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Le terrorisme / Elisabeth Combres / Gallimard Jeunesse (2009)
Titre : Le terrorisme Auteurs : Elisabeth Combres, Auteur ; Florence Thinard, Auteur Editeur : Gallimard Jeunesse, 2009 Collection : Les Clés de l'info Importance : 63 p. Présentation : illustrations, cartes Langues : Français Résumé : Le terrorisme fait régulièrement la Une des médias d'information. Mais l'on n'en saisit pas toujours le sens et les enjeux. Quels sont les principaux groupes terroristes? Quelles sont les raisons qui poussent des hommes et des femmes à devenir kamikaze? Comment lutter contre le terrorisme? Mots-clés : terrorisme monde 2000- Index. décimale : 303 Processus sociaux Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Le terrorisme [texte imprimé] / Elisabeth Combres, Auteur ; Florence Thinard, Auteur . - [S.l.] : Gallimard Jeunesse, 2009 . - 63 p. : illustrations, cartes. - (Les Clés de l'info) .
ISBN : 978-2-07-062733-2 : 6,90
Langues : Français
Résumé : Le terrorisme fait régulièrement la Une des médias d'information. Mais l'on n'en saisit pas toujours le sens et les enjeux. Quels sont les principaux groupes terroristes? Quelles sont les raisons qui poussent des hommes et des femmes à devenir kamikaze? Comment lutter contre le terrorisme? Mots-clés : terrorisme monde 2000- Index. décimale : 303 Processus sociaux Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 41107 303.62 COM Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible Bienvenue au club / Jonathan Coe / Gallimard (2003)
Titre : Bienvenue au club Auteurs : Jonathan Coe Editeur : Gallimard, 2003 Collection : Folio num. 4071 Importance : 540p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : Trotter, Harding et Chase ont environ 15 ans et font leurs études à l'école de Birmingham. Nous sommes dans les années 1970, une période reculée où l'on n'avait pas encore de portables, où l'informatique ne régnait pas encore en maître et où les syndicats, depuis longtemps puissants, osaient parler haut et fort. C'était avant l'avènement de Mrs Thatcher. La vie de ces adolescents est riche en aventures, en espoirs et en déceptions. Ils lancent un journal, tombent amoureux, montent un orchestre de rock, se jalousent et se détestent, s'interrogent sur leurs aînés. Les parents ont d'autres préoccupations : la violence, le terrorisme de l'IRA, les grèves à l'usine de British Leyland où travaillent les pères, l'agitation sociale... Tout ce climat se reflète dans les existences des quatre jeunes héros.
"Bienvenue au club commence en 1973 à Birmingham, dans l'Angleterre industrielle. Il y a le prestigieux lycée de King William où se fréquentent les Trotter, Benjamin qui semble promis à un brillant avenir d'écrivain ou de compositeur, si gourd avec les filles et qui trouvera Dieu dans un miraculeux maillot de bain, son frère Paul, petit salopard cynique, Doug Anderton, fils de syndicaliste, Philip Chase le sérieux, Steve Richards seul et unique Noir dans cette école de riches et son éternel rival, le très détesté Ronald Culpepper, et d'autres encore... Il y a les filles, bien sûr : Claire et Miriam Newman (dont la passion clandestine avec le père de Doug, provoquera sa mystérieuse disparition), Lois Trotter, dont le fiancé sera tué dans un attentat de l'IRA, la sublime et un peu tarte Cicely, amour absolu de Benjamin... Il y a leurs rêves, leurs espoirs d'êtres en devenir...
Et puis il y a l'usine automobile. Qui fait vivre la moitié de la ville, théâtre de l'indépassable lutte des classes (à l'époque où ce n'était pas toujours le même camp qui gagnait), de la montée de l'extrême-droite et des poussées de fièvre anti-irlandaise.
