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La Crise de l'éducation / Hannah Arendt / Gallimard (2006)
Titre : La Crise de l'éducation: extrait de La Crise de la culture Auteurs : Hannah Arendt, Auteur Editeur : Gallimard, 2006 Collection : folioplus philosophie Importance : 150 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : « Notre héritage n’est précédé d’aucun testament » : c’est sur cette citation de René Char que commence la Crise de la Culture dans lequel sont analysées les crises qui affectent les sociétés occidentales, dont la crise de l’éducation.
Les théories pédagogiques modernes et les pseudo-sciences de l’éducation se sont imposées comme une véritable idéologie de politique technique au sein de l’école, chassant peu à peu la culture et la pluridisciplinarité des matières dans tous les parcours scolaires.
Dans la crise de l’éducation, Hanna Arendt analyse le système scolaire américain des années cinquante, pour souligner la contradiction pour un grand pays d’immigration, composé lui-même d’anciens migrants, à être incapable d’assimiler les nouveaux arrivants et de proposer à tous les mêmes chances de réussites scolaire et professionnelle.
La crise de l’éducation tient à trois causes :
* la première est la croyance fausse en un « monde des enfants », coexistant en parallèle du monde des adultes. Or, que sont les enfants sinon des postulants à l’humanité ? La crise scolaire tient à ce que l’on laisse l’enfant se gouverner lui-même et décider de lui-même ce qui est bon pour lui. Cette idée fausse est catastrophique : accroissement de la délinquance, du communautarisme, de l’isolement et de la tyrannie du groupe.
* la seconde cause est que le savoir-faire est plus important que le savoir lui-même : le but de l’école n’est plus de former des individus libres, mais de produire des techniciens et des employés afin d’alimenter l’économie de masse.
* la troisième cause est l’uniformisation de l’école par une inculture de masse ; l’école devient une fabrique d’élèves médiocres. Ces élèves médiocres sont formés par des professeurs eux-mêmes médiocres car hâtivement formés, peu compétents et surtout trop généralistes.
Hannah Arendt montre que l’école américaine n’est plus un lieu transitoire de l’espace privé des familles à l’espace public des citoyens, que l’école n’est plus l’entrée dans le monde adulte de l’autonomie mais dans le monde technique du chaos. Enfin, l’école n’est plus un lieu de transmission de la culture et de la citoyenneté.Mots-clés : éducation question philosophique culture occidentale Etats-Unis 1950- immigration intégration culturelle relation adulte-enfant relation maître-élève crise droits de l'enfant enfance modernité responsabilité Index. décimale : 370 Education - enseignement Type : texte imprimé ; documentaire La Crise de l'éducation : extrait de La Crise de la culture [texte imprimé] / Hannah Arendt, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 2006 . - 150 p.. - (folioplus philosophie) .
ISBN : 978-2-07-034282-2
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : « Notre héritage n’est précédé d’aucun testament » : c’est sur cette citation de René Char que commence la Crise de la Culture dans lequel sont analysées les crises qui affectent les sociétés occidentales, dont la crise de l’éducation.
Les théories pédagogiques modernes et les pseudo-sciences de l’éducation se sont imposées comme une véritable idéologie de politique technique au sein de l’école, chassant peu à peu la culture et la pluridisciplinarité des matières dans tous les parcours scolaires.
Dans la crise de l’éducation, Hanna Arendt analyse le système scolaire américain des années cinquante, pour souligner la contradiction pour un grand pays d’immigration, composé lui-même d’anciens migrants, à être incapable d’assimiler les nouveaux arrivants et de proposer à tous les mêmes chances de réussites scolaire et professionnelle.
La crise de l’éducation tient à trois causes :
* la première est la croyance fausse en un « monde des enfants », coexistant en parallèle du monde des adultes. Or, que sont les enfants sinon des postulants à l’humanité ? La crise scolaire tient à ce que l’on laisse l’enfant se gouverner lui-même et décider de lui-même ce qui est bon pour lui. Cette idée fausse est catastrophique : accroissement de la délinquance, du communautarisme, de l’isolement et de la tyrannie du groupe.
