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Titre : Du Gothique à la Renaissance : Les protagonistes de l'Art Italien: Duccio, Giotto, Simone Mrtini, Pietro et Ambrozio Lorenzetti, Masaccio, Fra Angelico Filippo Lippi, Benozzo Gozzoli Auteurs : Collectif, Auteur Editeur : Hazan, 2004 Importance : 640 p. : ill. Langues : Français Langues originales : Italien Résumé : Retrace le passage en Italie de l'art sous influence byzantine à l'art gothique européen puis le basculement des formes gothicisantes à la révolution picturale de la Renaissance à travers l'étude de neuf artistes représentatifs de cette période.
* Duccio di Buoninsegna, de Cecilia Jannella
* Giotto, de Luciano Bellosi
* Simone Martini, de Cecilia Jannella
* Pietro et Ambrogio Lorenzetti, de Chiara Frugoni
* Masaccio, de Ornella
* Fra Angelico de John Pope-Hennessy
* Filippo Lippi, de Gloria Fossi
* Benozzo Gozzoli, de Cristina Acidini LuchinatMots-clés : Renaissance : 15- 16e siècle Italie artiste peintre métier : création Giotto : 1266- 1336 religion chrétienne peinture murale Angelico : 1400- 1455 En ligne : http://www.google.fr/search?q=giotto&hl=fr&lr=lang_fr&client=firefox-a&sa=G&rls= [...] Du Gothique à la Renaissance : Les protagonistes de l'Art Italien : Duccio, Giotto, Simone Mrtini, Pietro et Ambrozio Lorenzetti, Masaccio, Fra Angelico Filippo Lippi, Benozzo Gozzoli [texte imprimé] / Collectif, Auteur . - [S.l.] : Hazan, 2004 . - 640 p. : ill.
ISBN : 978-2-85025-932-6 : 24.00
Langues : Français Langues originales : Italien
Résumé : Retrace le passage en Italie de l'art sous influence byzantine à l'art gothique européen puis le basculement des formes gothicisantes à la révolution picturale de la Renaissance à travers l'étude de neuf artistes représentatifs de cette période.
* Duccio di Buoninsegna, de Cecilia Jannella
* Giotto, de Luciano Bellosi
* Simone Martini, de Cecilia Jannella
* Pietro et Ambrogio Lorenzetti, de Chiara Frugoni
* Masaccio, de Ornella
* Fra Angelico de John Pope-Hennessy
* Filippo Lippi, de Gloria Fossi
* Benozzo Gozzoli, de Cristina Acidini LuchinatMots-clés : Renaissance : 15- 16e siècle Italie artiste peintre métier : création Giotto : 1266- 1336 religion chrétienne peinture murale Angelico : 1400- 1455 En ligne : http://www.google.fr/search?q=giotto&hl=fr&lr=lang_fr&client=firefox-a&sa=G&rls= [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43442 759.03 GOT Livre 2. Documentaires 700 Arts-Sports-Loisirs Disponible L'île des Chèvres / Ugo Betti / Éd. du Seuil (1971)
Titre : L'île des Chèvres Titre original : Delitto all'isola delle capre Auteurs : Ugo Betti, Auteur Editeur : Éd. du Seuil, 1971 Importance : 156 p. Langues : Français Langues originales : Italien Résumé : Trois femmes vivent seules, dans une maison, sur une île misérable : Agata la mère, veuve d'Enrico, Pia la tante et
Sylvia la fille cohabitent au son des clochettes de leurs chèvres.Leur seule liaison avec le monde, c'est le chauffeur, le vieil Edoardo, qui leur apporte les provisions. Dans une vie aride, sèche comme un bois mort, elles s'étiolent.
