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25 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'totalitarisme'




Le totalitarisme / CLAUDE POLIN / Paris : PUF (1987)
Titre : Le totalitarisme Auteurs : CLAUDE POLIN, Auteur Editeur : Paris : PUF, 1987 Collection : Que sais-je ? Importance : 127 p. Langues : Français Résumé : LE MOT. DU MOT AU CONCEPT:LES CONCEPTIONS USUELLES DU TOTALITARISME. DU CONCEPT A LA REALITE. DE LA REALITE A SON EXPLICATION:HYPOTHESES Mots-clés : totalitarisme dictature libéralisme Index. décimale : 321 Types d'Etats et de gouvernements Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Le totalitarisme [texte imprimé] / CLAUDE POLIN, Auteur . - Paris : PUF, 1987 . - 127 p.. - (Que sais-je ?) .
Langues : Français
Résumé : LE MOT. DU MOT AU CONCEPT:LES CONCEPTIONS USUELLES DU TOTALITARISME. DU CONCEPT A LA REALITE. DE LA REALITE A SON EXPLICATION:HYPOTHESES Mots-clés : totalitarisme dictature libéralisme Index. décimale : 321 Types d'Etats et de gouvernements Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7647 321.9 POL Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible
Titre : 1984 Auteurs : GEORGE ORWELL, Auteur Editeur : Gallimard, 1996 Collection : Folio Importance : 438 p. Langues : Français Langues originales : Anglais Résumé : George Orwell écrit 1984 en 1948 ( l’inversion des 2 derniers chiffres serait une des explications du titre) et le publie l’année suivante.
" Militant de gauche violemment opposé à la dictature soviétique, George Orwell s'est inspiré de Staline pour en faire son 'Big Brother' et pour dépeindre la société totalitaire ultime. Dans une contre-utopie cinglante, Orwell propose une réflexion sur la ruine de l'homme par la confiscation de la pensée et la prolifération de la technocratie. Ce roman nous dévoile une société plongée dans une 'hypnose sociale' où la perversion du langage prédomine : la Paix c'est la Guerre ; l'Amour, la Haine...
Livre de science-fiction ou traité de philosophie politique ? 1984 de George ORWELL combine génialement les deux genres, c'est ce qui fait la qualité et le renom de ce roman impressionnant.
C'est dans l'immédiate après-guerre, alors qu'il est mourrant, qu'Orwell imagine le monde des années quatre-vingt plongé dans le totalitarisme. Trois Etats totalitaires concurrents perpétuellement en guerre se partagent la planète : l'Océania dirigée par Big Brother, l'Eurasia et l'Estasia.
Orwell qui a été contemporain du nazisme et du stalinisme imagine un totalitarisme absolu, qui ne contrôlerait plus seulement les actes mais surtout les esprits, et avec eux la mémoire, et donc la vérité, la science et l'histoire.
« Le commandement des anciens despotismes était : 'Tu ne dois pas.' Le commandement des totalitaires était : 'Tu dois.' Notre commandement est : 'Tu es.' » (p.360)
Pour domestiquer les esprits, le parti unique invente une langue nouvelle, le novlangue, censée limiter les dangereuses éruptions mentales intempestives (ces associations d'idées nées de notre vocabulaire riche et complexe), et une gymnastique mentale appelée doublepensée permettant de faire coexister une vérité et son contraire.
Le plus inquiétant c'est de constater la machine infernale qui est en marche dans 1984 : le temps joue pour ce système diabolique qui est toujours plus puissant, toujours moins vulnérable. Si on ne détruit pas les germes du mal avant qu'ils n'aient pris racine, le processus totalitaire imaginé par Orwell semble indestructible, irréversible. C'est ce qui explique d'ailleurs la teinte sombre du roman, très pessimiste.
Passage très fort du roman : la torture physique et psychologique subie par Winston dans le 'Ministère de l'Amour'. On retrouve les terribles techniques employées jadis par l'Inquisition puis perfectionnées par nazis et staliniens. Cet apparent paradoxe notamment : le supplicié finit par se sentir proche de son tortionnaire, il l'aime et souhaite obtenir son soutien, il veut faire plaisir à celui qui le fait souffrir au-delà du supportable… Orwell était un grand connaisseur de l'âme humaine.