* la seconde cause est que le savoir-faire est plus important que le savoir lui-même : le but de l’école n’est plus de former des individus libres, mais de produire des techniciens et des employés afin d’alimenter l’économie de masse.
* la troisième cause est l’uniformisation de l’école par une inculture de masse ; l’école devient une fabrique d’élèves médiocres. Ces élèves médiocres sont formés par des professeurs eux-mêmes médiocres car hâtivement formés, peu compétents et surtout trop généralistes.
Hannah Arendt montre que l’école américaine n’est plus un lieu transitoire de l’espace privé des familles à l’espace public des citoyens, que l’école n’est plus l’entrée dans le monde adulte de l’autonomie mais dans le monde technique du chaos. Enfin, l’école n’est plus un lieu de transmission de la culture et de la citoyenneté.Mots-clés : éducation question philosophique culture occidentale Etats-Unis 1950- immigration intégration culturelle relation adulte-enfant relation maître-élève crise droits de l'enfant enfance modernité responsabilité Index. décimale : 370 Education - enseignement Type : texte imprimé ; documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 42208 370 ARE Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible Comédia infantil / Henning Mankell / Éd. du Seuil (2005)
Titre : Comédia infantil Auteurs : Henning Mankell Editeur : Éd. du Seuil, 2005 Importance : 259 p. Langues : Français Résumé : Dans une ville africaine, un homme assis sur le toit d'un théâtre se remémore l'histoire que Nelio, l'enfant des rues, lui a confiée au cours des neuf nuits qui lui restaient à vivre.
Qui est cet enfant âgé de dix ans qui détient déjà toute la sagesse d'un vieil homme ? Pourquoi a-t-on voulu le tuer ? La guerre civile fait rage. Nelio est le seul rescapé de la mise à sac de son village. Après une période d'errance, il finit par gagner la grande ville et rejoint un groupe d'enfants des rues avec lesquels il affronte la misère, la faim, l'intolérance. Mais face à la barbarie, Nelio oppose la poésie et la générosité et se laisse guider par l'imaginaire.
Henning Mankell, en conteur, excelle comme dans ses romans policiers à entretenir la tension et l'attente du lecteur. Il nous décrit la terrible réalité des enfants orphelins d'Afrique, mais aussi leur force et leur capacité de survie.Mots-clés : thème littéraire Afrique guerre civile enfance condition de l'enfant relation d'aide relation adulte-enfant droits de l'enfant conflit armé orphelin bande de jeunes phénomène de groupe violence imaginaire enfant maltraité Thème de fiction : enfance/guerre Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Comédia infantil [texte imprimé] / Henning Mankell . - [S.l.] : Éd. du Seuil, 2005 . - 259 p.
ISBN : 978-2-02-079907-2 : 6,50
Langues : Français
Résumé : Dans une ville africaine, un homme assis sur le toit d'un théâtre se remémore l'histoire que Nelio, l'enfant des rues, lui a confiée au cours des neuf nuits qui lui restaient à vivre.
Qui est cet enfant âgé de dix ans qui détient déjà toute la sagesse d'un vieil homme ? Pourquoi a-t-on voulu le tuer ? La guerre civile fait rage. Nelio est le seul rescapé de la mise à sac de son village. Après une période d'errance, il finit par gagner la grande ville et rejoint un groupe d'enfants des rues avec lesquels il affronte la misère, la faim, l'intolérance. Mais face à la barbarie, Nelio oppose la poésie et la générosité et se laisse guider par l'imaginaire.
Henning Mankell, en conteur, excelle comme dans ses romans policiers à entretenir la tension et l'attente du lecteur. Il nous décrit la terrible réalité des enfants orphelins d'Afrique, mais aussi leur force et leur capacité de survie.Mots-clés : thème littéraire Afrique guerre civile enfance condition de l'enfant relation d'aide relation adulte-enfant droits de l'enfant conflit armé orphelin bande de jeunes phénomène de groupe violence imaginaire enfant maltraité Thème de fiction : enfance/guerre Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37015 R MAN Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Extrêmement fort et incroyablement près Auteurs : Jonathan Safran Foer Editeur : Editions de l'Olivier, 2006 Importance : 424 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : Oskar Schell a neuf ans. Il est : inventeur, entomologiste amateur, épistolier, francophile, pacifiste, consultant en informatique, végétalien, origamiste, percussionniste, astronome amateur, collectionneur de pierres semi-précieuses, de papillons morts de mort naturelle, de cactées miniatures et de souvenirs des Beatles. Un an après la mort de son père dans les attentats du 11 septembre, Oskar trouve une clé. Persuadé qu'elle résoudra le mystère de la disparition de son père, il part à la recherche de la serrure qui lui correspond. Sa quête le mènera aux quatre coins de New York où il pénétrera les vies d'inconnus et découvrira l'histoire de sa famille. Dans le sillon de ce gamin surdoué, ultrasensible et d'une inventivité presque maladive, se dévoile une ville qui, un an après les attentats contre les Twin Towers, panse ses plaies et recèle bien des trésors.