Un soir, arrive l'homme, l'étranger, Angelo. Il a été l'ami d'Enrico. A peine installé dans la maison, il commence à courtiser les trois femmes.Dès lors, la vie s'illumine. Elle s'embrase même au point de se consumer jusqu'à la mort
Une pièce pleine de lucidité et de sensibilité, une pièce dont l'auteur peut se targuer d'avoir pénétré le cœur mystérieux de la gent féminine. "L'île des chèvres" a été créée en 1953 au Théâtre des Noctambules avec Silvia Monfort, Rosy Varte, Laurence Badie et Alain CunyMots-clés : thème littéraire relation homme-femme enfant : famille fratrie condition féminine solitude religion chrétienne Italie séduction comportement sexuel comportement social norme sociale contestation relation parent-enfant couple : famille liberté Type : texte imprimé ; fiction Genre : théâtre L'île des Chèvres = Delitto all'isola delle capre [texte imprimé] / Ugo Betti, Auteur . - [S.l.] : Éd. du Seuil, 1971 . - 156 p.
3.00
Langues : Français Langues originales : Italien
Résumé : Trois femmes vivent seules, dans une maison, sur une île misérable : Agata la mère, veuve d'Enrico, Pia la tante et
Sylvia la fille cohabitent au son des clochettes de leurs chèvres.Leur seule liaison avec le monde, c'est le chauffeur, le vieil Edoardo, qui leur apporte les provisions. Dans une vie aride, sèche comme un bois mort, elles s'étiolent.
Un soir, arrive l'homme, l'étranger, Angelo. Il a été l'ami d'Enrico. A peine installé dans la maison, il commence à courtiser les trois femmes.Dès lors, la vie s'illumine. Elle s'embrase même au point de se consumer jusqu'à la mort
Une pièce pleine de lucidité et de sensibilité, une pièce dont l'auteur peut se targuer d'avoir pénétré le cœur mystérieux de la gent féminine. "L'île des chèvres" a été créée en 1953 au Théâtre des Noctambules avec Silvia Monfort, Rosy Varte, Laurence Badie et Alain CunyMots-clés : thème littéraire relation homme-femme enfant : famille fratrie condition féminine solitude religion chrétienne Italie séduction comportement sexuel comportement social norme sociale contestation relation parent-enfant couple : famille liberté Type : texte imprimé ; fiction Genre : théâtre Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4919 T BET Livre 1. Fictions 7. Théâtre Disponible
Titre : Le maître et la mort Auteurs : MARC TRILLARD Editeur : Gallimard, 2003 Langues : Français Résumé : Port-au-Prince, comme une pièce de charogne, une carcasse entre les mâchoires d'un chien sur sa décharge » : c'est là que commence le roman, lors des funérailles quasi nationales organisées à la mémoire d'un journaliste assassiné sur les ordres d'un sénateur véreux, membre influent de la mouvance Lavalas actuellement au pouvoir, qui prépare le retour du prêtre-président Aristide. Le personnage central du roman, Valéry Vlatine, est employé à la bibliothèque de l'Institut français. On est en période électorale, et Haïti vit dans un climat de guerre civile larvée. Vlatine occupe ses journées à se promener dans le pays, évitant les banlieues résidentielles fréquentées par les Blancs, cherchant un apaisement à son vague à l'âme dans les bras de très jeunes prostituées haïtiennes. Seule contrainte professionnelle, il doit accueillir un écrivain venu de métropole, Exantus Phanord, natif de l'île mais qui n'y est pas retourné depuis l'enfance. Vlatine le guide dans les quartiers populaires, puis lassé par la naïveté et les bons sentiments de l'écrivain, l'abandonne à son sort. Phanord se retrouvera dans une manifestation de l'opposition, des policiers l'embarqueront au poste où il fera un séjour à la fois instructif et traumatisant, qui hâtera son retour vers Paris. Vlatine a décidé de rester sur l'île, se rapproche d'une secte évangéliste dirigée par le pasteur Habermas, qui ne tarde pas à repérer ses qualités de prédicateur. Vlatine monte dans la hiérarchie et finit par fonder sa propre secte, baptisée le Rocher de Baden, avec quelques prêtres d'Habermas qu'il parvient à dévoyer. La secte a du succès, grâce à la force de persuasion du Blanc, et à la liqueur miraculeuse dont il vend les fioles à prix d'or (une mixture à laquelle il affirme avoir mélangé le sang de ses stigmates – en fait, du sang de poulet). Il loue une superbe maison, qu'il appelle la Volière, dans laquelle il convie des restaveks, enfants abandonnés par leurs parents auprès de riches protecteurs. Entouré d'adolescentes, il se construit là son Eden privé. Mais sa disciple Guirlène, numéro deux de la secte, ancienne maîtresse qu'il délaisse, le trahit comme lui-même avait trahi Habermas. Elle entraîne les fidèles avec elle, et il se retrouve seul, Blanc parmi une population qui lui est désormais hostile.
