A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'violence physique'




Titre : La Violence Auteurs : Véronique Le Goaziou, Auteur Editeur : Paris : le Cavalier bleu éd, 125 p. Collection : Idées recues Importance : 125 p. Langues : Français Résumé : Souvent perçue comme moyen d’expression des rustres et des machos, la violence peut néanmoins se rencontrer sous des formes subtiles et non moins destructrices : de quoi mettre K.O. les idées reçues les plus répandues.
Au sommaire
Causes et origines de la violence
— « La violence a toujours existé. »
— « La violence, c'est notre part animale. »
— « La violence est une pulsion qu'on ne maîtrise pas. »
— « La violence est liée à des troubles psychologiques. »
— « La violence sévit surtout parmi les milieux défavorisés. »
— « La violence a pour cause l’alcool et les drogues. »
Visages de la violence aujourd’hui
— « La violence s’accroît de nos jours. »
— « Les actes de violence prennent un caractère sexuel. »
— « Ce sont les images violentes de la télévision qui rendent violent. »
— « Les personnes violentes sont surtout issues de familles décomposées. »
— « Aujourd’hui, on doit davantage parler d’incivilités que de violences. »
— « Les femmes sont moins violentes que les hommes. »
— « La violence n’est pas seulement physique. »
Faire face à la violence
— « On ne peut répondre à la violence que par la violence. »
— « La violence est un moyen d’expression pour ceux qui n’en ont pas d’autres. »
— « Le dialogue est un remède à la violence. »
— « La violence est parfois légitime. »Mots-clés : Violence stéréotype cliché représentation mentale pulsion maîtrise des pulsions trouble psychologique milieu défavorisé alcool drogue violence sexuelle incivilité homme femme violence morale violence physique dialogue délinquance criminalité Guernica En ligne : http://www.lecavalierbleu.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=106 La Violence [texte imprimé] / Véronique Le Goaziou, Auteur . - Paris : le Cavalier bleu éd, 125 p. . - 125 p.. - (Idées recues) .
ISBN : 978-2-84670-083-2 : 8.00
Langues : Français
Résumé : Souvent perçue comme moyen d’expression des rustres et des machos, la violence peut néanmoins se rencontrer sous des formes subtiles et non moins destructrices : de quoi mettre K.O. les idées reçues les plus répandues.
Au sommaire
Causes et origines de la violence
— « La violence a toujours existé. »
— « La violence, c'est notre part animale. »
— « La violence est une pulsion qu'on ne maîtrise pas. »
— « La violence est liée à des troubles psychologiques. »
— « La violence sévit surtout parmi les milieux défavorisés. »
— « La violence a pour cause l’alcool et les drogues. »
Visages de la violence aujourd’hui
— « La violence s’accroît de nos jours. »
— « Les actes de violence prennent un caractère sexuel. »
— « Ce sont les images violentes de la télévision qui rendent violent. »
— « Les personnes violentes sont surtout issues de familles décomposées. »
— « Aujourd’hui, on doit davantage parler d’incivilités que de violences. »
— « Les femmes sont moins violentes que les hommes. »
— « La violence n’est pas seulement physique. »
Faire face à la violence
— « On ne peut répondre à la violence que par la violence. »
— « La violence est un moyen d’expression pour ceux qui n’en ont pas d’autres. »
— « Le dialogue est un remède à la violence. »
— « La violence est parfois légitime. »Mots-clés : Violence stéréotype cliché représentation mentale pulsion maîtrise des pulsions trouble psychologique milieu défavorisé alcool drogue violence sexuelle incivilité homme femme violence morale violence physique dialogue délinquance criminalité Guernica En ligne : http://www.lecavalierbleu.com/f/index.php?sp=liv&livre_id=106 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37990 303.62 LEG Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible
Titre : Non c'est non: Petit manuel d'autodéfense à l'usage de toutes les femmes qui en ont marre de se faire emmerder sans rien dire Auteurs : Zeilinger, Irene, Auteur Editeur : Zones, 2008 Importance : 245 p. Langues : Français Résumé : Ce livre part d’un constat simple. Les femmes sont massivement victimes de violences. Se défendre réduit considérablement les chances de succès de l’agression. Pourtant, la socialisation des femmes les rend particulièrement inaptes à l’auto-défense.
Eduquées pour sourire, être jolies et gentilles, les femmes sont beaucoup moins à l’aise avec les comportements qui permettent de se protéger : l’impolitesse, la méfiance, la colère et bien sûr la riposte physique.
Ce manuel entend donc aider toutes les femmes qui ont l’habitude de « se faire emmerder sans rien dire »... à changer d’attitude. Pour se perfectionner dans l’art du coup de boule ou dans la manière d’enfoncer ses doigts dans l’œil de l’agresseur, l’auteure recommande de s’inscrire à un stage d’autodéfense féministe.
Mais l’agression physique (et toutes celles qui, souvent, la précèdent) peuvent aussi être évitées en réagissant verbalement ou mentalement de façon appropriée. Des conseils particulièrement utiles sont ainsi donnés, de la fameuse technique des trois phrases (p 165) à celle du disque rayé (p 144).