"l y a eu un avant. Désormais nous sommes dans l'après. Le 11 septembre a laissé un goût amer sur les lèvres du monde entier. Parler des sentiments des victimes de ce triste événement est un acte téméraire et pour la plupart de ceux qui s'y attellent, périlleux. Jonathan Safran Foer a eu un véritable éclair de génie en utilisant les yeux d'un enfant. La naïveté et l'intelligence d'Oskar Schell nous plonge dans une réalité si proche de la vérité qu'elle fait peur. Grâce à cet enfant désireux de comprendre, le lecteur plonge dans cet "après", sans barrière ni garde-fous.
Et il y a un fils qui souffre. Son seul espoir réside dans une clé, ultime legs d'un père décédé avant l'heure. Où est la serrure ? La porte s'ouvre-t-elle sur un père en vie ? Et puis Oskar fait des rencontres, attise les sentiments et les ressentiments. Tant de personnes incapables de se parler et qui voient dans la recherche de cet enfant l'aboutissement d'un deuil et la fin d'une terrible douleur.
Et il y a l'univers, les personnages. Aussi originaux qu'incongrus. Une mère absente et pourtant si présente, une grand-mère beaucoup moins sénile qu'on ne le croit et Oskar, inventeur dépressif, enfant à ses heures perdues. Oskar Schell est une magnifique création romanesque, capable de faire rire, pleurer et de tout dire, même ce qui fait mal. Surtout ce qui fait mal.
Et au-delà de tout ça, il y a la présentation. Entre les photos, les corrections en rouge, les lettres des grands-parents, souvent coquines, presque dérangeantes et les codes, on a l'impression d'être dans le journal intime d'une personne. C'est captivant. Mais avant tout, il y a cette photo, cet homme qui tombe d'une tour. Elle a choqué l'Amérique, elle est devenue le leitmotiv du roman.
Silence, non-dit, mensonges, 'Extrêmement fort et incroyablement près' est un roman cathartique, une aide, un médicament. C'est une bouffée d'oxygène au-dessus de la poussière du 11 septembre 2001."Mots-clés : thème littéraire orphelin New York : Etats-Unis 21ème siècle terrorisme violence relation adulte-enfant enfance quête enfant précoce comportement social maturité développement de la personnalité relation sociale vie sociale relation père-enfant mal de vivre conte philosophique humour Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://lettres-expres.over-blog.com/article-jonathan-safran-foer-extremement-for [...] Extrêmement fort et incroyablement près [texte imprimé] / Jonathan Safran Foer . - [S.l.] : Editions de l'Olivier, 2006 . - 424 p.
ISBN : 978-2-87929-481-0 : 22,00
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : Oskar Schell a neuf ans. Il est : inventeur, entomologiste amateur, épistolier, francophile, pacifiste, consultant en informatique, végétalien, origamiste, percussionniste, astronome amateur, collectionneur de pierres semi-précieuses, de papillons morts de mort naturelle, de cactées miniatures et de souvenirs des Beatles. Un an après la mort de son père dans les attentats du 11 septembre, Oskar trouve une clé. Persuadé qu'elle résoudra le mystère de la disparition de son père, il part à la recherche de la serrure qui lui correspond. Sa quête le mènera aux quatre coins de New York où il pénétrera les vies d'inconnus et découvrira l'histoire de sa famille. Dans le sillon de ce gamin surdoué, ultrasensible et d'une inventivité presque maladive, se dévoile une ville qui, un an après les attentats contre les Twin Towers, panse ses plaies et recèle bien des trésors.