Un roman foisonnant, comme on dit, qui mêle les petites histoires, touchantes, souvent très drôles, à la grande (comme on dit aussi), celle des dernières années de la contestation triomphante, des luttes populaires victorieuses, mais qui porte déjà en son sein les terribles années Thatcher et leurs ravages politiques, sociaux, humains..."Mots-clés : thème littéraire Grande-Bretagne 1970- adolescence amitié bande de jeunes jeunesse vie sociale relation sociale condition masculine terrorisme relation parent-enfant contestation sociale mutation sociale entreprise industrielle racisme syndicalisme relation homme-femme inégalité sociale Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Bienvenue au club [texte imprimé] / Jonathan Coe . - [S.l.] : Gallimard, 2003 . - 540p.. - (Folio; 4071) .
ISBN : 978-2-07-031723-3
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : Trotter, Harding et Chase ont environ 15 ans et font leurs études à l'école de Birmingham. Nous sommes dans les années 1970, une période reculée où l'on n'avait pas encore de portables, où l'informatique ne régnait pas encore en maître et où les syndicats, depuis longtemps puissants, osaient parler haut et fort. C'était avant l'avènement de Mrs Thatcher. La vie de ces adolescents est riche en aventures, en espoirs et en déceptions. Ils lancent un journal, tombent amoureux, montent un orchestre de rock, se jalousent et se détestent, s'interrogent sur leurs aînés. Les parents ont d'autres préoccupations : la violence, le terrorisme de l'IRA, les grèves à l'usine de British Leyland où travaillent les pères, l'agitation sociale... Tout ce climat se reflète dans les existences des quatre jeunes héros.
"Bienvenue au club commence en 1973 à Birmingham, dans l'Angleterre industrielle. Il y a le prestigieux lycée de King William où se fréquentent les Trotter, Benjamin qui semble promis à un brillant avenir d'écrivain ou de compositeur, si gourd avec les filles et qui trouvera Dieu dans un miraculeux maillot de bain, son frère Paul, petit salopard cynique, Doug Anderton, fils de syndicaliste, Philip Chase le sérieux, Steve Richards seul et unique Noir dans cette école de riches et son éternel rival, le très détesté Ronald Culpepper, et d'autres encore... Il y a les filles, bien sûr : Claire et Miriam Newman (dont la passion clandestine avec le père de Doug, provoquera sa mystérieuse disparition), Lois Trotter, dont le fiancé sera tué dans un attentat de l'IRA, la sublime et un peu tarte Cicely, amour absolu de Benjamin... Il y a leurs rêves, leurs espoirs d'êtres en devenir...
Et puis il y a l'usine automobile. Qui fait vivre la moitié de la ville, théâtre de l'indépassable lutte des classes (à l'époque où ce n'était pas toujours le même camp qui gagnait), de la montée de l'extrême-droite et des poussées de fièvre anti-irlandaise.
Un roman foisonnant, comme on dit, qui mêle les petites histoires, touchantes, souvent très drôles, à la grande (comme on dit aussi), celle des dernières années de la contestation triomphante, des luttes populaires victorieuses, mais qui porte déjà en son sein les terribles années Thatcher et leurs ravages politiques, sociaux, humains..."Mots-clés : thème littéraire Grande-Bretagne 1970- adolescence amitié bande de jeunes jeunesse vie sociale relation sociale condition masculine terrorisme relation parent-enfant contestation sociale mutation sociale entreprise industrielle racisme syndicalisme relation homme-femme inégalité sociale Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37923 R COE Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La Condition humaine Auteurs : André Malraux, Auteur Editeur : Gallimard, 1997 Collection : Folio plus Importance : 411p. Langues : Français Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# La Condition humaine [texte imprimé] / André Malraux, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1997 . - 411p.. - (Folio plus) .