C'est un roman étrange, passionnant, magnifiquement écrit. Ce qui retient et fascine, c'est l'écriture tonique, inventive, foisonnante, très libre et mûre : on peut appeler cela un style. Le thème lui-même, l'intrigue et ses ressorts, ne sont qu'un support à cette fête de mots qui savent aussi bien célébrer le corps des femmes que décrire la haine, la médiocrité, la déliquescence tropicale, la tyrannie du désir qui pousse les hommes à leur perte, la violence et la perversité des rapports post-coloniaux… Les dialogues, acérés, font preuve d'une grande maîtrise. Les caractères sont remarquablement ébauchés. Trillard donne à chaque page la preuve sans conteste d'une exceptionnelle puissance romanesque. Peu d'auteurs, en tout cas, sont capables de restituer avec une telle vigueur d'évocation des atmosphères de moiteur tropicale, de violence collective, d'érotisme trouble.Mots-clés : thème littéraire Haïti Secte Pauvreté tiers monde Religion Corruption Inégalité sociale Condition féminine Expatrié Intellectuel Bibliothécaire Droits des enfants condition de l'enfant Condition sociale Société post-coloniale Colonialisme Misère Violence politique Violence policière Liberté de la presse Violation des droits de l'homme religion chrétienne Port-au-Prince Relation homme-femme prostitution Caraïbes Ile des CaraÏbes Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://pagesperso-orange.fr/calounet/resumes_livres/trillard_resume/trillard_lem [...] Le maître et la mort [texte imprimé] / MARC TRILLARD . - [S.l.] : Gallimard, 2003.
ISBN : 978-2-07-072986-9 : 19,00
Langues : Français
Résumé : Port-au-Prince, comme une pièce de charogne, une carcasse entre les mâchoires d'un chien sur sa décharge » : c'est là que commence le roman, lors des funérailles quasi nationales organisées à la mémoire d'un journaliste assassiné sur les ordres d'un sénateur véreux, membre influent de la mouvance Lavalas actuellement au pouvoir, qui prépare le retour du prêtre-président Aristide. Le personnage central du roman, Valéry Vlatine, est employé à la bibliothèque de l'Institut français. On est en période électorale, et Haïti vit dans un climat de guerre civile larvée. Vlatine occupe ses journées à se promener dans le pays, évitant les banlieues résidentielles fréquentées par les Blancs, cherchant un apaisement à son vague à l'âme dans les bras de très jeunes prostituées haïtiennes. Seule contrainte professionnelle, il doit accueillir un écrivain venu de métropole, Exantus Phanord, natif de l'île mais qui n'y est pas retourné depuis l'enfance. Vlatine le guide dans les quartiers populaires, puis lassé par la naïveté et les bons sentiments de l'écrivain, l'abandonne à son sort. Phanord se retrouvera dans une manifestation de l'opposition, des policiers l'embarqueront au poste où il fera un séjour à la fois instructif et traumatisant, qui hâtera son retour vers Paris. Vlatine a décidé de rester sur l'île, se rapproche d'une secte évangéliste dirigée par le pasteur Habermas, qui ne tarde pas à repérer ses qualités de prédicateur. Vlatine monte dans la hiérarchie et finit par fonder sa propre secte, baptisée le Rocher de Baden, avec quelques prêtres d'Habermas qu'il parvient à dévoyer. La secte a du succès, grâce à la force de persuasion du Blanc, et à la liqueur miraculeuse dont il vend les fioles à prix d'or (une mixture à laquelle il affirme avoir mélangé le sang de ses stigmates – en fait, du sang de poulet). Il loue une superbe maison, qu'il appelle la Volière, dans laquelle il convie des restaveks, enfants abandonnés par leurs parents auprès de riches protecteurs. Entouré d'adolescentes, il se construit là son Eden privé. Mais sa disciple Guirlène, numéro deux de la secte, ancienne maîtresse qu'il délaisse, le trahit comme lui-même avait trahi Habermas. Elle entraîne les fidèles avec elle, et il se retrouve seul, Blanc parmi une population qui lui est désormais hostile.