Notre époque contemporaine a heureusement échappé aux totalitarismes nés de l'après-guerre. On ressort pourtant de la lecture de 1984 avec un profond malaise. Les germes diffus du totalitarisme de Big Brother semblent nous menacer quotidiennement. Bien sûr il n'existe pas de parti unique pour porter ce totalitarisme, mais c'est justement ce qui fait sa force menaçante.
Une forme de novlangue ne s'instaure-t-elle pas dans notre société ? Le « politiquement correct » dans les médias et le jargon technicien incompréhensible des spécialistes (essayez de lire un texte de loi moderne ou de comprendre une réforme économique…) ne sont-ils pas deux déclinaisons complémentaires de cette novlangue contemporaine ?
L'ignorance crasse règne partout en maîtresse et se drape majestueusement dans les oripeaux de la science : on est capable de parler de tout mais on ne connaît rien (c'est un des enseignements dispensés à Sciences Po sous le vocable vertueux de « culture générale »). Combien de journalistes et d'étudiants qui citent 1984 et Orwell sans répit ont-ils véritablement lu ce roman ?
Le fait qu'une émission de télévision anglo-saxonne très populaire s'intitule « Big Brother » devrait nous faire réfléchir sur les maux qui menacent notre tranquille société moderne.
Publié par Mathieu Scrivat
Le jeudi 12 juin 2003
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153Mots-clés : thème littéraire science-fiction : genre totalitarisme propagande 1950- dictature utopie résistance : politique contestation rébellion liberté droits de l'homme violation des droits de l'homme liberté de pensée liberté d'expression perversion Etat nazisme stalisnime parti politique parti unique idéologie politique comportement social perception d'autrui perception de soi stéréotype relation sociale vie sociale représentation mentale torture Thème de fiction : fantastique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153 1984 [texte imprimé] / GEORGE ORWELL, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 1996 . - 438 p.. - (Folio) .
ISBN : 978-2-07-036822-8 : 8.00
Langues : Français Langues originales : Anglais
Résumé : George Orwell écrit 1984 en 1948 ( l’inversion des 2 derniers chiffres serait une des explications du titre) et le publie l’année suivante.
" Militant de gauche violemment opposé à la dictature soviétique, George Orwell s'est inspiré de Staline pour en faire son 'Big Brother' et pour dépeindre la société totalitaire ultime. Dans une contre-utopie cinglante, Orwell propose une réflexion sur la ruine de l'homme par la confiscation de la pensée et la prolifération de la technocratie. Ce roman nous dévoile une société plongée dans une 'hypnose sociale' où la perversion du langage prédomine : la Paix c'est la Guerre ; l'Amour, la Haine...
Livre de science-fiction ou traité de philosophie politique ? 1984 de George ORWELL combine génialement les deux genres, c'est ce qui fait la qualité et le renom de ce roman impressionnant.
C'est dans l'immédiate après-guerre, alors qu'il est mourrant, qu'Orwell imagine le monde des années quatre-vingt plongé dans le totalitarisme. Trois Etats totalitaires concurrents perpétuellement en guerre se partagent la planète : l'Océania dirigée par Big Brother, l'Eurasia et l'Estasia.
Orwell qui a été contemporain du nazisme et du stalinisme imagine un totalitarisme absolu, qui ne contrôlerait plus seulement les actes mais surtout les esprits, et avec eux la mémoire, et donc la vérité, la science et l'histoire.
« Le commandement des anciens despotismes était : 'Tu ne dois pas.' Le commandement des totalitaires était : 'Tu dois.' Notre commandement est : 'Tu es.' » (p.360)
Pour domestiquer les esprits, le parti unique invente une langue nouvelle, le novlangue, censée limiter les dangereuses éruptions mentales intempestives (ces associations d'idées nées de notre vocabulaire riche et complexe), et une gymnastique mentale appelée doublepensée permettant de faire coexister une vérité et son contraire.