ISBN : 978-2-07-040065-2 : 5.00
Langues : Français
Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5520 R MAL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La Condition humaine Auteurs : André Malraux, Auteur Editeur : Gallimard, 1997 Collection : Folio plus Sous-collection : Folioplus Classiques Importance : 411p. Langues : Français Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# La Condition humaine [texte imprimé] / André Malraux, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1997 . - 411p.. - (Folio plus. Folioplus Classiques) .
ISBN : 978-2-07-034610-3 : 5.00
Langues : Français
Résumé : "Mars 1927. L'armée du Kuomintang dirigée par Chang-Kaï-Shek s'approche de Shanghai. Les cellules communistes de la ville organisent le soulèvement des ouvriers pour faciliter la prise du grand port industriel par les armées révolutionnaires. Les européens occupant les concessions (zones franches accordées aux puissances occidentales depuis le XIXe siècle) misent sur l'éclatement du Kuomintang : ils soutiennent Chang-Kaï-Shek contre les communistes...
Tel est le cadre grandiose et rugissant de l'intrigue où évoluent les personnages écrasés par leur condition d'Homme. Le Professeur Gisors, universitaire esthète converti au communisme, qui ne supporte le fracas du monde qu'assourdi par les lourdes fumées de l'opium. Kyo Gisors, son fils, qui encadre le soulèvement ouvrier de la ville et lutte jusqu'à la mort pour « la dignité » des masses laborieuses. Tchen, un disciple du professeur Gisors, s'engage dans la lutte terroriste après avoir vécu comme un arrachement intérieur son premier assassinat. Katow, l'ancien militant de la révolution russe de 1917, le héros humaniste. Hemmelrich, marchand de disques dont l'engagement révolutionnaire est entravé par la santé fragile de sa femme et son fils. Le baron de Clappique, trafiquant d'armes et marchand d'art, qui étouffe ses questions existentielles sous une perpétuelle bouffonnerie. Ferral, grand industriel cynique, amateur de femmes, ambitieux et lucide. Le peintre et musicien Kama qui vit dans la sérénité grâce à sa maîtrise de l'Art.
Autant de destins parallèles ou convergents, de vie bouleversées. La peur et la souffrance, la mort violente, le sacrifice héroïque, le terrorisme inutile…
Une fresque saisissante du conflit révolutionnaire chinois, de l'absurdité de toute guerre, de la cruauté humaine, de l'ambition des financiers, des tractations politiques et diplomatiques… La barbarie de ces hommes qui torturent et massacrent leurs adversaires, qui brûlent vifs les prisonniers dans la chaudière d'une locomotive hurlante… Le sifflet strident de la locomotive qui vient de « digérer » un combattant immolé… La condition humaine… (...)"
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=152
"Après Les Conquérants (1928) et La Voie royale (1930), La Condition humaine (prix Goncourt 1933) est le dernier volet d'un cycle romanesque inspiré à Malraux par ses séjours en Indochine dans les années 1920. Loin d'être seulement une fresque historique de la révolution, La Condition humaine propose une véritable méditation sur l'homme.(...)L'action du roman, concentrée en à peine quelques jours, se situe à Shanghai en 1927, dans une Chine politiquement décomposée, dominée économiquement par les nations étrangères. Le Kuomintang nationaliste de Tchiang Kaï-chek et le Parti communiste chinois préparent une insurrection commune. La révolution réussie, Tchiang Kaï-chek, exige que les communistes lui rendent leurs armes. Ils s'y refusent, puis cèdent sur ordre de l'Internationale. Sans défense, ils sont massacrés par les nationalistes.