"l y a eu un avant. Désormais nous sommes dans l'après. Le 11 septembre a laissé un goût amer sur les lèvres du monde entier. Parler des sentiments des victimes de ce triste événement est un acte téméraire et pour la plupart de ceux qui s'y attellent, périlleux. Jonathan Safran Foer a eu un véritable éclair de génie en utilisant les yeux d'un enfant. La naïveté et l'intelligence d'Oskar Schell nous plonge dans une réalité si proche de la vérité qu'elle fait peur. Grâce à cet enfant désireux de comprendre, le lecteur plonge dans cet "après", sans barrière ni garde-fous.
Et il y a un fils qui souffre. Son seul espoir réside dans une clé, ultime legs d'un père décédé avant l'heure. Où est la serrure ? La porte s'ouvre-t-elle sur un père en vie ? Et puis Oskar fait des rencontres, attise les sentiments et les ressentiments. Tant de personnes incapables de se parler et qui voient dans la recherche de cet enfant l'aboutissement d'un deuil et la fin d'une terrible douleur.
Et il y a l'univers, les personnages. Aussi originaux qu'incongrus. Une mère absente et pourtant si présente, une grand-mère beaucoup moins sénile qu'on ne le croit et Oskar, inventeur dépressif, enfant à ses heures perdues. Oskar Schell est une magnifique création romanesque, capable de faire rire, pleurer et de tout dire, même ce qui fait mal. Surtout ce qui fait mal.
Et au-delà de tout ça, il y a la présentation. Entre les photos, les corrections en rouge, les lettres des grands-parents, souvent coquines, presque dérangeantes et les codes, on a l'impression d'être dans le journal intime d'une personne. C'est captivant. Mais avant tout, il y a cette photo, cet homme qui tombe d'une tour. Elle a choqué l'Amérique, elle est devenue le leitmotiv du roman.
Silence, non-dit, mensonges, 'Extrêmement fort et incroyablement près' est un roman cathartique, une aide, un médicament. C'est une bouffée d'oxygène au-dessus de la poussière du 11 septembre 2001."Mots-clés : thème littéraire orphelin New York : Etats-Unis 21ème siècle terrorisme violence relation adulte-enfant enfance quête enfant précoce comportement social maturité développement de la personnalité relation sociale vie sociale relation père-enfant mal de vivre conte philosophique humour Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://lettres-expres.over-blog.com/article-jonathan-safran-foer-extremement-for [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 36757 R FOE Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Parure d'emprunt: Prix Bourdelle Poche 2010 Auteurs : Paula Fox, Auteur Année de publication : 2010 Importance : 283 p. Langues : Français Langues originales : Américain Résumé : Le roman de la mémoire tendre
Paula Fox revient sur sa jeunesse – entre un père alcoolique mais charmant et une mère jalouse –, ses nombreux voyages et les habits qu'elle portait, jamais taillés pour elle
Avec Parure d'emprunt, Paula Fox évoque la mémoire du roman. En revenant, dans ses mémoires, sur les vingt premières années d’une existence singulière, l4Américaine Paula Fox éclaire, de manière sensible, son œuvre romanesque. Pour traquer les correspondances entre la vie et la littérature, il existe deux types de livres : les récits où se glissent, entre les lignes, des traces autobiographiques, et les mémoires dans lesquelles appert l'essence de romans déjà écrits. Parure d'emprunt appartient à la seconde catégorie.
Née en 1923, Paula Fox est aujourd'hui une très grande dame des lettres américaines – redécouverte à la fin des années 80 grâce à une poignée de jeunes écrivains – qui se penche avec délicatesse et lucidité sur son enfance et son adolescence, comme si, à elles seules, ces années-là pouvaient déterminer les suivantes. Dans ses mémoires de jeunesse, Paula Fox explore les fondations, la famille, la filiation et les origines. Elle raconte ses parents qui n'en sont pas vraiment.