Le plus inquiétant c'est de constater la machine infernale qui est en marche dans 1984 : le temps joue pour ce système diabolique qui est toujours plus puissant, toujours moins vulnérable. Si on ne détruit pas les germes du mal avant qu'ils n'aient pris racine, le processus totalitaire imaginé par Orwell semble indestructible, irréversible. C'est ce qui explique d'ailleurs la teinte sombre du roman, très pessimiste.
Passage très fort du roman : la torture physique et psychologique subie par Winston dans le 'Ministère de l'Amour'. On retrouve les terribles techniques employées jadis par l'Inquisition puis perfectionnées par nazis et staliniens. Cet apparent paradoxe notamment : le supplicié finit par se sentir proche de son tortionnaire, il l'aime et souhaite obtenir son soutien, il veut faire plaisir à celui qui le fait souffrir au-delà du supportable… Orwell était un grand connaisseur de l'âme humaine.
Notre époque contemporaine a heureusement échappé aux totalitarismes nés de l'après-guerre. On ressort pourtant de la lecture de 1984 avec un profond malaise. Les germes diffus du totalitarisme de Big Brother semblent nous menacer quotidiennement. Bien sûr il n'existe pas de parti unique pour porter ce totalitarisme, mais c'est justement ce qui fait sa force menaçante.
Une forme de novlangue ne s'instaure-t-elle pas dans notre société ? Le « politiquement correct » dans les médias et le jargon technicien incompréhensible des spécialistes (essayez de lire un texte de loi moderne ou de comprendre une réforme économique…) ne sont-ils pas deux déclinaisons complémentaires de cette novlangue contemporaine ?
L'ignorance crasse règne partout en maîtresse et se drape majestueusement dans les oripeaux de la science : on est capable de parler de tout mais on ne connaît rien (c'est un des enseignements dispensés à Sciences Po sous le vocable vertueux de « culture générale »). Combien de journalistes et d'étudiants qui citent 1984 et Orwell sans répit ont-ils véritablement lu ce roman ?
Le fait qu'une émission de télévision anglo-saxonne très populaire s'intitule « Big Brother » devrait nous faire réfléchir sur les maux qui menacent notre tranquille société moderne.
Publié par Mathieu Scrivat
Le jeudi 12 juin 2003
http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153Mots-clés : thème littéraire science-fiction : genre totalitarisme propagande 1950- dictature utopie résistance : politique contestation rébellion liberté droits de l'homme violation des droits de l'homme liberté de pensée liberté d'expression perversion Etat nazisme stalisnime parti politique parti unique idéologie politique comportement social perception d'autrui perception de soi stéréotype relation sociale vie sociale représentation mentale torture Thème de fiction : fantastique Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.asso-chc.net/article.php3?id_article=153 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 6009 R ORW Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible 59127 R ORW Livre 1. Fictions 1. Romans Sorti jusqu'au 22/07/2019
Titre : Le Grand Cahier Auteurs : Agota Kristof, Auteur Editeur : Éd. du Seuil, 1986 Importance : 191 p. Langues : Français Résumé : Arrivés de la Grande Ville avec leur mère, Claus et Lucas ne vont rester que tous les deux chez leur grand-mère pendant la guerre. Cette dernière est une femme sale, méchante, radine, analphabète et meurtrière; les jumeaux vont alors entreprendre seuls une étrange éducation. D'un côté ils s'entraînent à s'endurcir, à ne pas s'apitoyer sur la douleur d'autrui et à tuer, et de l'autre, ils écrivent la liste des tâches effectuées dans un grand cahier. Mais, à la suite d'un certain nombre d'événements, les deux frères vont se retrouver séparés, le premier dans ce même pays totalitaire, le deuxième de l'autre côté de la frontière...