C'est un roman étrange, passionnant, magnifiquement écrit. Ce qui retient et fascine, c'est l'écriture tonique, inventive, foisonnante, très libre et mûre : on peut appeler cela un style. Le thème lui-même, l'intrigue et ses ressorts, ne sont qu'un support à cette fête de mots qui savent aussi bien célébrer le corps des femmes que décrire la haine, la médiocrité, la déliquescence tropicale, la tyrannie du désir qui pousse les hommes à leur perte, la violence et la perversité des rapports post-coloniaux… Les dialogues, acérés, font preuve d'une grande maîtrise. Les caractères sont remarquablement ébauchés. Trillard donne à chaque page la preuve sans conteste d'une exceptionnelle puissance romanesque. Peu d'auteurs, en tout cas, sont capables de restituer avec une telle vigueur d'évocation des atmosphères de moiteur tropicale, de violence collective, d'érotisme trouble.Mots-clés : thème littéraire Haïti Secte Pauvreté tiers monde Religion Corruption Inégalité sociale Condition féminine Expatrié Intellectuel Bibliothécaire Droits des enfants condition de l'enfant Condition sociale Société post-coloniale Colonialisme Misère Violence politique Violence policière Liberté de la presse Violation des droits de l'homme religion chrétienne Port-au-Prince Relation homme-femme prostitution Caraïbes Ile des CaraÏbes Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://pagesperso-orange.fr/calounet/resumes_livres/trillard_resume/trillard_lem [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 18231 R TRI Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : Voyage au bout de la nuit Auteurs : Louis-Ferdinand Céline, Auteur Editeur : Gallimard, 2006 Collection : Folioplus classiques Sous-collection : classiques du XXe siècle num. 60 Importance : 615 p. Langues : Français Résumé : Dossier et notes réalisés par Stéfan Ferrari. Lecture d'image par Agnès Verlet, 624 pages sous couv. ill., 108 x 178 mm. Collection Folioplus classiques (No 60) (2006), Gallimard -rom. ISBN 2070336867.
Présentation de l'éditeur
Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points :
Courant littéraire : Céline dans le paysage littéraire de l'entre-deux-guerres ;
Genre et registre : Apprentissage et autobiographie ;
L'écrivain à sa table de travail : Du théâtre au roman ;
Groupement de textes : La nuit ;
Chronologie : Céline et son temps ;
Fiche : Des pistes pour rendre compte de sa lecture
1)
Paris, place de Clichy, 1914. Envoûté par la musique d'une parade militaire, Ferdinand Bardamu, jeune rebelle, décide, par excès d'héroïsme, de s'engager dans la guerre contre les Allemands. Mais au front, c'est l'enfer et l'absurdité. Il perd vite son enthousiasme et découvre avec épouvante les horreurs de la guerre. Il ne comprend plus pourquoi il doit tirer sur les Allemands. Il prend aussi conscience de sa propre lâcheté.