Le père, un homme pour qui «un mot vaut mille images» est alcoolique et charmant, écrivain sans véritable talent ni succès, absent ou irresponsable, c'st selon. Le cas de la mère est plus simple et plus complexe : un exemple banal de désamour maternel, et de jalousie sordide lorsqu'elle demande à son mari de choisir. Ce sera elle ou Paula…
Ensemble, ils forment un couple d'enfants terribles qui refuseraient de grandir, un couple encombré d'une enfant de trop. Pour pallier leurs insuffisances, il y a la famille, les amis, les proches ou les inconnus qui habillent Paula de parures d'emprunt, ces vêtements jamais taillés pour elle. Il y a l'Oncle Elwood, pour commencer, le pasteur congrégationaliste des premières années et la douceur de vivre à ses côtés, dans une vieille maison victorienne. Viennent ensuite la grand-mère maternelle qui enlève Paula à son cocon douillet, et les voyages : le départ pour Cuba où sa grand-mère fait office de gouvernante auprès d’une vieille parente. Et puis les allers-retours pour retrouver et perdre de nouveau ses parents. À chaque étape, c'est une nouvelle vie à apprivoiser, une nouvelle école et de nouveaux amis à découvrir.
Les vingt premières années de Paula Fox forment un carnet de voyages, avec des noms de lieux, de villes, d'États ou de pays égrenés en tête de chapitre : «Balmville», «Hollywood», «Cuba», «New York», «Floride», «New York», «Montréal», «New York» encore… Dans les creux et les absences, entre amitiés, premiers émois, premier mariage, choix d'une vie, d'études et de métiers, c'est un autoportrait qui lentement se dessine. Celui d’une petite fille puis d'une jeune femme qui découvre les livres, qui mesure le pouvoir des histoires et le plaisir des mots(...)
Par Vanessa Postec
http://www.la-croix.com/livres/article.jsp?docId=2355112&rubId=43500Mots-clés : thème littéraire Etats-Unis 20ème siècle Autobiographie Mal de vivre développement de la personnalité enfance relation parent-enfant relation mère-fille relation mère-enfant relation grand-parent-enfant abandon d'enfant enfant: famille relation adulte-enfant voyage lecture livre Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.telerama.fr/livres/parure-d-emprunt,36474.php Parure d'emprunt : Prix Bourdelle Poche 2010 [texte imprimé] / Paula Fox, Auteur . - 2010 . - 283 p.
ISBN : 978-2-07-041607-3 : 8.00
Langues : Français Langues originales : Américain
Résumé : Le roman de la mémoire tendre
Paula Fox revient sur sa jeunesse – entre un père alcoolique mais charmant et une mère jalouse –, ses nombreux voyages et les habits qu'elle portait, jamais taillés pour elle
Avec Parure d'emprunt, Paula Fox évoque la mémoire du roman. En revenant, dans ses mémoires, sur les vingt premières années d’une existence singulière, l4Américaine Paula Fox éclaire, de manière sensible, son œuvre romanesque. Pour traquer les correspondances entre la vie et la littérature, il existe deux types de livres : les récits où se glissent, entre les lignes, des traces autobiographiques, et les mémoires dans lesquelles appert l'essence de romans déjà écrits. Parure d'emprunt appartient à la seconde catégorie.
Née en 1923, Paula Fox est aujourd'hui une très grande dame des lettres américaines – redécouverte à la fin des années 80 grâce à une poignée de jeunes écrivains – qui se penche avec délicatesse et lucidité sur son enfance et son adolescence, comme si, à elles seules, ces années-là pouvaient déterminer les suivantes. Dans ses mémoires de jeunesse, Paula Fox explore les fondations, la famille, la filiation et les origines. Elle raconte ses parents qui n'en sont pas vraiment.
Le père, un homme pour qui «un mot vaut mille images» est alcoolique et charmant, écrivain sans véritable talent ni succès, absent ou irresponsable, c'st selon. Le cas de la mère est plus simple et plus complexe : un exemple banal de désamour maternel, et de jalousie sordide lorsqu'elle demande à son mari de choisir. Ce sera elle ou Paula…
Ensemble, ils forment un couple d'enfants terribles qui refuseraient de grandir, un couple encombré d'une enfant de trop. Pour pallier leurs insuffisances, il y a la famille, les amis, les proches ou les inconnus qui habillent Paula de parures d'emprunt, ces vêtements jamais taillés pour elle. Il y a l'Oncle Elwood, pour commencer, le pasteur congrégationaliste des premières années et la douceur de vivre à ses côtés, dans une vieille maison victorienne. Viennent ensuite la grand-mère maternelle qui enlève Paula à son cocon douillet, et les voyages : le départ pour Cuba où sa grand-mère fait office de gouvernante auprès d’une vieille parente. Et puis les allers-retours pour retrouver et perdre de nouveau ses parents. À chaque étape, c'est une nouvelle vie à apprivoiser, une nouvelle école et de nouveaux amis à découvrir.