Agota Kristof écrit la guerre à travers les yeux de l’enfance. En une suite de saynètes tranquillement horribles, Le Grand Cahier nous livre sans fard, sans une once de sensiblerie, une fable incisive sur les malheurs de la guerre et du totalitarisme, mais aussi un véritable roman d’apprentissage dominé par l’humour noir. (...)Agota Kristof écrit la guerre à travers les yeux de l’enfance. Deux petits garçons, des jumeaux désirant vaincre la douleur, la chaleur, le froid, la faim. Tout ce qui fait mal. Ce désir d’une grande naïveté, naît justement d’une trop grande souffrance. Ces garçons ne sont plus des enfants, d’ailleurs un enfant loin de sa mère n’est plus vraiment un enfant. Ces jumeaux sont la cicatrice de la guerre, avec leurs regards remplis de solitude, de sentiment d’abandon, de clarté, de cruauté aussi. Ces enfants ne sont plus les victimes de la guerre ; ils sont la guerre.
" - Vous connaissez donc les Dix Commandements. Les respectez vous ?
- Non, Monsieur, nous ne les respectons pas. Personne ne les respecte. Il est écrit " Tu ne tueras point " et tout le monde tue. Le curé dit : - Hélas..., c’est la guerre."
Le Grand Cahier, ce sont des journées d’expérience et d’inexpérience de deux enfants submergés par leur lucidité et leur naïveté. De ce paradoxe découle un humour particulier.(...)
Agota Kristof, est née en 1935 à Csikvand / Hongrie. Elle vit depuis 1956 en Suisse romande. Elle a d’abord travaillé dans une usine où elle a appris la langue de sa patrie d’élection, avant de se faire un nom comme écrivaine de langue française. Son premier roman « Le grand cahier » publié en 1987 a connu un grand succès et a été honoré du titre Livre Européen.
Ce roman qui a été traduit en trente-trois langues, la propulsée dans le monde entier. Elle a reçu plusieurs prix dont le plus récent est celui de « Gottfried Keller 2001 ». Jamais son succès ne cicatrisera sa blessure d’avoir du quitter sa Hongrie natale.
http://www.slavika.com/spip.php?article352Mots-clés : thème littéraire jumeaux fratrie famille mal bien totalitarisme dictature développement de la personnalité comportement social occupation militaire vie politique violence violence politique Hongrie guerre mondiale: 1939-1945 Liberté Liberté de pensée censure relation homme-femme enfant maltraité relation grand-parent-enfant orphelin mal de vivre Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.theatre-du-soleil.fr/invites/Kristof.pdf Le Grand Cahier [texte imprimé] / Agota Kristof, Auteur . - [S.l.] : Éd. du Seuil, 1986 . - 191 p.
ISBN : 978-2-02-009912-7 : 5.00
Langues : Français
Résumé : Arrivés de la Grande Ville avec leur mère, Claus et Lucas ne vont rester que tous les deux chez leur grand-mère pendant la guerre. Cette dernière est une femme sale, méchante, radine, analphabète et meurtrière; les jumeaux vont alors entreprendre seuls une étrange éducation. D'un côté ils s'entraînent à s'endurcir, à ne pas s'apitoyer sur la douleur d'autrui et à tuer, et de l'autre, ils écrivent la liste des tâches effectuées dans un grand cahier. Mais, à la suite d'un certain nombre d'événements, les deux frères vont se retrouver séparés, le premier dans ce même pays totalitaire, le deuxième de l'autre côté de la frontière...
Agota Kristof écrit la guerre à travers les yeux de l’enfance. En une suite de saynètes tranquillement horribles, Le Grand Cahier nous livre sans fard, sans une once de sensiblerie, une fable incisive sur les malheurs de la guerre et du totalitarisme, mais aussi un véritable roman d’apprentissage dominé par l’humour noir. (...)Agota Kristof écrit la guerre à travers les yeux de l’enfance. Deux petits garçons, des jumeaux désirant vaincre la douleur, la chaleur, le froid, la faim. Tout ce qui fait mal. Ce désir d’une grande naïveté, naît justement d’une trop grande souffrance. Ces garçons ne sont plus des enfants, d’ailleurs un enfant loin de sa mère n’est plus vraiment un enfant. Ces jumeaux sont la cicatrice de la guerre, avec leurs regards remplis de solitude, de sentiment d’abandon, de clarté, de cruauté aussi. Ces enfants ne sont plus les victimes de la guerre ; ils sont la guerre.