Pour illustrer l’importance des mots... pour se défendre, nous reprenons, du chapitre 5 de ce livre publié sur internet, un tableau très pédagogique. Y sont mis en parallèle, à partir d’exemples du quotidien, ce qu’ont l’occasion de penser des femmes ; ce que, parce que leur éducation leur enjoint de dire les choses "doucement" et sans "être agressive", nombre d’entre elles finalement expriment ; et enfin ce que les agresseurs, qui veulent entendre ce qu’ils ont envie d’entendre, entendent.
Parlez-vous le féminin ?
Traduction de quelques formules.
Ce que les femmes veulent dire -> Ce que les femmes disent -> Ce que les agresseurs entendent
Tu es trop près, recule ! -> J’ai l’impression que tu t’approches un peu trop. -> Je ne suis pas sûre que tu sois vraiment trop près, et le fait que tu sois trop près n’a aucune conséquence et tu ne dois rien changer.
Range tes affaires sans que je doive te le dire à chaque fois ! -> Chéri, j’ai encore trouvé des chaussettes sales au milieu du salon. Elles sont à toi ? -> Je m’occupe de tes affaires, je veux juste m’assurer qu’elles sont bien à toi. Surtout ne te bouge pas !
Hé, faites la queue comme tout le monde ! -> Excusez-moi, je crois que j’étais avant vous. -> Je m’excuse car c’est sans doute de ma faute. En plus, je ne suis pas sûre que vous m’ayez dépassée. Veuillez m’éclairer sur ce point.
Aller boire un verre avec toi ? Jamais de la vie ! -> Je suis vraiment désolée, mais ce soir, je ne suis pas libre. -> J’aurais tellement voulu prendre un verre avec toi, mais, malheureusement, je ne peux pas ce soir. Réessaie demain et je dirai oui.
(En voiture) Ralentis, tu me fais peur ! -> Tu vas un peu trop vite à mon goût. Ça te dérange d’aller un peu plus lentement ? -> À mon avis purement personnel, tu roules un petit peu trop vite, mais je peux me tromper aussi. De toute façon, ce n’est pas grave, et tu peux continuer comme ça si tu veux.
Ce livre est publié par les éditions Zones en 2008. Il est disponible sur internetMots-clés : Condition féminine violence comportement social Communication relation homme-femme Education Agression Agression verbale Agression physique Autodéfense Harcèlement Conditions de travail Vie quotidienne Guide pratique Stéréotype Préjugé Conformisme Violence physique Violence verbale Violence sexuelle violence psychologique Violence conjugale Pouvoir Modèle Index. décimale : 305 Groupes sociaux En ligne : http://lmsi.net/spip.php?article862 Non c'est non : Petit manuel d'autodéfense à l'usage de toutes les femmes qui en ont marre de se faire emmerder sans rien dire [texte imprimé] / Zeilinger, Irene, Auteur . - [S.l.] : Zones, 2008 . - 245 p.
ISBN : 978-2-35522-002-9 : 14.50
Langues : Français
Résumé : Ce livre part d’un constat simple. Les femmes sont massivement victimes de violences. Se défendre réduit considérablement les chances de succès de l’agression. Pourtant, la socialisation des femmes les rend particulièrement inaptes à l’auto-défense.
Eduquées pour sourire, être jolies et gentilles, les femmes sont beaucoup moins à l’aise avec les comportements qui permettent de se protéger : l’impolitesse, la méfiance, la colère et bien sûr la riposte physique.
Ce manuel entend donc aider toutes les femmes qui ont l’habitude de « se faire emmerder sans rien dire »... à changer d’attitude. Pour se perfectionner dans l’art du coup de boule ou dans la manière d’enfoncer ses doigts dans l’œil de l’agresseur, l’auteure recommande de s’inscrire à un stage d’autodéfense féministe.
Mais l’agression physique (et toutes celles qui, souvent, la précèdent) peuvent aussi être évitées en réagissant verbalement ou mentalement de façon appropriée. Des conseils particulièrement utiles sont ainsi donnés, de la fameuse technique des trois phrases (p 165) à celle du disque rayé (p 144).
Pour illustrer l’importance des mots... pour se défendre, nous reprenons, du chapitre 5 de ce livre publié sur internet, un tableau très pédagogique. Y sont mis en parallèle, à partir d’exemples du quotidien, ce qu’ont l’occasion de penser des femmes ; ce que, parce que leur éducation leur enjoint de dire les choses "doucement" et sans "être agressive", nombre d’entre elles finalement expriment ; et enfin ce que les agresseurs, qui veulent entendre ce qu’ils ont envie d’entendre, entendent.
Parlez-vous le féminin ?
Traduction de quelques formules.
Ce que les femmes veulent dire -> Ce que les femmes disent -> Ce que les agresseurs entendent
Tu es trop près, recule ! -> J’ai l’impression que tu t’approches un peu trop. -> Je ne suis pas sûre que tu sois vraiment trop près, et le fait que tu sois trop près n’a aucune conséquence et tu ne dois rien changer.