Les vingt premières années de Paula Fox forment un carnet de voyages, avec des noms de lieux, de villes, d'États ou de pays égrenés en tête de chapitre : «Balmville», «Hollywood», «Cuba», «New York», «Floride», «New York», «Montréal», «New York» encore… Dans les creux et les absences, entre amitiés, premiers émois, premier mariage, choix d'une vie, d'études et de métiers, c'est un autoportrait qui lentement se dessine. Celui d’une petite fille puis d'une jeune femme qui découvre les livres, qui mesure le pouvoir des histoires et le plaisir des mots(...)
Par Vanessa Postec
http://www.la-croix.com/livres/article.jsp?docId=2355112&rubId=43500Mots-clés : thème littéraire Etats-Unis 20ème siècle Autobiographie Mal de vivre développement de la personnalité enfance relation parent-enfant relation mère-fille relation mère-enfant relation grand-parent-enfant abandon d'enfant enfant: famille relation adulte-enfant voyage lecture livre Type : texte imprimé ; fiction En ligne : http://www.telerama.fr/livres/parure-d-emprunt,36474.php Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41242 R FOX Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Les Inattendus Auteurs : Eva Kristina Mindszenti Editeur : Stock, 2007 Importance : 90 p. Langues : Français Résumé : Un village de Hongrie, tout près de la frontière slovaque. Seule, ayant pour tout horizon le verger de ses parents, l'héroïne se résout à travailler à l'hôpital où demeurent les enfants handicapés, estropiés, mutilés par les suites de Tchernobyl. Elle les aime très vite, ces enfants qui n'auront pas le temps d'être malheureux, qui meurent à dix ans, ces enfants qui pleurent, parfois, parce qu'on ne leur rend plus visite. Elle les aime, car elle sait que ce sont eux qui vont la soigner et la soulager.
http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?article448Mots-clés : thème littéraire catastrophe nucléaire Hongrie relation d'aide relation adulte-enfant enfance enfant maltraité Droits de l'enfant mort : philosophie pollution radioactive maladie radio-induite irradiation maladie condition féminine mal de vivre relation parent-enfant Europe orientale communisme totalitarisme hôpital handicap mental handicap physique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://mardishongrois.blogspot.com/2007/09/les-inattendus-deva-kristina-mindszen [...] Les Inattendus [texte imprimé] / Eva Kristina Mindszenti . - [S.l.] : Stock, 2007 . - 90 p.
ISBN : 978-2-234-05970-2 : 11,00
Langues : Français
Résumé : Un village de Hongrie, tout près de la frontière slovaque. Seule, ayant pour tout horizon le verger de ses parents, l'héroïne se résout à travailler à l'hôpital où demeurent les enfants handicapés, estropiés, mutilés par les suites de Tchernobyl. Elle les aime très vite, ces enfants qui n'auront pas le temps d'être malheureux, qui meurent à dix ans, ces enfants qui pleurent, parfois, parce qu'on ne leur rend plus visite. Elle les aime, car elle sait que ce sont eux qui vont la soigner et la soulager.
http://www.e-litterature.net/publier2/spip/spip.php?article448Mots-clés : thème littéraire catastrophe nucléaire Hongrie relation d'aide relation adulte-enfant enfance enfant maltraité Droits de l'enfant mort : philosophie pollution radioactive maladie radio-induite irradiation maladie condition féminine mal de vivre relation parent-enfant Europe orientale communisme totalitarisme hôpital handicap mental handicap physique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://mardishongrois.blogspot.com/2007/09/les-inattendus-deva-kristina-mindszen [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7679 R MIN Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible PermalinkPermalink