" - Vous connaissez donc les Dix Commandements. Les respectez vous ?
- Non, Monsieur, nous ne les respectons pas. Personne ne les respecte. Il est écrit " Tu ne tueras point " et tout le monde tue. Le curé dit : - Hélas..., c’est la guerre."
Le Grand Cahier, ce sont des journées d’expérience et d’inexpérience de deux enfants submergés par leur lucidité et leur naïveté. De ce paradoxe découle un humour particulier.(...)
Agota Kristof, est née en 1935 à Csikvand / Hongrie. Elle vit depuis 1956 en Suisse romande. Elle a d’abord travaillé dans une usine où elle a appris la langue de sa patrie d’élection, avant de se faire un nom comme écrivaine de langue française. Son premier roman « Le grand cahier » publié en 1987 a connu un grand succès et a été honoré du titre Livre Européen.
Ce roman qui a été traduit en trente-trois langues, la propulsée dans le monde entier. Elle a reçu plusieurs prix dont le plus récent est celui de « Gottfried Keller 2001 ». Jamais son succès ne cicatrisera sa blessure d’avoir du quitter sa Hongrie natale.
http://www.slavika.com/spip.php?article352Mots-clés : thème littéraire jumeaux fratrie famille mal bien totalitarisme dictature développement de la personnalité comportement social occupation militaire vie politique violence violence politique Hongrie guerre mondiale: 1939-1945 Liberté Liberté de pensée censure relation homme-femme enfant maltraité relation grand-parent-enfant orphelin mal de vivre Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.theatre-du-soleil.fr/invites/Kristof.pdf Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5240 R KRI Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible
Titre : La grande Muraille , suivi de : le Firman aveugle Auteurs : Ismaïl Kadare, Auteur Editeur : Fayard, 1993 Importance : 139 p. Langues : Français Langues originales : Albanais Résumé : Dans cet ouvrage, il y a deux récits assez courts.
Le premier se déroule au pied de la Grande Muraille. On suit les réflexions de deux personnages, le surveillant Shung, qui comme son attribut l’indique, surveille la muraille, et le nomade Kutluk, qui rêve de la prendre d’assaut.
Le second récit s’intitule Le Firman aveugle. Il narre l’histoire d’un pays où une loi est prise (Un firman : Edit promulgué par un monarque musulman) pour lutter contre le mauvais œil. De ce fait, tous les individus suspects de porter le mauvais œil peuvent être dénoncés par leurs voisins, et subiront des châtiments plus ou mois violents selon leur situation.
Outre l’aspect dépaysement, on sent que c’est un texte en résonance avec la situation de l’auteur : la peur de la dénonciation, l’arbitraire qui prend le pas, le totalitarisme d’un pays communiste lorsqu’il écrit le texte (1984 pour le Firman aveugle). La date d’écriture des deux récits n’est d’ailleurs pas anodine : si le second a été écrit à Tirana en 1984, en pleine période totalitaire du gouvernement communiste, le premier a été rédigé à Paris en 1993 alors que l’auteur avait obtenu l’exil.Mots-clés : thème littéraire Chine Grande Muraille de Chine perception d'autrui superstition croyance populaire totalitarisme violence violence politique dictature absurde groupe social Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.lecture-ecriture.com/3030-La-grande-muraille-suivi-de-Le-firman-aveug [...] La grande Muraille , suivi de : le Firman aveugle [texte imprimé] / Ismaïl Kadare, Auteur . - [S.l.] : Fayard, 1993 . - 139 p.
ISBN : 978-2-213-03137-8 : 10.00
Langues : Français Langues originales : Albanais
Résumé : Dans cet ouvrage, il y a deux récits assez courts.
