lui, en témoignent des ennuis urinaires et de prostate qui hantent sa vie au bord du lac, alors il aura soigneusement mis en scène sa disparition, ceci en suivant exactement la trame de son expérience de la disparition de ses parents. Il s’en va dans le concert des paroles de ceux qui seront appelés à témoigner de cette disparition et de ce qu’il aura été. Il reste le chef d’orchestre et le compositeur de ce concert de paroles. C’est sa disparition qui organise leurs récits, leurs paroles. De même qu’autrefois, des paroles s’élevaient dans le sillage de la disparition de ses parents. Pas de cadavres, mais des paroles, lui abasourdi par ce départ sans retour et par ces paroles, ceux qui restent et qui parlent. Mais lui, en quelque sorte, il a annoncé son départ. Il a disparu encore vivant. Sa solitude était sa disparition signifiée à ceux qui restaient.
Il était d’un autre temps. Presque le seul à écrire encore des lettres. Sans téléphone portable, sans sms, sans e-mails. (...).
Voilà donc un beau roman de Bernard Chapuis, qui raconte, finalement, comment à l’heure où sa propre mort commence à s’annoncer, un homme s’inspire de la disparition de ses propres parents pour littéralement organiser la sienne, tandis que dans cet après-coup il apparaît que toute sa vie d’orphelin de parents a été modelée par l’ouverture et la liberté inquiétante de cette disparition précoce. Il ne quitte pas et il quitte, toute sa vie. Il reste dans les paroles, et en même temps il a quitté.
Alice Granger Guitard
http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?article101Mots-clés : thème littéraire portrait musicien chef d'orchestre mort : philosophie relation parent-enfant orphelin mal de vivre comportement social perception d'autrui perception de soi souvenir représentation mentale carnaval métamorphose Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?article101 La Vie parlée [texte imprimé] / Bernard Chapuis . - [S.l.] : Gallimard, 2006 . - 227 p.. - (Folio; 4416) .
ISBN : 978-2-07-031908-4 : 5,90
Langues : Français
Résumé : Le thème de ce roman est la disparition. D’ailleurs, le premier chapitre ainsi que le dernier parle du carnaval qui a lieu chaque année dans cette ville au bord d’un lac, le jour de la saint Antoine de Padoue, trois jours pendant lesquels se perdre sous des déguisements.
Un homme, un musicien qui fut un chef d’orchestre célèbre sous un nom qui était un pseudonyme très banal, disparut de cette notoriété en venant vivre dans cette petite ville au bord d’un lac pendant quatre ans, dans un immeuble ordinaire, sous un nom qui s’avéra à la fin être son vrai nom. La concierge de l’immeuble, Solange Lasserre, qui aime la musique, le reconnaît sous son nom inconnu comme le chef d’orchestre célèbre. Elle est le témoin de la nouvelle vie incognito du célèbre disparu, il l’invite à venir l’écouter jouer ses compositions, elle le retrouve au carnaval déguisée en rat d’hôtel. Gardant le secret, elle est celle qui le voit vivre ailleurs. D’autres bien sûr, comme Camille Bonnavent, un ami du même âge que lui, connu au lycée, musicien comme lui, Maurice Forbin son impresario, Odile Dhue sa fille, Henri Nicolet son homme d’affaires, Xenia Concessio sa deuxième femme, musicienne, sont également du secret.
Chacun de ces personnages, au cours de plusieurs auditions que nous imaginons devant un inspecteur de police, parle de celui qui, nous l’apprenons à la fin, a définitivement disparu.
Le musicien disparu existe à travers des paroles. Des personnages parlent de lui, de son existence.
Le musicien disparu a en effet perdu jeune ses parents, disparus dans un accident d’avion. La disparition domine sa vie. Comme pour pallier au fait qu’il n’a jamais vu le cadavre de ses parents, ne fait-il pas revenir ces cadavres dans ceux des animaux ? Et alors, n’est-ce pas logique que lui, lorsqu’il disparaît définitivement, il est déguisé en chien, en ce jour de carnaval de la saint Antoine ?
Sans doute, nous l’imaginons, il aura appris qu’une issue fatale planait sur lui, en témoignent des ennuis urinaires et de prostate qui hantent sa vie au bord du lac, alors il aura soigneusement mis en scène sa disparition, ceci en suivant exactement la trame de son expérience de la disparition de ses parents. Il s’en va dans le concert des paroles de ceux qui seront appelés à témoigner de cette disparition et de ce qu’il aura été. Il reste le chef d’orchestre et le compositeur de ce concert de paroles. C’est sa disparition qui organise leurs récits, leurs paroles. De même qu’autrefois, des paroles s’élevaient dans le sillage de la disparition de ses parents. Pas de cadavres, mais des paroles, lui abasourdi par ce départ sans retour et par ces paroles, ceux qui restent et qui parlent. Mais lui, en quelque sorte, il a annoncé son départ. Il a disparu encore vivant. Sa solitude était sa disparition signifiée à ceux qui restaient.
Il était d’un autre temps. Presque le seul à écrire encore des lettres. Sans téléphone portable, sans sms, sans e-mails. (...).
Voilà donc un beau roman de Bernard Chapuis, qui raconte, finalement, comment à l’heure où sa propre mort commence à s’annoncer, un homme s’inspire de la disparition de ses propres parents pour littéralement organiser la sienne, tandis que dans cet après-coup il apparaît que toute sa vie d’orphelin de parents a été modelée par l’ouverture et la liberté inquiétante de cette disparition précoce. Il ne quitte pas et il quitte, toute sa vie. Il reste dans les paroles, et en même temps il a quitté.
Alice Granger Guitard
http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?article101Mots-clés : thème littéraire portrait musicien chef d'orchestre mort : philosophie relation parent-enfant orphelin mal de vivre comportement social perception d'autrui perception de soi souvenir représentation mentale carnaval métamorphose Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?article101 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 36848 R CHA Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible PermalinkDavid s'évade / Gail Carson Levine / Paris : l'école des loisirs (2005)
PermalinkAutobiographie d'une courgette / Gilles Paris / J'ai lu (2003)
PermalinkLes Bébés de la consigne automatique / Murakami RYU / J'ai lu (1999)
PermalinkPermalinkChanson des Mal-aimants / Sylvie Germain / Gallimard (2007)
PermalinkPermalinkChiens perdus sans collier / Gilbert Cesbron / J'ai lu (1994)
PermalinkComédia infantil / Henning Mankell / Éd. du Seuil (2005)
PermalinkLes Enfants-Rats / Françoise Jay / Plon (2009)
PermalinkPermalinkFrankie Addams / Carson Mc Cullers / Stock (1995)
PermalinkUne gauloise dans le garage à vélo / Florence Thinard / Editions du Rouergue (2003)
PermalinkPermalinkHarry Potter et la coupe de feu / J.K Rowling / Gallimard Jeunesse (2003)
Permalink