On lui confie une mission de reconnaissance. Lors d'une nuit d'errance, il rencontre un réserviste nommé Robinson qui cherche à déserter. Ils envisagent de s'enfuir, mais leur tentative échoue. Blessé, traumatisé à jamais par la guerre, Bardamu revient à Paris pour être soigné. On lui remet une médaille militaire. Lors de cette cérémonie, il fait la connaissance de Lola, une jeune et jolie infirmière américaine. Bardamu est soigné dans différents hôpitaux. Il prend conscience des avantages et profits que tirent de la guerre tous ceux qui y ont échappé.
Lola, compagne futile et légère, le quitte. Il rencontre alors Musyne, une jeune violoniste. Ils ont une aventure, mais, un jour de bombardement, elle l'abandonne.
Réformé, Bardamu décide de partir pour l'Afrique. Il y découvre les horreurs de l'exploitation coloniale. Il retrouve Robinson, rencontré sur les champs de bataille, et lui succède en reprenant la gérance d'un comptoir commercial. Il tombe malade et connaît des crises de délire.
Il quitte l'Afrique à demi-mort à bord d'un bâtiment espagnol qui a tout d'une galère. Ce bateau l'emmène jusqu'à New-York . Dès son arrivée, il est placé en quarantaine . Dans cette ville à laquelle, il a tant rêvé, il ne connaît que solitude et pauvreté. Il part à Détroit pour y travailler. Il rencontre Molly, une prostituée généreuse qui le délivre de l'enfer de l'usine Ford . Molly aime Bardamu , l'entretient et lui propose de partager son bonheur. Mais son désir d'explorer plus avant l'existence le pousse à renoncer à cette femme généreuse. Il quitte les Etats-Unis et revient à Paris. Il rentre le cœur gonflé et meurtri par toutes ces expériences.
Devenu médecin , mais menant une existence toujours aussi misérable, il s'installe à Rancy, banlieue triste et pauvre. Il y découvre les côtés les plus répugnants et les plus désespérants de la condition humaine. Il assiste impuissant à la mort de Bébert, un petit garçon qu'il aimait bien et que la science ne peut sauver. Puis il se retrouvé mêlé à une sordide histoire. Une famille de sa clientèle, les Henrouille, souhaitent se débarrasser de leur mère âgée. Ils font appel à Robinson qui accepte de tuer la vieille dame pour dix mille francs. Mais par maladresse, Robinson échoue et se blesse. Il perd provisoirement la vue. Bardamu soigne Robinson qui part ensuite s'exiler à Toulouse en compagnie de la mère Henrouille, sa victime rescapée.
Bardamu quitte Rançy et abandonne la médecine. Il devient figurant dans un spectacle de danse. Il se rend ensuite à Toulouse et retrouve Robinson. Il fait la connaissance de Madelon , sa fiancée et devient son amant. Il fait visiter avec la mère Henrouille un caveau plein de cadavres à des touristes. Mais la vieille dame tombe dans l'escalier, vraisemblablement poussée par Bardamu, et se tue. Robinson incite son compère à regagner Paris.
Il est engagé comme médecin dans un établissement psychiatrique dont le patron est le docteur Baryton. Les deux hommes sympathisent.
Rapidement, Baryton sombre dans la folie et annonce à Bardamu sa décision de partir : " je vais renaître, Ferdinand." Il confie à Bardamu la direction de la clinique. Robinson reparaît au grand regret de son ami. Il a recouvré la vue et a quitté Madelon. Bardamu le cache dans sa clinique pour le soustraire à Madelon qui, amoureuse, le poursuit. Sophie, une superbe infirmière slovaque, qui est devenue la maîtresse de Bardamu, prêche pour la réconciliation entre Robinson et Madelon. Bardamu propose une sortie à la fête des Batignolles afin de réconcilier tout le monde. Robinson refuse les avances de Madelon dans le taxi et avoue son dégoût des grands sentiments Madelon le tue de trois coups de revolver. Après l'agonie de Robinson, Bardamu se retrouve seul en bordure d'un canal. Un remorqueur siffle au loin comme s'il souhaitait emmener avec lui tout ce qui existe : " tout , qu'on n'en parle plus."