Le premier se déroule au pied de la Grande Muraille. On suit les réflexions de deux personnages, le surveillant Shung, qui comme son attribut l’indique, surveille la muraille, et le nomade Kutluk, qui rêve de la prendre d’assaut.
Le second récit s’intitule Le Firman aveugle. Il narre l’histoire d’un pays où une loi est prise (Un firman : Edit promulgué par un monarque musulman) pour lutter contre le mauvais œil. De ce fait, tous les individus suspects de porter le mauvais œil peuvent être dénoncés par leurs voisins, et subiront des châtiments plus ou mois violents selon leur situation.
Outre l’aspect dépaysement, on sent que c’est un texte en résonance avec la situation de l’auteur : la peur de la dénonciation, l’arbitraire qui prend le pas, le totalitarisme d’un pays communiste lorsqu’il écrit le texte (1984 pour le Firman aveugle). La date d’écriture des deux récits n’est d’ailleurs pas anodine : si le second a été écrit à Tirana en 1984, en pleine période totalitaire du gouvernement communiste, le premier a été rédigé à Paris en 1993 alors que l’auteur avait obtenu l’exil.Mots-clés : thème littéraire Chine Grande Muraille de Chine perception d'autrui superstition croyance populaire totalitarisme violence violence politique dictature absurde groupe social Type : texte imprimé ; fiction Genre : roman En ligne : http://www.lecture-ecriture.com/3030-La-grande-muraille-suivi-de-Le-firman-aveug [...] Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5230 R KAD Livre 1. Fictions 1. Romans Disponible La route antique des hommes pervers / René Girard / B. Grasset (1985)
Titre : La route antique des hommes pervers Auteurs : René Girard, Auteur Editeur : B. Grasset, 1985 Collection : Le Livre de poche . Biblio essais. Cahiers de l'Herne Langues : Français Résumé : A travers un commentaire stimulant du texte le plus étrange que contient la Bible, Le Livre de job, René Girard nous convie à une formidable méditation sur le fonctionnement social.
La Violence, l'Innocence, le Religieux, le Totalitarisme, le Sacrifice... Autant de problèmes qui jalonnent La Route antique des hommes Pervers.Mots-clés : violence Bible mythe totalitarisme perversion doctrine religieuse Index. décimale : 301 Sociologie Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire La route antique des hommes pervers [texte imprimé] / René Girard, Auteur . - [S.l.] : B. Grasset, 1985. - (Le Livre de poche . Biblio essais. Cahiers de l'Herne) .
ISBN : 978-2-253-04591-5
Langues : Français
Résumé : A travers un commentaire stimulant du texte le plus étrange que contient la Bible, Le Livre de job, René Girard nous convie à une formidable méditation sur le fonctionnement social.
La Violence, l'Innocence, le Religieux, le Totalitarisme, le Sacrifice... Autant de problèmes qui jalonnent La Route antique des hommes Pervers.Mots-clés : violence Bible mythe totalitarisme perversion doctrine religieuse Index. décimale : 301 Sociologie Type : texte imprimé ; documentaire Genre : documentaire Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 997 301 GIR Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible PermalinkPermalinkPermalinkLes chiens de Riga / Henning Mankell / Éd. du Seuil (2003)
PermalinkL'Etoile de Kostia / Irène Cohen-Janca / Editions du Rouergue (2002)
PermalinkL'Hirondelle avant l'orage / Robert Littell / Baker Street (2009)
PermalinkHunger Games, 2. L'embrasement / Suzanne Collins / Paris : Pocket Jeunesse (2010)
PermalinkHunger Games, 3. La Révolte / Suzanne Collins / Paris : Pocket Jeunesse (2011)
PermalinkPermalinkPermalinkLe livre noir du communisme : crimes, terreur, répression / Stéphane Courtois / Paris : R. Laffont (1997)
PermalinkPermalinkQuand les grands jouaient à la guerre / Ilona Flutsztejn-Gruda / Actes Sud (2006)
PermalinkPermalinkLa révolte des citoyens : de la guerre des demoiselles à José Bové / JEAN-FRANCOIS SOULET / Privat (2001)
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