Range tes affaires sans que je doive te le dire à chaque fois ! -> Chéri, j’ai encore trouvé des chaussettes sales au milieu du salon. Elles sont à toi ? -> Je m’occupe de tes affaires, je veux juste m’assurer qu’elles sont bien à toi. Surtout ne te bouge pas !
Hé, faites la queue comme tout le monde ! -> Excusez-moi, je crois que j’étais avant vous. -> Je m’excuse car c’est sans doute de ma faute. En plus, je ne suis pas sûre que vous m’ayez dépassée. Veuillez m’éclairer sur ce point.
Aller boire un verre avec toi ? Jamais de la vie ! -> Je suis vraiment désolée, mais ce soir, je ne suis pas libre. -> J’aurais tellement voulu prendre un verre avec toi, mais, malheureusement, je ne peux pas ce soir. Réessaie demain et je dirai oui.
(En voiture) Ralentis, tu me fais peur ! -> Tu vas un peu trop vite à mon goût. Ça te dérange d’aller un peu plus lentement ? -> À mon avis purement personnel, tu roules un petit peu trop vite, mais je peux me tromper aussi. De toute façon, ce n’est pas grave, et tu peux continuer comme ça si tu veux.
Ce livre est publié par les éditions Zones en 2008. Il est disponible sur internetMots-clés : Condition féminine violence comportement social Communication relation homme-femme Education Agression Agression verbale Agression physique Autodéfense Harcèlement Conditions de travail Vie quotidienne Guide pratique Stéréotype Préjugé Conformisme Violence physique Violence verbale Violence sexuelle violence psychologique Violence conjugale Pouvoir Modèle Index. décimale : 305 Groupes sociaux En ligne : http://lmsi.net/spip.php?article862 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37785 305.4 ZEI Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible Les Mariages forcés / Gérard Neyrand / La Découverte (2008)
Titre : Les Mariages forcés: Conflits culturels et réponses sociales Auteurs : Gérard Neyrand, Auteur ; Abdelhafid Hammouche, Auteur ; Sahra Mekboul, Auteur Editeur : La Découverte, 2008 Importance : 309 p. Langues : Français Résumé : Autrefois pratiqués en France, les mariages forcés perdurent chez certaines familles d'origine étrangère et expriment une réelle difficulté à intérioriser les règles qu'impose le mariage français : autonomie des personnes, égalité des sexes, libre choix du conjoint. Les conflits qui se développent alors entre parents et enfants sont violents, particulièrement pour les jeunes filles. Ils s'appuient sur la contradiction entre les références à des cultures d'origine où la famille tient une place centrale dans le jeu matrimonial et le contexte culturel d'accueil, et renvoient aux écarts de socialisation entre générations. Mais cette contradiction interculturelle s'interprète au sein même des cultures d'origine qui, dans leurs principes et leurs textes de référence, reconnaissent la nécessité du consentement des époux. Mots-clés : conflit familial enfant : famille droits de l'homme droits de la femme condition féminine liberté droit loi France immigration intégration culutrelle tradition Contrainte familiale population étrangère population immigrée acculturation socialisation lien social stratégie matrimoniale Etat société civile droit international privé droit des étrangers violence symbolique violence morale violence physique annulation de mariage consentement libre consentement association prévention protection des droits humains libertés fondamentales phénomène de société code de la famille Maghreb Algérie Tunisie Maroc Code civil code pénal Les Mariages forcés : Conflits culturels et réponses sociales [texte imprimé] / Gérard Neyrand, Auteur ; Abdelhafid Hammouche, Auteur ; Sahra Mekboul, Auteur . - [S.l.] : La Découverte, 2008 . - 309 p.
ISBN : 978-2-7071-5390-6
Langues : Français
Résumé : Autrefois pratiqués en France, les mariages forcés perdurent chez certaines familles d'origine étrangère et expriment une réelle difficulté à intérioriser les règles qu'impose le mariage français : autonomie des personnes, égalité des sexes, libre choix du conjoint. Les conflits qui se développent alors entre parents et enfants sont violents, particulièrement pour les jeunes filles. Ils s'appuient sur la contradiction entre les références à des cultures d'origine où la famille tient une place centrale dans le jeu matrimonial et le contexte culturel d'accueil, et renvoient aux écarts de socialisation entre générations. Mais cette contradiction interculturelle s'interprète au sein même des cultures d'origine qui, dans leurs principes et leurs textes de référence, reconnaissent la nécessité du consentement des époux. Mots-clés : conflit familial enfant : famille droits de l'homme droits de la femme condition féminine liberté droit loi France immigration intégration culutrelle tradition Contrainte familiale population étrangère population immigrée acculturation socialisation lien social stratégie matrimoniale Etat société civile droit international privé droit des étrangers violence symbolique violence morale violence physique annulation de mariage consentement libre consentement association prévention protection des droits humains libertés fondamentales phénomène de société code de la famille Maghreb Algérie Tunisie Maroc Code civil code pénal Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 31050 305.4 NEY Livre 2. Documentaires 300 Sciences Sociales Disponible