http://www.alalettre.com/celine-oeuvres-voyage.php
2) Lecture d'images : Analyse du combat de Carnaval et de Carême de Pierre Bruegel (1559)Mots-clés : thème littéraire France 1910- 1919-1939 Paris guerre mondiale : 1914-1918 militaire antimilitarisme relation homme-femme société coloniale politique coloniale Afrique mal de vivre comportement social New-York : Etats-Unis solitude pauvreté vie sociale relation sociale prostitution condition féminine aventures : voyage Banlieue médecin métier : santé exercice de la médecine condition humaine corruption personne âgée psychose ironie thème pictural Bruegel l'Ancien : 1525- 1569 carnaval culture européenne fête religieuse religion chrétienne catholicisme Moyen Age grotesque 16ème siècle liberté classe sociale culture populaire Céline, Louis Ferdinand : 1894- 1961 Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://fichesdelecture.over-blog.com/article-21911060.html Voyage au bout de la nuit [texte imprimé] / Louis-Ferdinand Céline, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 2006 . - 615 p.. - (Folioplus classiques. classiques du XXe siècle; 60) .
ISBN : 978-2-07-033686-9 : 8,70
Langues : Français
Résumé : Dossier et notes réalisés par Stéfan Ferrari. Lecture d'image par Agnès Verlet, 624 pages sous couv. ill., 108 x 178 mm. Collection Folioplus classiques (No 60) (2006), Gallimard -rom. ISBN 2070336867.
Présentation de l'éditeur
Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points :
Courant littéraire : Céline dans le paysage littéraire de l'entre-deux-guerres ;
Genre et registre : Apprentissage et autobiographie ;
L'écrivain à sa table de travail : Du théâtre au roman ;
Groupement de textes : La nuit ;
Chronologie : Céline et son temps ;
Fiche : Des pistes pour rendre compte de sa lecture
1)
Paris, place de Clichy, 1914. Envoûté par la musique d'une parade militaire, Ferdinand Bardamu, jeune rebelle, décide, par excès d'héroïsme, de s'engager dans la guerre contre les Allemands. Mais au front, c'est l'enfer et l'absurdité. Il perd vite son enthousiasme et découvre avec épouvante les horreurs de la guerre. Il ne comprend plus pourquoi il doit tirer sur les Allemands. Il prend aussi conscience de sa propre lâcheté.
On lui confie une mission de reconnaissance. Lors d'une nuit d'errance, il rencontre un réserviste nommé Robinson qui cherche à déserter. Ils envisagent de s'enfuir, mais leur tentative échoue. Blessé, traumatisé à jamais par la guerre, Bardamu revient à Paris pour être soigné. On lui remet une médaille militaire. Lors de cette cérémonie, il fait la connaissance de Lola, une jeune et jolie infirmière américaine. Bardamu est soigné dans différents hôpitaux. Il prend conscience des avantages et profits que tirent de la guerre tous ceux qui y ont échappé.
Lola, compagne futile et légère, le quitte. Il rencontre alors Musyne, une jeune violoniste. Ils ont une aventure, mais, un jour de bombardement, elle l'abandonne.
Réformé, Bardamu décide de partir pour l'Afrique. Il y découvre les horreurs de l'exploitation coloniale. Il retrouve Robinson, rencontré sur les champs de bataille, et lui succède en reprenant la gérance d'un comptoir commercial. Il tombe malade et connaît des crises de délire.