Chacun des héros de cette épopée incarne à sa manière le caractère tragique de la condition humaine, écartelée entre raison et instinct de vie. Le communiste Kyo Gisors, mi-chinois mi-japonais, agit par idéal, et trouve dans la révolution un sens à sa vie. Au contraire, Tchen sombre dans le terrorisme et le fanatisme pour tenter de combler le vide qui l'habite. Hemmelrich, boutiquier qui donne asile aux insurgés communistes, lutte lui aussi contre son impuissance à agir, tandis que le baron de Clappique ne peut que jouer sa propre existence. Enfin Ferral, capitaliste aventurier et dominateur, soutient Tchiang Kaï-chek, non par idéal mais par volonté de puissance. Le roman s'achève par une hécatombe : Kyo et Tchen meurent, ainsi que Katow, figure du sublime christique. Ancien de la révolution russe, il donne son cyanure à deux compagnons d'infortune, leur évitant de subir sa propre mort : il sera brûlé vif dans un foyer de locomotive. Le roman s'achève néanmoins sur une note d'espoir : May, la compagne de Kyo, reprend la lutte avec les survivants.
La Condition humaine est un roman historique et politique fondé sur la vérité humaine des personnages. La révolution constitue le cadre du roman, mais non son essence, car le véritable propos du livre est métaphysique. D'emblée la tragédie se noue, d'une révolution faite pour l'homme, mais qui le broie et le mène à sa perte. Les impératifs de la cause révolutionnaire conduisent à un écartèlement de la conscience : rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort.
Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par désespoir : « Que faire d'une âme, s'il n'y a ni Dieu ni Christ ? » (...)
http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/#Mots-clés : thème littéraire 1920- Chine communisme Chiang-Kai-Shek : 1887-1975 Extrême-Orient révolution : politique crise politique culture européenne culture orientale civilisation et culture condition humaine comportement social mal de vivre relation père-enfant idéalisme militantisme terrorisme violence politique violation des droits de l'homme conflit armé relation enseignant-apprenant Thème de fiction : guerre/mort/révolution Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.universalis-edu.com/encyclopedie/la-condition-humaine/# Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 43995 R MAL Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible Pourquoi le renseignement? / Frédéric Guelton / Larousse (2004)
Titre : Pourquoi le renseignement?: De l'espionnage à l'information globale Auteurs : Frédéric Guelton, Auteur Editeur : Larousse, 2004 Importance : 151 p. Langues : Français Résumé : Cet ouvrage retrace le passage de l'espionnage traditionnel à dominante militaire au renseignement global, dans lequel l'économie, la sécurité ou la politique comptent autant que les questions d'armement et de stratégie. Il s'attache à montrer comment le facteur humain s'articule avec les fantastiques moyens technologiques d'aujourd'hui que sont les satellites, les réseaux d'écoute (Échelon) ou les avions d'observation (drones).
Nourri de cas concrets, historiques ou actuels, ce livre fait le point sur une activité essentielle et, par définition, peu connue de la politique des États modernes. À l'heure où le terrorisme menace la planète, il milite aussi pour que le renseignement constitue non seulement une puissante garantie de sécurité, mais aussi un outil au service des libertés publiques.Mots-clés : espionnage police histoire monde terrorisme Index. décimale : 327 Relations internationales Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Pourquoi le renseignement? : De l'espionnage à l'information globale [texte imprimé] / Frédéric Guelton, Auteur . - [S.l.] : Larousse, 2004 . - 151 p.
ISBN : 978-2-03-505463-0 : 18,00
Langues : Français
Résumé : Cet ouvrage retrace le passage de l'espionnage traditionnel à dominante militaire au renseignement global, dans lequel l'économie, la sécurité ou la politique comptent autant que les questions d'armement et de stratégie. Il s'attache à montrer comment le facteur humain s'articule avec les fantastiques moyens technologiques d'aujourd'hui que sont les satellites, les réseaux d'écoute (Échelon) ou les avions d'observation (drones).
Nourri de cas concrets, historiques ou actuels, ce livre fait le point sur une activité essentielle et, par définition, peu connue de la politique des États modernes. À l'heure où le terrorisme menace la planète, il milite aussi pour que le renseignement constitue non seulement une puissante garantie de sécurité, mais aussi un outil au service des libertés publiques.Mots-clés : espionnage police histoire monde terrorisme Index. décimale : 327 Relations internationales Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Exemplaires
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