Il quitte l'Afrique à demi-mort à bord d'un bâtiment espagnol qui a tout d'une galère. Ce bateau l'emmène jusqu'à New-York . Dès son arrivée, il est placé en quarantaine . Dans cette ville à laquelle, il a tant rêvé, il ne connaît que solitude et pauvreté. Il part à Détroit pour y travailler. Il rencontre Molly, une prostituée généreuse qui le délivre de l'enfer de l'usine Ford . Molly aime Bardamu , l'entretient et lui propose de partager son bonheur. Mais son désir d'explorer plus avant l'existence le pousse à renoncer à cette femme généreuse. Il quitte les Etats-Unis et revient à Paris. Il rentre le cœur gonflé et meurtri par toutes ces expériences.
Devenu médecin , mais menant une existence toujours aussi misérable, il s'installe à Rancy, banlieue triste et pauvre. Il y découvre les côtés les plus répugnants et les plus désespérants de la condition humaine. Il assiste impuissant à la mort de Bébert, un petit garçon qu'il aimait bien et que la science ne peut sauver. Puis il se retrouvé mêlé à une sordide histoire. Une famille de sa clientèle, les Henrouille, souhaitent se débarrasser de leur mère âgée. Ils font appel à Robinson qui accepte de tuer la vieille dame pour dix mille francs. Mais par maladresse, Robinson échoue et se blesse. Il perd provisoirement la vue. Bardamu soigne Robinson qui part ensuite s'exiler à Toulouse en compagnie de la mère Henrouille, sa victime rescapée.
Bardamu quitte Rançy et abandonne la médecine. Il devient figurant dans un spectacle de danse. Il se rend ensuite à Toulouse et retrouve Robinson. Il fait la connaissance de Madelon , sa fiancée et devient son amant. Il fait visiter avec la mère Henrouille un caveau plein de cadavres à des touristes. Mais la vieille dame tombe dans l'escalier, vraisemblablement poussée par Bardamu, et se tue. Robinson incite son compère à regagner Paris.
Il est engagé comme médecin dans un établissement psychiatrique dont le patron est le docteur Baryton. Les deux hommes sympathisent.
Rapidement, Baryton sombre dans la folie et annonce à Bardamu sa décision de partir : " je vais renaître, Ferdinand." Il confie à Bardamu la direction de la clinique. Robinson reparaît au grand regret de son ami. Il a recouvré la vue et a quitté Madelon. Bardamu le cache dans sa clinique pour le soustraire à Madelon qui, amoureuse, le poursuit. Sophie, une superbe infirmière slovaque, qui est devenue la maîtresse de Bardamu, prêche pour la réconciliation entre Robinson et Madelon. Bardamu propose une sortie à la fête des Batignolles afin de réconcilier tout le monde. Robinson refuse les avances de Madelon dans le taxi et avoue son dégoût des grands sentiments Madelon le tue de trois coups de revolver. Après l'agonie de Robinson, Bardamu se retrouve seul en bordure d'un canal. Un remorqueur siffle au loin comme s'il souhaitait emmener avec lui tout ce qui existe : " tout , qu'on n'en parle plus."
http://www.alalettre.com/celine-oeuvres-voyage.php
2) Lecture d'images : Analyse du combat de Carnaval et de Carême de Pierre Bruegel (1559)Mots-clés : thème littéraire France 1910- 1919-1939 Paris guerre mondiale : 1914-1918 militaire antimilitarisme relation homme-femme société coloniale politique coloniale Afrique mal de vivre comportement social New-York : Etats-Unis solitude pauvreté vie sociale relation sociale prostitution condition féminine aventures : voyage Banlieue médecin métier : santé exercice de la médecine condition humaine corruption personne âgée psychose ironie thème pictural Bruegel l'Ancien : 1525- 1569 carnaval culture européenne fête religieuse religion chrétienne catholicisme Moyen Age grotesque 16ème siècle liberté classe sociale culture populaire Céline, Louis Ferdinand : 1894- 1961 Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://fichesdelecture.over-blog.com/article-21911060.html Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4027 R CEL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible